Cours SE Le système Linux : La ligne de commande bash - IG IPSET
Perceval d'aiglemont
1. oi Perceval d’Aiglemont dit le Guerrier, je n’ai jamais laissé
tomber d’où ma devise «persister avant tout». Je suis assez fort. J’ai
un point faible je me crois toujours chanceux.
Ma devise c’est
l’ours.
J’ai été très surpris quand le roi m’a demandé dans la grande salle du
château. Il allait me faire chevalier!! J’étais tellement content!! Je me
préparais avec soin. Le moment venu, j’étais très stressé. Mais
l’adoubement ne fut pas interrompu. Après nous mangeâmes, rigolâmes, dansâmes, et nous avons
dansé, tout ça très tard dans la nuit. Le soir avant de me coucher je regardais fièrement mon épée:
Excaliburne
Dès l’aube je me levais et allais me préparer à partir: je me levais, m’habillais, je mis mes bottes,
mon armure et mon haubert. Je pris plusieurs gourdes de vin, du pain, de la viande et quelques fruits.
Enfin quand tout fut préparé je descendis aux écuries royales pour prendre mon cheval: Plume
d’argent. Je l’avais reçu hier. Dommage, je n’avais pas d’écuyer. Je dis au revoir à tout le monde j’étais
très fier de partir.
Sur le chemin tout était calme, de vastes plaines s’étendaient à perte de vue. Quelques minutes
plus tard, j’arrivai dans un sentier entre deux montagnes je progressai quand tout à coup j’entendis un
grondement, des pierres dégringolaient de la colline. Je sortis mon épée, mais c’était trop tard: une
embuscade!! Un homme m’assomma et je perdis connaissance. Environ une heure plus tard je me
réveillai dans un chariot ligoté. Ah! Ces satanés hommes ils ne méritent pas de vivre. Mais il fallait que
je trouve un moyen pour m’échapper mais ces odieux personnages ne voulaient pas s’arrêter. Ils
chevauchèrent toute la nuit.
Le matin on arriva à une petite auberge. Oui! Ça allait être une opportunité pour m’enfuir, mais avant il
fallait que je donne une bonne leçon à ces canailles. Enfin ils descendirent. L’aubergiste les accueillit
avec soin. Un homme s’approcha de moi et me déligota, j’en profitai pour le blesser au bras avec mes
poings. Quand il fut déséquilibré je lui enfournai un autre coup puissant ensuite je volai son épée et la
lui enfonça dans le ventre. Il fallait que je retrouve mon destrier et mon fer. Pendant ce temps ces
hommes étaient en train de rançonner l’aubergiste, alors je fonçai sur eux. C’était inégal 5 contre 1 mais
à ma grande surprise l’aubergiste s’élança et d’un coup trancha la gorge d’un de ces brigands et nous
combattîmes côte à côte. Ils étaient très forts mais nous tenons le coup. Je fis une feinte et en
transperça un. Les deux qui restaient fuyaient tel des lâches!
Après je remerciai grandement l’aubergiste et lui demandai son nom: Gauvin, c’était un homme de
petite taille, ces cheveux étaient tels des rameaux de palmier.
«- Et bien Gauvin je t’en suis très reconnaissant, mais je dois partir le devoir m’attend.
-Sire permettez-moi de vous accompagner c’est mon rêve de combattre à cheval.
-Mais c’est impossible! Vous n’êtes même pas chevalier, et votre auberge?
2. -Pourtant c’est mon rêve de combattre à cheval et mon auberge quelle aille au diable!»
e réfléchis après tout il s’était montré très brave devant ces voleurs.
«-C’est d’accord.
- Croyez-moi je ne vous décevrai pas»
Donc nous cheminâmes ensemble, claires étaient les eaux qui nous entouraient.
Le soir nous dormîmes à la belle étoile, avec Gauvin nous n’eûmes pas le temps de parler tellement on
était fatigués, je lui souhaitais bonne nuit et plongeai dans un profond sommeil.
Le matin nous reprîmes la route quand nous vîmes au loin un homme sur un mulet. Il était de petite
taille et il devait avoir plus de trois quart de siècle. Il s'approcha et me tendit un papier:
«-Et! Jeunes garçons! Venez ce soir à la fête du village!
-Quelle fête? Répondis-je.
-Il y aura des ours, des jongleurs, des cracheurs de feu et pleins d'autres divertissements! C'est six
deniers. C'était hors de question mais Gauvin semblait intéressé.
-Allez Perceval on va s'amuser!
-Bon mais pas longtemps alors.
La ville était sombre et déserte une pancarte claquait au vent tout ce qui avait de plus sinistre. Nous
rentrâmes, et nous déposâmes les chevaux. Un grand chapiteau était centré «ça devait être là la fête»
Songè-je. J'avançai, un homme me toucha l'épaule, je sursautai et me retournai il me dit:
«-C'est pour la fête? Je hochai la tête
- 6! Il n'avait pas l'air très aimable. Je lui tendis 6 deniers et entrai. C'était un vaste rond entouré de
chaises, je pris place, mon ami aussi, il applaudit.
Enfin le spectacle commença. Des jongleurs firent leur apparition, suivis de voltigeurs, des
chansons médiévales. Des cris venaient de partout. Des cracheurs de feu, des ours! Quand tout fut
passé, une jeune femme d'environ mon âge arriva, maltraitée, attachée. Un homme la fit tomber,
faisant rire tout le monde mais pas moi. Elle était en piteux état. Alors je sortis Excaliburne ma bonne
épée et sautai sur scène. Je fis reculer l'homme, j’empoignai la femme. Gauvin me rejoignit avec son fer.
Tous les hommes hurlaient sur nous, les gardes arrivaient.
3. ous allons devoir nous battre! Cria mon compagnon.
-Non ils sont trop nombreux! On fuit!
La dame sauta sur mes épaules et nous courûmes, prîmes les chevaux.
«-Vite il faut sortir de cette ville de fous! Les gardes se rapprochaient. Je redoublai de vitesse, le vent
me brulait les yeux; nous étions maintenant dans une lugubre forêt noire; je me retournai et entendis
les gardes qui criaient:
«- C'est la forêt maudite! Cria un garde.
- Pauvres fous!»
Et ils disparurent.
Essoufflés, nous avancions dans cette forêt noire et profonde. Pas un animal ne jaillit même pas
un corbeau rien. Nous entendions des bruits horribles. Vers la fin, d'autres cris firent face:
«- Oh, non ils ne nous ont pas suivis jusque-là!»
Je regardais la femme à la lumière: elle était charmante des cheveux bruns et des yeux couleurs
noisette, un air mystérieux.
«- Quel est votre nom?
-Moi? Heu...je... Perceval!
Les cris reprirent de plus belle
−
-QUOI?
-venez!
Allons voir. LES ANGLAIS, ILS NOUS ENVAHISSENT IL FAUT PREVENIR LE ROI!!
4. Nous prîmes trois chevaux. Nous galopâmes en direction du château.
rrivé sur les terres de sa majesté je paniquai.
J'arrivai en trombe dans la grande salle. Le
roi était là avec ses conseillers. Ils me
regardèrent éberlués.
«- Eh! Ou courrez-vous comme ça?
-Votre majesté, les Anglais nous envahissent!
−
c'est une blague!
−
Non, en ce moment où parlons ils ont sûrement franchis la frontière!
−
Perceval, noble chevalier vous allez mener les hommes à la guerre.
−
Monseigneur, c'est un honneur!
−
Bien, rassemblez les hommes vous partez maintenant».
Gauvin m'attendait dehors avec Anthéa elle m'avait donné son prénom peu après l'attaque.
«- Anthéa vous devez vous protégez. Mettez-vous dans mes appartements.( on était devenus très
proches)
-Gauvin venez je vais avoir besoin de vous!
Enfin nous étions prêts à recevoir les Anglais.
Archers, chevalier tout le monde était là.
Des silhouettes se découpaient dans la brume. Ils arrivaient.
A L'ATTAQUE!!! IIIYAAHHH !!
La bataille faisait rage. Je me battais avec agilité sur mon cheval j'en transperçai-un à la cote. Gauvin
acheva un autre.
5. «- Il faut qu'on tienne! Mais c'était peine perdu la bataille se déroulait depuis deux heures ils gagnaient.
Ils étaient trop nombreux. Donc il fallait adopter une stratégie.
-Hum... J'ai trouvé! Il fallait les attirer dans les marais où il y a les sables mouvants!
n plus je connais bien l'endroit.
Avec un groupe d'homme d'environ 2 mille nous
primes la route en direction des marais.
-
«Gauvin prend la moitié des chevaliers.
Attirent les ici pendant que moi avec
quelques hommes nous attendrons aux marais!
-
Il hocha difficilement la tête.
Voilà maintenant quelque temps que nous étions à coté de cette eau boueuse. Enfin Gauvin arrivait je
le voyais galoper mais… mais CE NETAIT PAS GAUVIN MAIS UN ANGLAIS!
Je n’étais plus qu’éberlué.
-Mais où est –il? Mais le plan avait fonctionné à merveille un gros groupe de soldat avait péri. La
bataille était gagnée. Quand je revins au château je cherchai mon amie des yeux. Je ne le
trouvai pas tout de suite, et puis le voilà, boitant couvert de sang il allait s’allonger à côté d’un
rocher. J’accourrai, tremblant de peur.
- Ca va aller ne t’inquiète pas on va trouver un médecin.
- Non, ce n’est pas la peine. C’est trop tard.
-Nooon!! Gémi-je mais il commençait déjà à partir vers l’autre monde. Je le regardais en
pleurant. Tout d’un coup il me regarda demi souriant puis ferma les yeux, mort. Je ne savais pas
quoi dire puis, je me levai et allait préparer une tombe digne de lui. Plus tard, de retour au
château le roi me félicita:
- Vous avez accompli votre mission, nous avons gagné! Pour vous remercier je vais vous offrir
des fiefs de l’argent des…
-Stop! je ne veux rien.
-Quoi?
Ma place n’est pas ici mais en dehors du royaume, très loin. Si vous me le permettez j’aimerai
reprendre la route à cheval.
Et donc le lendemain Perceval reprit la route.