3. Le Palais
1810-1838: construction, sur
l’emplacement de l’actuel musée,
du Palais d’Orsay destiné à
recevoir le Ministère des Affaires
Étrangères, mais finalement
affecté à la Cour des Comptes.
4. Le Palais
Mai 1871: épilogue tragique de la
Commune. De nombreux édifices parisiens
sont détruits dont l’Hôtel de Ville, les
Tuileries, le Palais d’Orsay et l’Hôtel de
Salm (actuellement musée de la Légion
d’Honneur). Le Palais d’Orsay n’est pas
reconstruit et reste en ruine pendant près
de trente ans.
5. La Gare
1898-1900: construction de la gare d’Orsay. La
compagnie de chemins de fer Paris-Orléans
cherche à déplacer son terminus de la gare
d’Austerlitz, jugée excentrée, vers le centre
de Paris. le projet présenté par l’architecte
Victor Laloux est choisi. La gare doit s’intégrer
parfaitement à son environnement
prestigieux : le Louvre, le jardin des
Tuileries… Et Victor Laloux, s’il adopte une
structure métallique pour la gare, la cache
derrière une enveloppe en pierre de taille.
6. Le musée
En 1977, le Président Valéry Giscard d’Estaing
a repris l’idée d’y installer un musée du XIXe
siècle, destiné
- à recevoir les collections nationales,
dispersées
- à faire la transition entre le Louvre et
Beaubourg alors en chantier. Peu après son
élection en 1981, François Mitterrand
confirme le projet du musée d’Orsay. Le
travaux seront confiés à l’architecte italien
Gae Aulenti
7. 1848 - 19141848 - 1914
Pourquoi ces 2 dates?
Le choix des dates limites a fait l’objet de
nombreux débats, surtout pour la date de départ.
Pour la fin de la période, la date théorique est
1914. Pour la peinture, les dernières œuvres datent
plutôt de la moitié de la première décennie
(apparition du cubisme avec les Demoiselles
d’Avignon de Picasso -1907- courant qui n’est pas
représenté dans les collections du musée d’Orsay).
Par contre, la date de 1914 est largement dépassée
pour la présentation du cinéma, puisque les films
programmés dans les festivals vont jusqu’à la
naissance du cinéma parlant (vers 1929).
8.
9. 1848 – 19141848 – 1914
Quelle est la production artistique/littéraire de l’époque?
Baudelaire, les Fleurs du Mal
Manet, le déjeuner sur l’herbe
Zola, les Rougon-Macquart
La construction de l’Opéra Garnier (1860-1875)
Rodin, la porte de l’enfer, le buste de Balzac
Courbet
Manet Olympia le déjeuner sur l’herbe
Les impressionistes …….
10.
11. Le musée d'Orsay est un
musée national situé à Paris,
sur la rive gauche de la Seine,
dans le 7e arrondissement .
Il a été aménagé dans
l'ancienne gare d'Orsay (1898)
et inauguré en 1986.
12. Il évoque toute les formes de création de
cette époque, y compris la musique, la
littérature. Les œuvres sont proposée par
famille stylistique et si possible par artistes:
Baumier, Courbet, Degas, Van Gogh,
Gauguin, Manet, Cézanne, Monet, Pissaro,
Rodin, Toulouse Lautrec, Carpeaux…. La
maquette de l’opéra Garnier
La salle de bal de l’hôtel de l’époque a
imposé son style.
13. Les courants artistiques:
le romantisme
le réalisme, le naturalisme
l’impressionnisme
le symbolisme
la belle époque
l’art nouveau
Quels sont les courants artistiques?
14. HistoireHistoire
1848: Révolution de 1848, instauration de la Seconde
République
1851: la IIème République agonise et se transforme en
dictature
Second Empire – Napoléon III- grande bourgeoisie toujours
plus riche -
Le préfet Haussmann- Paris qui change « Paris haché à
coups de sabre, les veines ouvertes, nourrissant cent
mille terrassiers et maçon » Zola -
1870: guerre contre la Prusse (débâcle) Défaite de Sedan
La Commune de Paris-
Proclamation de la troisième république (1870-1914)
1894- 1906 : Affaire Dreyfus
1914: Début de la première guerre mondiale.
15. Ce regard vous dit quelque chose? Qui est-ce?
C’est Victorine Meurent l’Olympia 1863 de Manet
16.
17. F. Goya. La Maya desnuda,1800,1803 – Museo del Prado
Madrid
19. Olympia, Manet
Avec Olympia, Manet réinvente le thème
traditionnel du nu féminin par le jeu d'une
peinture franche et sans compromis. Le sujet
autant que le langage pictural expliquent le
scandale que l’œuvre provoqua au Salon de
1865. Même si Manet multiplie les références
formelles et iconographiques : la Vénus d'Urbin
du Titien, la Maja desnuda de Goya et le thème
de l'odalisque à l'esclave noire traité par Ingres
notamment, il traduit avant tout picturalement
la froideur et le prosaïsme d'un sujet bien
contemporain.
20. Olympia de Manet
La Vénus est devenue une prostituée qui
défie de son regard le spectateur. Face à
cette remise en cause du nu idéalisé,
fondement de la tradition académique, la
violence des réactions fut considérable. Les
critiques vilipendèrent "cette odalisque au
ventre jaune" dont la modernité fut
pourtant défendue par quelques
contemporains avec à leur tête Zola.
23. Le déjeuner sur l'herbe Edouard
Manet (1832-1883)
Rejetée par le jury du Salon de 1863, cette
œuvre est exposée par Manet sous le titre
Le Bain au "Salon des Refusés" accordé
cette année-là par Napoléon III.
Elle en constitua la principale attraction,
objet de moqueries et source de scandale.
Pourtant, Manet revendique dans Le
déjeuner sur l'herbe l'héritage des maîtres
anciens et s'inspire de deux œuvres du
Louvre.
24. Le Concert champêtre du Titien, alors
attribué à Giorgione, fournit le sujet, tandis
que la disposition du groupe central s'inspire
d'une gravure d'après Raphaël : Le jugement
de Pâris.
Mais dans Le déjeuner sur l'herbe, la
présence d'une femme nue au milieu
d'hommes habillés n'est justifiée par aucun
prétexte mythologique ou allégorique.
27. Olympia – Manet
La modernité des personnages rend
obscène, aux yeux de ses contemporains,
cette scène presque irréelle.
Le style et la facture choquèrent presque
autant que le sujet. Manet abandonne les
habituels dégradés pour livrer des
contrastes brutaux entre ombre et lumière.
28. On lui reproche sa "manie de voir par
taches".
Les personnages ne semblent pas
parfaitement intégrés dans ce décor de
sous-bois davantage esquissé que peint, où
la perspective est ignorée et la profondeur
absente. Avec Le déjeuner sur l'herbe,
Manet ne respecte aucune des conventions
admises, mais impose une liberté nouvelle
par rapport au sujet et aux modes
traditionnels de représentation
29.
30. « La déesse noyée dans un fleuve de lait, a l’ait
d’une lorette, non pas en chair et en os- cela
serait indécent- mais en une sorte de pâte
d’amende rose et blanche » Zola
33. Rodin (1840-
1917),
Balzac,1897
Rodin arrive à construire
une silhouette pyramidale
conçue de façon à mettre en
relief la tête exagérément
grossie.
Symbole presque abstrait de
la puissance du romancier. Il
renouvelle la conception du
monument public.
La sculpture fit un tel
scandale qu’on la retira du
salon de 1898 et on confia la
commande à Falguière.
37. Le rapport texte imageLe rapport texte image
“Entre tant de beautés
que partout on peut
voir,
Je comprends bien,
amis, que le désir
balance,
Mais on voit scintiller en
Lola de Valence
Le charme inattendu
d’un bijou rose et noir”.
38.
39. Le rapport texte imageLe rapport texte image
“Delacroix, lac de sang hanté
des mauvais anges,
Ombragé par un bois de sapins
toujours vert,
Où sous un ciel chagrin, des
fanfares étranges,
Passent, comme un soupir
étouffé de Weber...”
les Fleurs du Mal,, 1857
Les Phares poème construit
sur les analogies: peinture,
musique et poésie – voir aussi
la théories des
Correspondances -
Eugène Delacroix, la
chasse au lion, esquisse
de 1854, huile sur toile.
40.
41.
42. “Et, regarde, voici, crispée atrocement,
La véritable tête, et la sincère face
Renversée à l’abri de la face qui ment”.
Le Masque, Les fleurs du Mal,
43. Le rapport texte imageLe rapport texte image
Jean-Baptiste dit Auguste Clésinger,
Femme piquée par un serpent, 1847.
Apollonie
Sabatier
44. Le critique d’artLe critique d’art
Il publie
Salon -1845
Salon de -1846
Salon de - 1859
Le peintre de la vie moderne - 1863
45. Baudelaire critique d’artBaudelaire critique d’art
Pour Baudelaire la critique a une
fonction éducative. Elle apprend
au public à ne pas confondre
MeissonierMeissonier et DelacroixDelacroix, en un
temps où le premier se vendait
dix fois plus cher que le second
(1859).(1859).
46. Napoléon III à la bataille de Solferino (24 juin 1859).
Peinture sur bois de Jean-Louis Ernest Meissonier (1863).
47. Baudelaire critique d’artBaudelaire critique d’art
Mais pour remplir cette fonction la
critique doit être subjective:
« Pour être juste, c’est-à-direPour être juste, c’est-à-dire
pour avoir sa raison d’être, lapour avoir sa raison d’être, la
critique doit être partiale,critique doit être partiale,
passionnée, politique, c’est-à-direpassionnée, politique, c’est-à-dire
faite à un point de vue qui ouvrefaite à un point de vue qui ouvre
le plus d’horizons. le plus d’horizons. »(1846(1846).
48. Le critique d’artLe critique d’art
Les peintres que Baudelaire n’aime
pas:
Les académiques et les
ingristes.
Il reconnaît le talent
d’Ingres mais il trouve son
école catastrophique.
51. Le critique d’artLe critique d’art
Baudelaire et les ingristes :
“Le parti des ennemis du soleil”,
Salon de 1846.
Il a horreur des “affèteries” de cette
peinture qu’il juge trop distinguée, trop
“finie”, dont l’héroïne est toujours
“diaphane et bégueule comme une élégie, et
amaigrie par le thé et le beurre esthétique”
(Salon de 1846). Au lieu d’imiter servilement
les anciens, il faut des sujets modernes.
52. Le critique d’artLe critique d’art
Baudelaire et les ingristes
Gérôme Jean-Léon (1824-1904) Un combat de
coqs, 1846
Gérôme peintre néo-grec, également admirateur
d’Ingres.
DEFINITION:
L’académisme désigne le style officiel, aussi appelé "art pompier",
qui marque le XIXe siècle français avec un essor particulier entre
1845 et 1860.Le terme utilisé pour ce style depuis le XIXe siècle,
définit l'origine de l'enseignement artistique reçu dans une
académie d'art depuis la Renaissance. Il se base sur une
connaissance approfondie du corps humain (dessin et études peintes
d’après nature) et sur la correction des imperfections par l'étude de
l'Antiquité gréco-romaine.
54. Le critique d’artLe critique d’art
M. Gérôme “réchauffe les sujets par de petits
ingrédients et par des expédients puérils”. De
ce tableau il écrit : « l’idée d’un combat de
coqs appelle naturellement le souvenir de
Manille ou de l’Angleterre. M. Gérôme
essaiera de surprendre notre curiosité en
transposant ce jeu dans une espèce de
pastorale antique ».
Bref, il juge que ce genre de peinture n’est
que de la “cuisine”, et qu’en général ce n’est
pas avec des “Cupidons de confiseurs” que
l’on peut représenter l’amour.
55. Le critique d’artLe critique d’art
Les peintre que Baudelaire n’aime pas
Millet Jean-François (1814-1875) : Des glaneuses,
1857
Millet peintre des paysans et de la nature, très
populaire par la force de ses images.
Baudelaire le trouve très prétentieux. « Ses
paysans sont des pédants qui ont d’eux-mêmes
une trop haute opinion. Ils étalent une manière
d’abrutissement sombre et fatal qui me donne
envie de les haïr ». (Salon de 1859).
rez-de-chaussée, salle 6
58. Millet « l’angélus » M. O.
En 1865, Millet raconte : "L'Angélus est un tableau
que j'ai fait en pensant comment, en travaillant
autrefois dans les champs, ma grand-mère ne
manquait pas, en entendant sonner la cloche, de
nous faire arrêter notre besogne pour dire l'angélus
pour ces pauvres morts".
C'est donc un souvenir d'enfance qui est à l'origine
du tableau et non la volonté d'exalter un
quelconque sentiment religieux, Millet n'est
d'ailleurs pas pratiquant. La toile exprime ainsi un
profond sentiment de recueillement et Millet
dépasse l'anecdote pour tendre vers l'archétype
59. • Van
Van Gogh « the angelus » after Millet. 1880. Gallery: Rijksmuseum Kröller-
Müller, Otterlo, Netherlands
60. Le plus grand :Le plus grand : DelacroixDelacroix
Eugène Delacroix (1798-1863) : Chasse aux
lions, esquisse de 1854. Esquisse proche d’un
grand tableau achevé par Delacroix, et détruit
depuis, frappante par la violence du mouvement
et des couleurs, et par sa liberté résolument
moderne.
Baudelaire : « Une véritable explosion de
couleurs (...) Jamais couleurs plus belles, plus
intenses ne pénétrèrent jusqu’à l’âme par le
canal des yeux” (Exposition universelle de
1855).
rez-de-chaussée, salle 2
61.
62. Le plus grand DelacroixLe plus grand Delacroix
Il adore ici la sauvagerie de la “peinture
pure”, à l’opposé de la peinture “astiquée”,
et conseille au spectateur de regarder les
œuvres de Delacroix de très loin, avant
d’approcher pour identifier le sujet.
Baudelaire véritablement nourri de l’œuvre de
Delacroix, s’identifie entièrement à cette
“âme” si proche de la sienne : liberté de
l’imagination enquête d’idéal, douleur
rêveuse, intelligence prodigieuse des sujets,
même historiques ou religieux.
63. Le moderne ManetLe moderne Manet
Manet Edouard (1832-1883) : Lola de
Valence,1862
Baudelaire ne voit pas la suite de l’œuvre
de Manet, qu’il sous-évalue certainement.
Montrer que le programme qu’il trace du
Peintre de la Vie moderne (1863), inspiré
par CONSTANTIN GUYS qui n’est d’ailleurs
pas un peintre, est en réalité accompli par
MANET
64. Le moderne ManetLe moderne Manet
“Celui-là sera le peintre, le vrai peintre, qui
saura arracher à la vie actuelle son côté
épique, et nous faire voir et comprendre,
avec de la couleur et du dessin, combien
nous sommes grands et poétiques dans nos
cravates et nos bottines vernies.” (1845).
“La modernité, c’est le transitoire, le fugitif,
le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre
moitié est l’éternel et l’immuable” (1863).
65. Manet, La maîtresse de Baudelaire allongée, 1862
Szépmüvészeti Museum, Budapest
67. Henri Fantin Latour, Hommage à
Delacroix, 1864
Ce portrait collectif rassemble Louis
Edmond Duranty (homme de lettres),
James Abbott Mac Neill Whistler (peintre),
Champfleury, Jules Husson (homme de
lettres), Edouard Manet, Charles
Baudelaire, Louis Cordier, Alphonse Legros
(peintre), Félix Bracquemond (graveur),
Albert de Balleroy (peintre), Henri Fantin-
Latour devant un portrait d'Eugène
Delacroix.
69. Courbet, l’Atelier du
peintre. Allégorie
Réelle déterminant une
phase de sept années
de ma vie artistique (et
morale), 1855
70. À gauche de Courbet ceux qui vivent de la mort, exploiteurs et
exploités: un banquier, un républicain, un marchand, un braconnier
qui ressemble à Napoléon III
71. à droite de Courbet, ceux qui vivent de la vie, des individualités
repérables, Baudelaire, le couple Sabatier, Chamfleury assis,
sa sœur Juliette, Proudhon …
75. La Divine Comédie, disait Rodin, ne le quittait pas : il en
avait toujours un exemplaire dans sa poche. C'est l'un des
épisodes les plus noirs de l'immense poème de Dante qu'il
illustre ici. Le comte Ugolin, muré avec ses fils dans la
prison qui doit devenir leur tombeau, les voit mourir, puis
poussé par la faim, se nourrit de leur chair, avant de périr
lui aussi.
La figure construite autour d'un vide central, le modelé
torturé, les corps désarticulés des enfants, la
déformation des membres, tout accentue l'expression
morbide et dramatique. La composition présente de plus
les prémices du processus d'assemblage, que Rodin
devait systématiser ensuite : les corps nus, travaillés et
moulés à part, ont été assemblés ensuite et liés après
coup par des tissus drapés, puis enduits de plâtre.
77. A l'emplacement même de la gare d'Orsay, s'élevait au XIXe
siècle l'ancienne Cour des comptes. Brûlée en 1871 durant la
Commune, elle devait être remplacée par un musée des Arts
décoratifs. Pour son entrée, l'Etat commande à Rodin en 1880
une porte monumentale. Elle devait être ornée de onze bas-
reliefs représentant la Divine Comédie de Dante.
Rodin s'inspire des célèbres portes que Ghiberti avait réalisées
au XVe siècle pour le baptistère de Florence. Trois ans plus tard,
l'artiste est parvenu à un premier état qui le satisfait, mais le
projet du musée est abandonné. Cette porte sans destination
devient alors pour Rodin une sorte de réservoir créatif pour de
nombreux groupes qui finissent par s'en affranchir comme Le
Penseur ou Le Baiser. La Porte de l'Enfer, que seuls quelques
critiques introduits ont pu voir, prend alors valeur de symbole :
du génie créatif sans contrainte de Rodin pour les uns, de son
incapacité à aboutir pour les autres. Elle ne sera exposée qu'à
l'Exposition universelle de 1900 dans une version incomplète.
78.
79. Camille Claudel L'âge mûr-1902
Après la rupture entre et Rodin, ce dernier
essaya de l'aider par personne interposée
et obtint du directeur des Beaux-Arts une
commande de l'Etat. fut commandé en
1895, exposé en 1899, mais le bronze ne
fut jamais commandé et le plâtre ne fut
jamais livré par Camille Claudel.
80. Camille Claudel - L'âge mûr-
1902
Le groupe évoque l'hésitation de Rodin
entre son ancienne maîtresse, qui devait
l'emporter, et Camille qui, pour le retenir,
se penche en avant. Au-delà de son histoire
personnelle, Camille réalise une oeuvre
symbolique qui entraîne une méditation sur
les rapports humains. Elle-même s'y incarne
sous les traits d'un personnage qu'elle
nomme l'Implorante, marquant ainsi le
tragique attaché à sa destinée.
81.
82.
83. sites de référence:
- Le site officiel du Musée
d’Orsay
- L’histoire de France en
image
- Le guide du musée ed. de la
réunion des musées
nationaux, 1992.