3. Triste histoire révoltante.
Ceci est l'histoire de la vraie Castafiore Québécoise et
du Château de Moulinsart, une saga que les médias
Québécois ont toujours traités du bout des lèvres,
certainnement à cause de l’importance du personnage
politique qui est impliqué dans cette magouille et de ses
influences personnelles, ainsi que du Parti séparatiste
Québécois qui a eu le pouvoir durant des années.
Sur l'île Bizard, dans le Château de Moulinsart, il y a eu
beaucoup de magouilles qui sont l'oeuvre du Parti
indépendantiste Québècois qui, en association avec
certains fédéralistes notoires, et sous la protection
silencieuse des médias, se sont organisés des paradis
dorés au sû et à l’insu de la grande majorité des payeurs
d’impots Québecois.
4.
5. Un beau mariage en grande pompe.
Pauline Marois et Claude Blanchet sont mariés depuis
1969. En 1986, alors que Pauline Marois est ministre, son
mari, Claude Blanchet avec ses associés fédéralistes,
Henry Walch et Mario Grilli, achètèrent des terres agricoles
de l'île Bizard qui appartenaient à l’époque à Robert
Campeau (Campeau Corp. Inc) qui sombrait alors
tranquilllement dans la faillite.
Le mari de Pauline Marois était le "bras droit" de Robert
Campeau à Ottawa, et c'est grâce à ses liens intimes avec
des ministres et hauts fonctionnaires fédéraux, tels Jean
Chrétien, Jean Marchand, Marc Lalonde et Michael Pitfield
que Campeau Corp eut tant de succès financiers en
Ontario.
6.
7. Une élection enrichissante.
En 1991, Pauline est députée péquiste de Taillon à
l'Assemblée nationale pendant que son mari, Claude
Blanchet est lui, à la tête du Fonds de Solidarité (FTQ).
Le FSFTQ a été créé par le PQ grâce au prêt de 10
millions obtenu par la ministre du travail d'alors, Pauline
Marois. Pour ne pas éveiller de soupçons, Claude
Blanchet envoie à sa place, son associé fédéraliste
Henry Walch faire changer le zonage des terrains de
l'île Bizard afin d'en faire exploser la valeur
marchande.
Le changement sera accepté par le gouvernement du
Parti Québécois. Le couple Marois Blanchet devient
alors multimillionnaire grâce à la spéculation de
terres publiques et à leur positionnement privilégié
avec le pouvoir en place (PQ).
8.
9. Un fauteuil en « Or ».
En 1997, contrairement aux règles, c'est le cabinet du PQ, au
lieu du Conseil d'administration élu, qui nommera le mari de Pauline
Marois (alors Ministre des finances) au poste de Président de la
Société Générale de Financement.
C'est Marois elle-même qui établira son contrat et son salaire
contrairement encore, à la règle qui spécifie que ceci doit être fait
par le C.A. élu. Claude Blanchet recevait alors un gros salaire en plus
de recevoir des bonis sur l'argent prêté par la SGF sans considération
de la rentabilité de la SGF.
Heureusement pour lui car sous sa direction, la SGF accuse une
perte de plus de 500 millions $.
À quelques semaines des élections, perdues par le PQ, le mari de
Pauline Marois obtient une bonification de son contrat lui
garantissant une rente annuelle de 90,000$ au lieu de 42,000$, s'il
perdait son poste. En plus, tenez vous bien, cet avantage est
transformé en pension à vie.
10.
11. Le silence d’or des syndicalistes notoires !
En 1997, à cette époque là, Pauline Marois était bien Ministre des
finances, non ? Curieusement, aucun syndicat ne contesta cette
augmentation scandaleuse : vive la sociale démocratie !
Aujourd'hui, le mari de celle qui est devenue la Chef du Parti
Québécois, est associé à de nouveaux fédéralistes notoires dans
une société à capital ouvert «Perceptions inc», vous connaissez?
C'est à leur château de l'île Bizard que les Marois Blanchet reçoivent
somptueusement leurs nouveaux associés tels que Jerry Tarasofsky,
grand financier du B'nai Brith Senior Residence à Côte Saint-Luc ainsi
que créateur d'un Lodge B'nai Brith pour les diplômés de McGill comme
lui. Ils ont récemment fait une grande réunion de 75 membres il y a six
mois à la synagogue Shaare Zion.
Avis aux syndicalistes indépendantistes qui seraient intéressés
à s'inscrire au Lodge du B'nai Brith, question de rencontrer de
riches alliés qui pourraient "contribuer" à leur cause, bonne chance !
12.
13. Comprenez-vous le pouvoir politique des
«$éparatistes $ociales Démocrates du Québec» ?
Lorsqu'on lit tout ça on peut comprendre que la Chef du Parti
Québécois n'a aucune réticence à laisser son château pour 8.000,000
de beaux dollars en plus de ce qu’elle s’est mis de côté et à taire le
plus possible, l'option fondamentale et la raison d'être de son parti.
Ce qui nous intéresse le plus les Québecois maintenant, c’est de
savoir si tous le monde au Québec aura une retraite aussi dorée que
ce couple avide de pouvoir, car on ne peut comprendre qu’autant
aux Finances avec les résultats désastreux de la SGF,
qu'à l'Éducation avec la complexité du système d'évaluation des
élèves et les restrictions sévères sur l'apprentissage de
l'Anglais, qu'à la Santé avec la mise à la retraite prématurée des
infirmières et les quotas des médecins, madame Marois ait fait
une tel carrière politique, car elle a toujours prouvé sa parfaite et
incomparable incompétence à diriger les affaires du pays.
Par contre, elle a sûrement démontré qu'elle $avait $e $ervir de
ses pouvoirs politiques pour détourner des lois et des règles à
ses propres intérêts. Et $i jamais elle devait être réelue, c'est
$ans doute toute l'Île Bizard au complet qu'elle pourra habiter
avec tous ses… Canards !
14.
15. Maintenant, des nouvelles de Perceptions inc:
Le 14 septembre 2007, l'Autorité des Marchés Financiers (AMF)
émet un avis formel à Claude Blanchet, Barry Cracower, Jerry
Tarasofsky, Denis M. Sirois, Daphne Kis, Jean Lavigueur, Martin
Faucher, Daniel Taras, Richard Zeidel, Jonathan Levitt, Stephen Burns,
Robert Duff Anderson, Elaine Tarasofsky, Joseph Callaghan, Adelina
(Lina) Continelli, Sandra Haydon et Eric Salpeter.
--------
L'AMF leur interdit d'effectuer, directement ou indirectement,
toutes activités reliées à des opérations sur les valeurs de
Perceptions Inc., aux motifs que l'émetteur ne s'est pas conformé aux
obligations de dépôt des états financiers et du rapport de gestion
relatif aux états financiers prévus au Règlement 51-102 et que ces
personnes ont été administrateurs ou dirigeants de l'émetteur depuis
que celui-ci a déposé ses derniers états financiers, conformément aux
exigences applicables et, en tant qu'initiés de l'émetteur, ces
personnes peuvent avoir été informées de tout fait ou changement
important concernant l'émetteur qui n'a pas été rendu public après la
date des états financiers déposés.
16.
17. Vive la démocratie !!!
Maintenant;
• Pensez-vous que vous en saurez plus ?
• Pensez-vous que vous lirez la suite dans les
journaux et à la télévision comme pour Earl
Jones, ou les Lacroix et compagnie ?
• Pensez-vous que les célèbres «Autorités des
Marchés Financiers» (l’A.M.F.) vont donner
une suite à ces magouilles politiques ?
Je vous laisse y réflèchir …