13. II- DES RAPPORTS AVEC LES MIGRANTS SUBSAHARIENS ILS SONTS LIMITES ET DISTANTS - Les femmes sont moins nombreuses que les hommes à affirmer qu’elles ont l’occasion d’échanger avec les migrants subsahariens (42,5% et 55,4%). - Les femmes au foyer sont particulièrement concernées : seules 38,2% d’entre elles affirment qu’elles ont des échanges avec les Subsahariens - nes Les personnes actives sont les plus engagées dans les relations avec les subsahariens (60,3%)
14. III- LES PRINCIPALES EXPLICATIONS DES PERCEPTIONS ET DES COMPORTEMENTS Trois raisons principales : 1) le racisme à l’égard du noir 2) La différence de culte (3) les modes de vie des migrants subsahariens
15.
16.
17. 2- LA RELIGION La légitimité de l’argument religieux met à l’aise les personnes interrogées qui affirment plus facilement leurs opinions dès lors qu’ils se réfèrent à la religion. Quelle que soit la variable, le refus de cohabitation ou de mariage avec les Subsahariens fondé sur la religion est plus franchement affirmé, l’espace privé est plus réticent que l’espace public où la majorité affirme que les subsahariens doivent travailler pour subvenir à leurs besoins en dépit de l’interdiction de la loi 02-03.
18.
19.
20.
21.
22.
23.
24. VI- EN CONCLUSION De nombreuses incertitudes caractérisent l’accueil de la population marocaine : Les perceptions sont en permanence structurées autour d’appréciations contradictoires : solidarité - compassion d’un côté, rejet et méfiance de l’autre. L’analyse des réponses montre que les Marocains sont hésitants et peu sûrs de leurs opinions.