2. Le marché de la joaillerie
Le marché de la joaillerie
Le marché mondial de la joaillerie en pleine
effervescence : 150 milliards de dollars en 2013
(+15%)
En France 5,1 milliars d'euros en 2013 (-4%)
Richemont comme acteur principal avec Cartier,
Van Cleef & Arpels et Piaget
Acteurs majeurs : LVMH & Kering
Engouement mondial pour les pierres précieuses et
les bijoux
Les évolutions du marché
Hausse des prix de l'or, des pierres précieuses et
du diamant
La joaillerie valeur refuge : investissement
Nouveaux canaux de distribution : e commerce (5%
des ventes)
Augmentation des boutiques monomarques
Export / Import
Kimberley act
3. Présentation de la marque
Messika : Sucess story
Créatrice Valerie Messika – diplomée en marketing /
communication – fille de diamantaire
Entreprise fondée en 2005 : tournée autour du
dimant
Joaillerie et haute jaillerie
Savoir faire d’exception : pièces sur mesure
Collection marquées par la modénité, la jeunesse,
la gaité et le minimalisme absolu
CA en 2012: 20.035.200 euros, en 2013 56% des
ventes sont faites à l’étranger
Brand identity & Mix marketing
Positionnement : milieu de gamme, innovation,
créativité et minimalisme
Cible : femme moderne et active
Prix : à partir de 600 € jusqu’à 1M€
Distribution
1 flagship à Paris et revendeurs
Flagship rue St honoré (185 m2)
Environ 110 – 120 points de ventes
4. Problématique
Comment créer un site marchant et quelle
stratégie digitale adopter pour la marque
Messika ?
Comment créer un réseau de distribution et une
fidélisation 2.0 pour messika ?
5. La stratégie digitale
www.messika.com
Les plus
Site institutionnel sur la joaillerie destinée aux
femmes : présenter la collection
Mot clés : joaillerie, haute joaillerie, mariage, messika,
diamant
ADN de la marque : logo, produits, images (produits,
campagne publicité)
Site bien hiérarchisé : rubriques, sous rubriques, mots
clés, fils d’arianne identifiable, bouton d’accueil
présent, clic réactif
Prise de contact : formulaire contact, newsletter
Présentation de la marque, page actualité
Recherche de points de vente
Site en version français et anglais
Pas de publicité gênante, pop up
www.messika.com
Les axes d’amélioration
Manque une sélection par type de produits
Pages trop longues
Pas de moteur de recherche
Réseaux sociaux pas assez développés : facebook,
instagram + partage sur pinterest et twitter
Pas de flux RSS
Pas de vente en ligne : e shop
Pas d’information produits : une seule image (manque
différentes positions des produits), mauvaise qualité des
photos, pas de zoom possible, pas de descriptions
détaillées, pas d’informations sur la provenance des
produits
Pas de descriptif sur la collection : inspirations
Pas de géolocalisation
6. La stratégie digitale
Les réseaux sociaux
Les plus
Facebook, instagram
Possibilité de partage sur twitter, pinterest, facebook
Application skinny collection
Les réseaux sociaux
Les axes d’amélioration
Compte instagram trop formel: pas d’intéraction avec
les fans
Page facebook : ne répond pas aux fans, publications
trop espacées
Pas de twitter,
7. Recommandations
Garder l’ADN de la marque
Développer un eshop
Augmenter la visibilité sur les réseaux sociaux : développer un compte twitter
Communiquer plus avec ses clients : être plus proche, plus accessible
Restructuré le site internet actuel : descriptifs plus détaillés, meilleures, images, moteur de
recherche, catégories de produits, inspiration des collections
Penser à une digitalisation en magasin
Le marché mondiale de la joaillerie se porte bien, il est estimé a plus de 150 milliards de dollars, il est plus important que celui de l'horlogerie qui est estimé a moi de 40 milliards de dollars. Selon une étude de la Banque Barclays, Richemont pourrait tirer son épingle du jeu car les marques Cartier, Van Cleef & Arpels et Piaget permettraient une croissance organique de 15% contre seulement 7% pour le pôle horlogerie. L’ouverture ou l’agrandissement de boutiques monomarques joaillières participerait donc logiquement de cette tendance haussière. D’autant que l’engouement mondial pour les pierres précieuses et les bijoux reste dominant. Selon l’étude Barclays «Profite or pleasure?» 57% des personnes interrogées déclarent posséder de la joaillerie, l’art ne totalisant que 47% des personnes fortunées interrogées en 2012. En 2011, la demande en or a excédé 200 milliards, selon le World Gold Council. Les pierres précieuses ont également suivi cette tendance, des records inégalés ayant été atteints lors des dernières ventes aux enchères. Chez Sotheby’s, un diamant blanc de 118,2 carats était adjugé 30 782 560 dollars à Hongkong, en octobre dernier. En novembre, Sotheby’s Genève se préparait à battre son record absolu (détenu par David Bennett avec le «Graff Pink» vendu plus de 46 millions de dollars) avec le «Pink Star» (59,60 carats) estimé à près de 60 millions de dollars. Selon Elke Berr, gemmologue et fondatrice de la société Berr & Partners SA à Genève, une entreprise de négoce et de conseil en pierres précieuses fondée en 1986, «l’évolution des ventes de pierres de couleur et de diamants est importante. Selon un rapport du cabinet de conseil Bain & Company, effectué en collaboration avec l’Antwerp World Diamond Centre, ce marché atteindra 26,1 milliards de dollars dans sept ans, contre 15,6 milliards en 2011. Il s’agit d’un taux de croissance de 6% par an, d’après le Global Diamond Industry Report. Pour les pierres de couleur, régies par un marché libre, la demande continue d’augmenter très positivement pour les gemmes de qualité. La crise financière mondiale a joué un rôle important; les valeurs se volatilisent et la confiance dans les institutions bancaires est devenue plus sensible. De ce fait, les clients cherchent donc à diversifier leurs portefeuilles et investissent de plus en plus dans des placements alternatifs tels que les pierres précieuses. Ce qui engendre également une raréfaction de ces dernières sur le marché. De plus, le fait qu’on trouve de plus en plus rarement de nouveaux gisements renforce la tendance et fait monter les prix.»