5. Aujourd’hui le scanner
thoracique est obtenu en
12 s avec une qualité
d’image optimale (64 ou
128 coupes de 0.6mm) et
un temps de rotation de
0.4s
4040 mm de couverture en
une rotation
2020 images /s
reconstruction time
6. Nombre de couronnes (64 )corollaire: meilleure
couverture volumique.
Réduction du temps d’acquisition 12 s.
16 barrettes 25 s
64 barrettes 12 s.
Réduction des artefacts cinétiques.
7. Sensibilité, Spécificité
Le dépistage par scanner faiblement irradiant, du
cancer du poumon permet de réduire de 20% les
décès chez les fumeurs par rapport au dépistage par
radiographie selon l’étude américaine NLST.
La recherche systématique de nodules mettra en
évidence au moins un nodule non calcifié dans la
moitié des cas.
Mais cette sensibilité est limité par le manque de
spécificité: 98% de ces nodules ne seront pas des
cancers.
8. Le concept de dépistage
Détection d’une maladie à un stade où un traitement peut
en changer le pronostic.
Ce test doit être :
sensible.
Spécifique.
Sans effets secondaires.
Le rapport cout- bénéfice jugé favorable. Il doit modifier
la mortalité spécifique pour la maladie recherchée.
A ce jour le dépistage est recommandé pour le cancer du
sein, le col de l’utérus et le colon.
9. Le dépistage par CT faible dose:
technique
Cette technique d’imagerie n’utilise que 10% de la
dose d’irradiation habituelle pour un CT scan
conventionnel.
L’acquisition des images est obtenue en 10 à 12 sec en
une seule inspiration.
Sans produit de contraste.
10. Irradiation
Une radiographie thoracique expose le patient à 0.02
mSV.
Le scanner low dose( LDCT) 0.5-3.6 mSV ( 25 rx
thorax)
Le scanner haute résolution(HRCT) 6-12 mSV(300
thorax)
L’exposition au rayon X à 40 mSV/an ( 2000
radiographies thorax) comporte un risque de cancer
significatif.
11. Le dépistage doit s’adresser à une population
spécifique( National Lung Screening trial NLST)
Personnes âgées de 55 à 74 ans avec plus de 30
paquets années)
13. Patient âgé de 54 ans.
Grand tabagique.
Douleurs thoracique.
Epreuve d’effort non réalisable (lésion traumatique au
niveau du genou.
Aspect normal des coronaires au coroscanner.
Les coupes thoraciques…
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22. Conclusion
Le traitement du cancer bronchique est décevant
malgré les progrès de la chirurgie et la
chimiothérapie.
Le nombre total de décès est supérieur à la somme
des trois autres cancers ( sein , col de l’utérus et
colon)
La dépistage du cancer bronchique devrait être
promoteur puisque si le diagnostic est précoce, la
chirurgie guérie 70% des cancres bronchiques.
Le CT scan thoracique à faible dose ouvre de
nouvelles perspectives.