1. PROLOGUE
Auphélie est une jeune fille différente des autres gamines de son âge.
C'était quelqu'un qui réfléchissait beaucoup. Elle avait une pensée
différente des autres enfants. Son esprit était très imaginatif et
créatif. Auphélie a une philosophie des choses un peu distincte des
autres ados. C'est à la fois une être calme, sage et renfermée en elle-
même. Depuis quelque temps, ses larmes ne coulèrent plus, elle
souriait moins et s'isolait.
Souvent, on aurait dit que son regard se perdait au loin. C'était
comme si elle cherchait quelque chose parmi les étoiles, mais ne
voyait rien. Aussi, on aurait dit qu'elle communiquait avec des êtres
de nulle part.
Elle cachait un secret en elle. Même si elle aurait voulut en parler, elle
ignorait les mots pour le révéler. En fait, chaque fois qu'elle voulait
dire quelque chose, elle ne savait comment. Les mots n'avait pas de
sens pour ce qu'elle voulait exprimer.
Auphélie est une jeune fille qui a eu à surmonter plusieurs épreuves.
C'est quelqu'un dont l'âme est forte. Elle a parcouru des chemins
parfois difficiles , mais les a tous surmonté.
Voyagez à travers les pensées d' Auphélie et découvrez un autre
univers philosophique bien différent de ce que vous pouvez imaginer.
Découvrez ce qu'il ce passe dans l'âme d'une jeune fille de treize ans,
vous serez bien étonné.
Elle était vêtu d'une robe blanche qui illuminait dans la nuit. Le vent
2. caressait son visage et ses longs cheveux couleur d'ébènes
dansaient. Elle écoutait le doux hululement de la chouette.
Ses yeux noirs perdu dans ce ciel étoilé, elle restait immobile. À quoi
pensait-elle?
Souvent, elle paraissait troublée et elle passait la majorité de son
temps seul.
Normalement à son âge, elle devait plutôt penser à profiter de la vie
et s'amuser avec des ami (es). Pourquoi semblait-elle si singulière
aux autre enfants?
Pourquoi cette air calme et sérieux? Dans ses yeux, on pouvait lire
une envie de solitude et de liberté.
Dehors, seul dans le noir, assit sur un rocher recouvert de mousse,
elle rêvait. Comme rêvait une enfant qui avait perdu espoir.
1
Je me suis arrêtée proche du ruisseau et je m'assis sur mon rocher.
J'adorais la nature, je pouvais passer des heures seul dans le bois.
J'écoutais la vie me parler, j'écoutais se qu'elle m'enseignait. Je la trouvais
sage, dame nature, elle savait tant de choses. Tant de secrets que j’asseyais
de comprendre. Je me rappelle quand Dame Nature m'a dit que je pouvais
3. comprendre tous les secrets de l'univers en tendant bien l'oreille. Depuis, je
ne fais pas seulement entendre, j'écoute. J'écoute ce que la vie me dit.
Depuis, je trouve le monde bien petit. C'est pour cela que je fixe le ciel sans
cesse, je me demande que peut il y avoir au delà de cette large toile bleu.
Somme nous prisonnier? Si oui, pourquoi le sommes nous? Si non, pourquoi
nous ignorons ce qu'il y a au delà? Il devait sûrement y avoir un moyen de le
savoir. J'avais beau écouté l'univers, mais on aurait dit que la réponse restait
introuvable.
Toi la chouette, le sais tu? Sais tu ce qu'il y a au delà?
Comment briser se misérable mystère?
Elle vint se poser sur elle, la fixant de ses grands yeux verts fluo. On
aurait dit qu'elle l'avait comprit! Elle avait un beau plumage brun doré.
Auphélie adorait écouter son doux hululement se perdre dans les
profondeurs de la nuit.
À vrai dire, elle était plus proche des animaux et de la nature que des
humains.
J'arrivais à comprendre la nature et les animaux et ils arrivaient à me
comprendre.
Je me suis toujours senti différente des autres, mais sans savoir pourquoi.
Ce que j'aimais le plus avant tout, c'était la solitude. J'étais loin d'être
quelqu'un de timide. Seulement, on aurait dit qu'une sorte de mur se dressait
entre moi et les autres et trop apeurée par ce que je pourrais trouver l'autre
côté, je n'essayais même pas de le dépassé.
Je voyais la nuit se changer en jour, il fallait que je rentre.
J'ai jetée un dernier regard au magnifique levé de soleil et je me levis.
Elle se remit en pyjama, Auphélie était très fatiguer, heureusement
s'était samedi. Lorsqu'elle se réveilla, il était midi, mais elle n'avait pas
faim.
4. Elle ne prit pas le temps de faire son lit, de toute manière Auphélie ne
le faisait jamais, puisque elle le défaisait ensuite. Auphélie prit sa
douche et se dépêcha à sortir, mais avent qu'elle est eu le temps de
mettre un pied dehors sa mère lui dit « Auphélie, qu'est ce que c'est
cette histoire de te sauver sans venir me voir?» « Eu..» était-elle au
courant que j'étais sortis cette nuit? « Tu n'est même pas venu me dire
bonjour!» Elle lui répondis «Bonjour» Ouf, elle ne savait rien.
«Viens voir maman ma chéri» Elle émit un grognement et répondit
«Je ne peux pas je sors» « Allons, tu n'a même pas manger» « J'ai
pas faim, je sors, je reviens vers 2h»
Avant qu'elle n'ajoute autre chose, elle se dépêcha à ouvrir la porte.
Cette après midi, j'avais grand besoin de solitude. Depuis le rêve que j'avais
fais, je sentais une drôle de présence et seul dame nature saurait ce que cela
veut dire.
Je m'arrêtais de marcher un instant et je me mis à écouter la nature.
La nature était la plus belle mélodie.
J'écoutais le vent souffler dans les feuilles colorées des arbres. Les pas d'un
écureuil qui crispaient sur le sol.
Le vole des hirondelles qui partaient loin dans le sud. Le bec d'un pic-bois
sur un tronc d'arbre faisant résonner la forêt.
. C'était une véritable symphonie.
«Dame nature?» appelais-je. «J'ai quelque chose à vous raconter»
Rien...Soudain un grand coup de vent fit trembler tous les arbres de la forêt.
Je répondis,« C'est vous dame nature? J'ai rêvé à quelque chose d'étrange»
D'un coup, tout se tut. Alors je m'assis contre une souche d'arbre et je me
mit à raconter mon récit.
( J'étais au milieu de nul part et je marchais dans le vide. Il faisait noir et je
ne voyais rien. Puis, sans savoir pourquoi, je me mis à avoir tout d'un coup
5. très peur. Je ne pouvais absolument plus avancer, quelque chose me bloquait.
Une lumière terriblement forte me jaillit au visage et me fit mal au yeux. Je
tombais dans un grand tunnel noir sans fin. Puis je m'ouvris les yeux et à ce
moment je me suis réveillée. )
Dame nature me caressait de son doux vent léger. Je levis les yeux vers le
ciel, et je vit une flèche qui se dessinait dans les nuages.
Qu'est ce qu'elle pouvait bien dire.
Je l'observais attentivement et me rendue compte que celle-ci pointait vers
moi.
À l'instant même, la flèche disparue et le ciel fût déserté de ses
nuages.
Je restais tout de même quelque moments perplexe. Ce rêve c'était comme
une énigme? Qu'est ce que cela pouvait bien dire? Puis, cette énigme, d'où
venait elle?
Elle avait une foule de questions qui lui venait à la tête.
Dame nature, je ne saisie pas ton message.
Elle était loin de se douter de ce qui l'attendait. Derrière cette énigme
se cachait la plus grande des aventures.
2
Auphélie était dans sa chambre.
Appuyée sur le rebord de sa fenêtre, ses yeux fixaient le vide.
Sa main gauche placée sou son menton comme si elle voulait
réfléchir. Pourtant, dans son regard lucide, il y avait l'incertitude.
6. Dans la vie, chaque être vivant est nés pour un destin différent, mais ceux-ci
les mènent tous à la même fin. Dans la vie, chaque être vivant vivent dans le
but de vieillir et de mourir. Lorsque l'on naît, c'est pour mourir. Pourquoi?
Que l'on soit un roi, premier ministre, fonctionnaire ou marchand, la mort
vient nous chercher.
Je représenterais la vie comme une immense forêt dans la quelle nous
traçons notre chemin et que nous finissons par tomber sans jamais pouvoir
atteindre la sorti.
Seulement, je me demande s'il existe des personnes qui auraient réussi à
franchir cette immense forêt. Si oui je me demande que sont elle devenu?
Qui a t-il l'autre côté? Comment pouvons nous le savoir?
Elle ferma ses yeux comme si elle aurait voulu se perdre encore plus
loin dans son imaginaire. Devant elle, une hirondelle aux ailes bleus
argentées s'était posée. Alors qu' Auphélie ouvrait les yeux, celle ci
s'envola comme un coup de vent. Dans un long soupir, elle s'affala
sur son lit. Les yeux à demi fermées, elle s’endormit.
Un long chemin sur lequel je marchais s'étendait vers l'horizon. Autour de
moi, un brume épaisse dansait. Des notes légères flottais au dessus de ma
tête et mes pieds entraînés
sur des pas de danse. Menée par la musique j'allais je ne sais où, à demi
somnambule, mais consciente.
Elle était déjà bien loin dans ses songes lorsque sa mère vint la
réveiller. Bousculée à nouveau par un rêve étrange, elle descendue à
la salle à manger.
Machinalement, j'ai emprunté les escalier pour me rendre où était dressée la
table.