2. Les agriculteurs ont besoin d’outils de
gestion des risques pour...
• Sortir de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire
• Investir et sécuriser leurs investissements pour
augmenter leur production et leur productivité
• Obtenir des financements adéquats pour leurs
investissements
L’assurance est un outil de gestion du risque
climatique
3. L’assurance agricole est encore très peu
développée en Afrique
• Moins de 1 % des primes d’assurance agricole, contre
près de 20 % des terres cultivées
• Une floraison d’initiatives, basées essentiellement sur des
assurances indicielles
- Principe : l’indemnisation n’est pas déclenchée par
l’observation d’une perte de rendement individuelle, mais
par l’évolution d’un indice de référence (pluviométrie,
température, rendement moyen régional, etc.)
- Avantages théoriques sur l’assurance classique :
pas d’aléa moral ni d’antisélection, primes moins chères,
réassurance plus facile
4. Mais les assurances indicielles peinent à
décoller
• Plusieurs obstacles
- Risque de base
- Coût des primes
- Coût de la distribution
- Etc.
5. Comment lever ces obstacles ?
• Impact de la technologie
• Rôle des différents acteurs
- privés (agriculteurs, OP, assureurs,
réassureurs, distributeurs d’intrants...)
- publics (Etats, organisations internationales)
• Lien avec les systèmes de crédit
6. Le panel
• Francesco Rispoli, conseiller technique, Finance rurale,
FIDA
• Ismaila Diakite, président de la coopérative Coprocuma,
Mali
• Bryn Davies, Market and Capacity Development Manager,
Index-Based Livestock Insurance (IBLI), Kenya
• Sylvain Dufour, conseiller en crédit agricole, Système de
financement et d’assurances agricoles en Haïti (SYFAAH)
• Jean-Christophe Debar, Fondation pour l’agriculture et la
ruralité dans le monde (FARM), Paris