Ceci est le descriptif du projet, à destination exclusive des artistes retenus par le créateur du projet.
Tous droits réservés sur ce document, large diffusion impossible sans l'accord du créateur du document.
Par contre, le projet sera lui en libre diffusion.
1. Projet THE RUST FACTORY
1) Définition du projet :
C’est la création d’un album coopératif, regroupant des artistes de la scène eletronic autour
d’un thème et d’une histoire imposés, et au sein d’un même collectif.
2) Objectifs :
- Valoriser les artistes utilisant les licences libres.
- Valoriser la Musique Libre.
- Proposer un concept original.
- Créer un véritable conte numérique audio.
- Donner envie à d’autres artistes (non musicaux) de venir se greffer au projet.
- Faire vivre le collectif sur plusieurs albums (au moins 3)
3) Echéancier de la démarche :
a) Réunir le collectif.
b) Valider le modus operandi.
c) Valider l’histoire du premier album (et le synopsis des 2 suivants).
d) Attribution des thèmes musicaux par artistes.
e) Réalisation des compositions originales.
f) Campagne de communication.
g) Hébergement de l’album, choix de la licence, etc.
h) Campagne de dons (à voir)
i) Ouverture du projet à d’autres artistes (Vidéo, BD, etc.)
4) Pré-modus operandi :
Pour conserver toute sa cohérence, le projet imposera certaines contraintes. Le but n’est pas
de brider la créativité ! Mais simplement d’obtenir un « fil rouge » que chaque auditeur
pourra discerner aisément. Voici les premiers éléments :
1) Le style de l’album sera plus ou moins autour de la musique electronic. La palette de la
musique dite « electronic » est vaste. Par exemple, si du nu-jazz-electro pourra avoir sa
place sur l’album, ce ne sera pas le cas d’un titre de jazz.
2) Il n’y aura pas de contrainte de durée (dans les limites du raisonnable).
The Rust Factory – écrit par chefgeorges – texte sous cc-by-sa-nd
2. 3) Par contre, chaque morceau devra contenir des « bruits ». Des sons liés au monde de
l’industrie, des machines à vapeurs, des engrenages, de la vie dans une vieille usine, etc.
En fait, chaque titre aura ainsi un même fil conducteur. Suivant les situations décrites sur
un morceau spécifique, des bruitages seront imposés (mais le choix de ceci sera laissé
librement à l’artiste).
4) Une fois l’attribution thème/artiste faite, on s’attendra à ce que le rythme et l’ambiance
du morceau retranscrive l’histoire raconter.
Concernant l’habillage de l’album et la communication :
1) Elle sera géré principalement par chefgeorges, créateur du projet, et ce afin de garantir
une unité sur l’ensemble de l’album. Ainsi, chaque titre aura une pochette spécifique, en
plus de la pochette de l’album. Elle reprendra les codes du logo THE RUST FACTORY.
2) Par contre, la page facebook et le compte twitter seront délégué à qui voudra bien s’y
investir. Seul les éléments d’habillage seront fournis pas chefgeorges, mais la gestion de
ces réseaux sera entièrement délégué.
3) Ce ne sera pas le cas du site officiel (vitrine du projet), qui sera géré par chefgeorges.
Site internet « vitrine » :
The Rust Factory – écrit par chefgeorges – texte sous cc-by-sa-nd
3. Exemple de pochette-titre personalisée :
5) L’esprit du projet.
Cet album ne se veut pas « revendicatif ». Ou en tout cas, pas de prime abord. Le but, par
exemple, n’est pas avant tout de démontrer la déshumanisation du monde du travail.
Mais de part l’histoire de ce conte fantastique, cet aspect ressortira de fait à un moment,
en « sous-entendu ».
Sur ce projet, c’est la musique qui est le premier moteur.
6) Participation/inscription au projet.
Chefgeorges, en tant qu’initiateur du projet, se réserve le choix des artistes présents
dans le collectif. Ainsi, certains seront contactés directement.
Il est toutefois possible de faire « acte de candidature ». Pour cela, prendre contact avec
chefgeorges à therustfactory@blogdechefgeorges.fr en prenant soin de donner ses
motivations et un lien vers au moins un de ses albums.
Néanmoins, toutes les demandes ne pourront pas forcément être retenues.
7) Quelle licence ?
La question n’est pas encore arrêtée et pourra éventuellement faire l’objet d’une
discussion au sein du collectif.
Deux solutions sont d’ores et déjà envisagées :
o La LAL (Licence Art Libre)
o La CC-BY-ND-NC (Creative Commons)
8) Aussi sur Jamendo ?
Non. Cela ne sera pas négociable. Trop de divergences d’options et de valeurs éthiques
entre le créateur du projet et Jamendo. L’album ne sera donc pas diffuser sur Jamendo.
Néanmoins, individuellement chaque artiste sera libre de diffuser ses créations comme il
le souhaite, y compris sur Jamendo.
The Rust Factory – écrit par chefgeorges – texte sous cc-by-sa-nd