2. Le travail du journaliste est de: - transmettre une information : Quel que soit le média (ou la méthode de transmission de l'information), la mission essentielle du journaliste consiste à transmettre une information sur n'importe quels sujet et support, en la rendant compréhensible et accessible à divers publics (lecteurs, auditeurs, téléspectateurs, internautes...). - collecter et traiter l'information: Pour préparer un article, le journaliste se documente, observe minutieusement les faits, décortique l'actualité et utilise toutes ses connaissances pour en retirer un commentaire pertinent. Selon les cas, il peut être spécialisé (en politique intérieure, sport, société.) ou bien polyvalent. - Respecter certaines règles Quel que soit le support, le journaliste doit respecter quelques règles de base. Par exemple, vérifier ses sources et ses infos, choisir un angle (approche originale d'un sujet) et hiérarchiser les informations. Lors de l'élaboration de son papier, il ne doit jamais perdre de vue son lecteur et chercher à capter son attention.
3. Qualités requises: Il est nécéssaire que le journaliste possède un esprit de synthèse, extrême rapidité d’écriture. Pour l'ensemble des postes, un bon niveau de culture générale et un diplôme d'études supérieures ou une expérience sont nécessaires. Evolution: Nous pouvons accéder à ce métier a près plusieurs années d’expérience, un journaliste peut occuper des postes de responsabilité au sein d’une rédaction : chef de rubrique, secrétaire de rédaction, rédacteur en chef adjoint, puis rédacteur en chef.
4. Quelques exemples de fonctions en journalisme: Journaliste rédacteur Sa fonction varie selon le média pour lequel il travaille : presse écrite, radio, télévision, agence de presse, multimédia. Dans la presse écrite Le grand reporter est l'une des figures mythiques de la presse. Il est le témoin de l'événement, le généraliste de l'actualité. Il est capable aussi bien de traiter de politique que de société, faits divers, diplomatie... Le localier traite tous les sujets qui font l'actualité de sa ville et des environs pour alimenter la rubrique locale des quotidiens régionaux. Le correspondant réside dans le pays pour lequel il est chargé de suivre l'actualité et dont il est le spécialiste. En poste dans les grandes capitales étrangères, il travaille pour les quotidiens nationaux, les grands hebdomadaires généralistes ou pour plusieurs journaux à la fois. Le spécialiste :expert dans un domaine précis, il utilise cette compétence pour approfondir l'information. Il travaille dans la presse spécialisée mais aussi dans les quotidiens et périodiques généralistes (rubriques spécialisées en économie, sciences, multimédia...). A la radio Média de proximité, la radio permet la diffusion de reportages "à chaud". La rédaction d'une radio se compose d'une majorité de reporters , souvent polyvalents, qui mènent enquêtes et interviews sur le terrain. Le journaliste radio réalise montage et commentaire. Le flash-man fait régulièrement le point sur l'actualité : à partir de dépêches, il fait ressortir l'information essentielle en quelques minutes. A la télévision ou en agences de production A la télévision, le rédacteur et le cameraman constituent toujours le tandem de la rédaction. La généralisation du camescope a permis l'apparition d'un nouveau métier : le journaliste reporter d'images (JRI). Il propose le sujet au rédacteur en chef, coordonne le tournage, effectue les interviews, réalise le commentaire et supervise le montage. Les agences de production livrent des reportages clé en main. En agence de presse A partir d'informations recueillies sur le terrain, le correspondant rédige les dépêches et les envoie au desk (siège de l'agence). Là, d'autres journalistes relisent, adaptent, traduisent puis diffusent sur les téléscripteurs des clients-abonnés. A côté de grandes agences internationales, généralistes, il existe un certain nombre d'agences souvent spécialisées dans un domaine précis (finances, nouvelles technologies,...) ou dans la photo. Dans la presse multimédia L'essor de la presse électronique offre de nouvelles perspectives au métier de journaliste : transcription de dépêches d'agences, rédaction d'articles pour le web... pour des supports tels que Internet, CD Rom, bases de données... Tout en adoptant une démarche journalistique et un style concis, il faut intégrer aux articles des séquences animées, sonores et des liens hypertextes.
5. Secrétaire de rédaction Sous l'autorité du rédacteur en chef, le secrétaire de rédaction (SR, dans le jargon professionnel) est responsable de la réalisation du journal, de la collecte des documents rédactionnels jusqu'au bouclage. Il assure le lien entre la rédaction et la fabrication du journal : il relit, corrige les articles, retravaille les titres et chapeaux, choisit l'iconographie, rédige les légendes, veille également aux délais de bouclage. Le SR possède le statut de journaliste et la carte de presse. Chef de service - Rédacteur en chef Il existe une hiérarchie dans les rédactions, entre le journaliste débutant et le directeur de la rédaction. Les rédactions ressemblent à une mosaïque de départements d'information appelés "services". A la tête de chacun d'eux, le chef de service coordonne, gère le planning des journalistes, attribue les sujets à traiter. Il est en relation avec le comité de rédaction et l'ensemble des journalistes de son service. Le rédacteur en chef est responsable de la ligne éditoriale. Il veille au contenu du journal, choisit les sujets, anime l'équipe de rédaction et organise matériellement la réalisation du journal. Pigiste Beaucoup de journalistes commencent leur carrière en tant que pigistes. Ils interviennent ponctuellement, dans un ou plusieurs supports, au gré des besoins des rédactions. Journaliste à part entière, le pigiste a droit à la carte de presse. Il est le plus souvent payé "à la pige", c'est-à-dire selon le travail fourni : "feuillet" (1 500 signes), reportage...
6. Formation: Aucune formation spécifique n’est absolument obligatoire mais, dans la pratique, les jeunes journalistes sont de plus en plus diplômés comme nous allons le voir ultérieurement. Si le métier reste encore ouvert aux autodidactes sortis notamment de l’université, les écoles de journalisme reconnues par la profession demeurent la voie royale. Ces filières offrent l’avantage de former des jeunes rapidement opérationnels (grâce aux nombreux journaux-écoles et stages pratiques) et ayant une approche transversale des différents médias, et d’être des lieux d’apprentissage à la fois des techniques de la presse écrite et de celles de l’audiovisuel.
7. Les formations reconnues : Bacs conseillés : généraux Niveau d’entrée : bac, bac+2/3 Sélectivité : élevée Coût de la formation : moyen/élevé Insertion professionnelle : pas très facile
8. Les IUT L' IUT [institut universitaire de technologie] de Tours et l'IUT de Lannion délivrent un DUT(diplôme universitaire de technologie) information-communication option journalisme en 2 ans. Ce DUT forme des professionnels dans toutes les spécialités de l'information et de la communication. Le titulaire de cette option peut accéder aux fonctions de rédacteur ou de secrétaire de rédaction dans la presse écrite (quotidienne, périodique...), à la radio, à la télévision ou en agence de presse. Le Web, en tant que support d'information, recrute également des journalistes. Qu'il soit généraliste ou spécialisé, un journaliste peut travailler au sein d'une équipe réduite comme au sein d'une rédaction importante. Il peut être chargé de la recherche d'informations et de la rédaction, ou de la réalisation technique des productions. Il rend compte de l'actualité, l'analyse pour la mettre en perspective ; il hiérarchise l'information, rédige des articles ou prend des images. Il maîtrise les différents genres journalistiques, les types de cible et de support. Enfin, il connaît bien le fonctionnement de la structure dans laquelle il travaille et sait dialoguer avec les services techniques. Pour arriver dans une ecole de journalisme nous pouvons obtenir un bac+2 mais souvent ceux qui réussissent à rentrer dans les écoles les plus reconnu obtiennent un bac+4ou 5 .
9. Les écoles privées Le CFJ (Centre de formation des journalistes) Celui-ci certifie un diplôme de journalisme visé par l'Education nationale. Admission : Bac + 3 ; Concours. Scolarité : Durée des études : 2 ans. Frais scolarité : 4380 € par an. Frais d'inscription : 194 €. l’IPJ (Institut pratique de journalisme) à Paris. Admission : Bac + 3 ; Concours. Scolarité : Durée des études : 2 ans. Frais scolarité : 4380 € par an. Frais d'inscription : 194 €.
10. l’ESJ (École supérieure de journalisme) à Lille C'est un établissement privé d’enseignement technique supérieur dispensant d'une Formation de journaliste de la presse hebdomadaire régionale Seulement 56 places sont accordées chaque année. Admission : Bac + 2 et être âgé de moins de 24 ans, ou moins de 26 ans et avoir 2 ans d'expérience professionnelle ; Dossier, concours. Scolarité : Durée des études : 1 an. Frais scolarité : 3900 €. Frais de sélection : 60 €. l’EJT(École de journalisme de Toulouse). C'est un établissement privé associatif d’enseignement supérieur. Seulement 30 places sont accordées chaque année. Admission : Bac + 2 ; Concours. Scolarité : Durée des études : 3 ans. Frais scolarité : 3750 € en 1ère année, 3750 € en 2e année, 3000 € en 3e année. Frais de sélection : 100 €.
11. Le cursus universitaire L'École des hautes études en sciences de l’information et de la communication (CELSA-Paris 4) CELSA Crée en 1979, la formation en communication et journalisme du CELSA est reconnue depuis 1981 par la profession. Grande école rattachée à l'université Paris-Sorbonne (Paris IV), le CELSA mène des recherches et dispense des formations professionnelles de haut niveau en journalisme, communication, marketing, publicité et ressources humaines. Il délivre les diplômes de Licence , Master professionnel, Master Recherche, Mastère spécialisé, Doctorat, Magistère et MBA. Grande école rattachée à l'université Paris-Sorbonne (Paris IV), le CELSA est une école publique. Le CELSEA propose deux types de formations adaptées à deux types de personnes. D'une part, la formation initiale, qui est sans doute la plus connue. Elle s'adresse au jeunes étudiants débutant à peine dans l'étude des métiers de la communication et du journalisme. Ce type de formation propose : Une formation en journalisme 5 formations en communication : - Communication des entreprises et des institutions - Médias et communication - Magistère de communication - Marketing, publicité et communication - Ressources humaines et communication Un master recherche et des études doctorales
12. Chaque année, le CELSA accueille sur concours d’entrée des candidats de formations diverses et forme plus de 800 étudiants. L'école a fait le choix d'une formation généraliste développant des compétences culturelles, critiques, et professionnelles préparant à des fonctions aussi bien dans la communication que dans le journalisme en général. Les enseignements sont pilotés par des universitaire et des professionnels des métiers, ce qui permet de nombreuses mises en situation professionnelles, ainsi que de nombreux partenariats. L’objectif est est donc de donner aux étudiants des fondements de connaissances en sciences humaines et sociales en général et en sciences de l’information et de la communication en particulier, tout en les spécialisant progressivement les filières professionnelles de leur choix.
13. Quelques détails sur les formations proposées... Formation Journalisme : L’école propose formation développant des compétences culturelles, critiques et professionnelles, préparant à des fonctions aussi bien en presse écrite qu’en presse audiovisuelle ou multimédia avec un choix en dernière année de spécialisation. Le cursus se déroule sur 2 ans. La scolarité fait alterner cours théoriques et enseignements professionnels avec 3 périodes de stage (7 mois minimum). Les programmes sont aux normes des critères de la Commission nationale pour l'emploi des journalistes. L'enseignement en formation journalisme au CELSA associe des cours théoriques, à études de cas, des réalisations diverses, des enquêtes, ou encore des mises en situation professionnelle. Le Master professionnel Information et communication, spécialité Journalisme valide cette formation. Le diplôme du CELSA, mention Journalisme, est délivré aux étudiants ayant obtenu le Master professionnel.
14. Master communication des entreprises et institutions La communication institutionnelle recouvre le champ des politiques et des problématiques liées à la réputation, à la notoriété ou à l’image des organisations auprès des publics internes et externes. Les métiers auxquels cette filière prépare requièrent une solide culture générale et s’exercent soit en agence, cabinet conseil, en indépendant ou au sein d’un service de communication d'une entreprise, d'une collectivité territoriale, d'une association, d'une institution publique etc... Diplômes délivrés en suivant cette formation : 1re année : le diplôme de Licence Information et Communication, parcours Communication des entreprises et des institutions est délivré aux étudiants qui ont obtenu une moyenne au moins égale à 10 aux épreuves écrites et orales ainsi qu’au rapport de stage. - Le diplôme de Master professionnel Information et communication, spécialité Communication des entreprises et des institutions valide cette formation. - Le diplôme du CELSA est délivré aux étudiants qui ont obtenu le Master professionnel.
15. Master Médias et communication Les transformations de médias dits traditionnels (presse, radio, télévision) et la création accélérée de médias (sites web, blogs, presse d’entreprise, etc) nécessitent des connaissances et des compétences professionnelles spécifiques. L’objectif est de former des professionnels de la communication polyvalents et réactifs. Leur expertise médiatique est alliée à des compétences transversales en communication, marketing et ressources humaines. Diplômes délivrés en suivant cette formation: Le diplôme de Licence Information et Communication, parcours Médias et communication valide la première année. - Le diplôme de Master professionnel Information et communication, spécialité Médias et communication valide cette formation. Le diplôme du CELSA est délivré aux étudiants qui ont obtenu le Master professionnel.
16. Master Marketing, Publicité et Communication La consommation est un domaine en mutation constante et rapide. Les théories, les démarches, les outils et les techniques y évoluent en permanence. La filière Marketing, publicité et communication du CELSA forme les futurs professionnels qui sauront comprendre et accompagner ces évolutions. La filière se donne pour vocation de former des stratèges du marketing et de la communication commerciale Diplômes délivrés en suivant cette formation: Le diplôme de Licence Information et Communication, parcours Marketing publicité et communication est délivré aux étudiants qui ont obtenu une moyenne au moins égale à 10 aux épreuves écrites et orales ainsi qu’au rapport de stage. - Le diplôme de Master professionnel Information et communication, spécialité Marketing publicité et communication valide cette formation. Le diplôme du CELSA est délivré aux étudiants qui ont obtenu le Master professionnel.
17. Modalités d'accès à différents niveaux pour tous les masters Soit Accès à bac+2 en Licence 3 Il faut passer des épreuves écrites et orales pour être admis au CELSA. Par mis les épreuves écrites, on retrouve une épreuve propre à l'option choisie avec un exercice de réflexion et un exercice d'analyse, ainsi qu'une épreuve commune d'anglais. Une fois les épreuves écrites passées, si le candidat est déclaré « admissible », il passe alors un entretien avec un jury et un examen oral qui évalue le niveau en anglais des candidats. Pour s’inscrire en Licence 3, les étudiants doivent avoir suivi un cycle de deux années d’études supérieures dans un établissement public ou privé, français ou étranger. L’âge limite pour concourir est fixé à 23 ans au 31 décembre de l’année du concours. La limite est repoussée à 24 ans pour les titulaires d’un diplôme bac+ 3 et à 25 ans pour les titulaires d’un bac+4 ou plus. L’attestation de réussite à ces 2 années (diplôme ou passage en 3ème année) sera exigée lors de la rentrée universitaire. Les étudiants non francophones devront justifier d’un bon niveau de français. Les étudiants admissibles au concours d’entrée à l'École Normale Supérieure sont dispensés des épreuves écrites (l’année de l’admission au concours et l’année suivante), ils ne s’inscrivent que pour les épreuves orales du concours. Les étudiants ayant suivi durant les années 2008-2009 et 2009-2010 les enseignements de 1ère et 2ème année de Licence à l’université Paris-Sorbonne dans les parcours Lettres, Philosophie, Sociologie, LEA, Histoire et Géographie peuvent être dispensés des épreuves écrites du concours. Ou Accès à bac+4 en Master professionnel 2, deux options sont proposées. Pour s’inscrire en Master professionnel 2e année, les étudiants doivent avoir suivi un cycle de quatre années d’études supérieures dans un établissement public ou privé, français ou étranger. Il n’y a pas de limite d’âge. Les étudiants non francophones devront justifier d’un bon niveau de français. Les salariés ayant exercé une activité professionnelle dans le champ pendant au moins un an, peuvent candidater dans les master 2 en cas de reprise d'études.
18. Coût des formations Le seul « inconvénient » du CELSA reste la difficulté du concours. Les frais de scolarité sont les mêmes qu'en université, à savoir environ 300 euros par an. Le CELSA est donc une formation de qualité, la plus reconnue dans le monde de la communication en France et propose des formations accessibles financièrement à tous.
19. Le Centre universitaire d’enseignement du journalisme (CUEJ-Strasbourg 3) , délivrant un master pro en journalisme Admission en M1 : Licence toutes disciplines ; Concours, dossier, entretien. Admission en M2 : Dossier, entretien. Scolarité : Durée des études : 2 ans. l’École de journalisme et de communication de Marseille (EJCM-Aix-Marseille 2) délivrant un master professionnel information et communication, spécialité journalisme. Admission en M1 : Licence ou équivalent ; Concours (20 places par promotion). Scolarité : Durée des études : 2 ans.
20. l’Institut français de presse (IFP-Paris 2) délivrant un Master professionnel information et communication, spécialité journalisme, option journalisme juridique possible. Admission en M1 : - Licence ou équivalent avec stage de journalisme d'un mois minimum ; Dossier, épreuves, entretien (capacité d'accueil limitée à 23 étudiants). Pas d'admission directe en M2. Scolarité : - Durée des études : 2 ans l’Institut de journalisme de Bordeaux-Aquitaine (IJBA) délivrant un master professionnel en journalisme Admission en M1 : - Licence ou équivalent ; Dossier, épreuves écrites et orales. Scolarité : - Durée des études : 2 ans. Enfin le master professionel de Sciences-Po Paris est le dernier des cursus reconnus par la profession.
21. SCIENCES PO & JOURNALISME/COMMUNICATION École de journalisme de Sciences-po Paris: La formation proposée à l'École de journalisme repose sur une double exigence: l'approfondissement de savoirs académiques, propres à Sciences-po, indispensables aujourd'hui à de futurs journalistes; et l'apprentissage pratique du métier de journaliste par l'intervention de professionnels des médias.
22. La formation de journalisme a Sciences po Paris propose : Des cours séminaires sur des thématiques diverses (histoire des crises internationales, vie politique, justice, économie, économie des médias, le fait religieux, etc.) dispensés par des enseignants chercheurs Des cours de tronc commun sur des thématiques diverses (politique mondiale, enjeux sociaux du numérique, religion et société, philosophie des sciences) Un cours d'anglais (facultatif) Des ateliers professionnels : reportages télé, journaux télévisés, reportages pour la presse magazine, production de contenus en ligne sur les élections, conception d'informations hyper locales sur les réseaux sociaux, flash radio et journaux parlés. Des ateliers spécifiques : écriture de dépêches d'agence, atelier d’écriture en anglais, culture numérique Des semaines de cours intensifs Des stages (12 semaines obligatoires en rédaction, en France ou à l'étranger, à partir de mai) Ensuite les cours diffèrent en fonction des spécialités choisies par les étudiants.
23. Modalités d'admission: Peuvent prétendre intégrer le cursus les élèves qui sont : Déjà étudiant au Collège universitaire de Sciences Po Étudiant a Sciences po et souhaitant changer de master des étudiants ayant au minimum poursuivit 3 années d'études supérieures Coût de la formation : De 0 à 12 000 euros par an selon les revenus des parents.
24. INSTITUT D'ETUDES POLITIQUES DE PROVINCE : Le concours d’entrée en première année est commun aux Instituts d’Aix-en-Provence, Lille, Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse. Il permet de candidater en même temps aux 6 IEP. L’accès au concours est exclusivement réservé aux candidats ayant obtenu leur baccalauréat l'année du concours ou l'année précédente. Les titulaires d’un diplôme ou d’un titre français ou étranger admis en équivalence sont acceptés dans les mêmes conditions. Les candidats passeront les épreuves, dans la mesure du possible, dans la ville la plus proche de leur domicile. Les épreuves : Questions contemporaines (durée : 3h, coefficient 3, dissertation, un sujet à choisir parmi deux). Thèmes 2012 : « Le sport » et « La religion ».. Histoire (durée : 3h, coefficient 3, dissertation, un seul sujet). Programme : « Le monde depuis 1945 » Langue vivante (durée : 1h30, coefficient 2, choix entre anglais, allemand, espagnol et italien). Deux exercices : compréhension et expression. Il n’y a pas de QCM. La moyenne du baccalauréat étant prise en compte (coefficient 1). Tous les IEP proposent un master soit en communication, soit en journalisme ou des masters qui allient les deux.
25. Les atouts de ces formations qui ne forment cependant que 13% des jeunes professionnels : polyvalence et professionnalisation. En revanche, les concours sont sélectifs : moins de 10% d’admis. En dehors des 2 IUT, la plupart des autres écoles recrutent désormais à partir de bac+3(sauf le CFJ, l’ESJ et l’EJT). Les formations non reconnues: les écoles non reconnues Bacs conseillés : généraux Niveau d’entrée : à partir du bac Sélectivité : faible Coût de la formation : élevé Insertion professionnelle : pas très facile Ces dernières années, les établissements privés formant au journalisme se sont multipliés. La plupart assurent une formation en 2 ou 3 années en presse écrite, radio et télévision. Moins sélectifs que les écoles reconnues, ils recrutent surtout au bac ou au niveau bac. Le coût de la formation fluctue entre 1.500 et 6.500 € l’année. Ces diverses formations mènent au métier de journaliste mais également à des professions du même secteur, celui de la communication.
26. MÉTIERS DU SECTEUR DE LA COMMUNICATION Attaché de presse L’attaché de presse participe à la définition et à la mise en place de la politique de communication de l’entreprise. Il connaît parfaitement les caractéristiques du produit ou le fonctionnement de l’entreprise dont il est chargé de diffuser l’image. Il est en relation constante avec les principaux acteurs de l’entreprise afin de s’informer en continu. Il peut ainsi répondre à toutes les questions des journalistes, techniques ou non. Chargé d’alimenter ces derniers en informations, il rédige communiqués et dossiers de presse à leur intention. Il organise des conférences de presse ou événements du même type. Il prend en charge l'accueil des invités et des journalistes, s'occupe du respect des horaires, supervise les interviews. Il doit établir un contact personnel avec les journalistes de la presse et de l'ensemble des médias, afin d'adapter son discours à leurs besoins d’information et les convaincre. Il cible les interlocuteurs en fonction de la nature des informations à diffuser.
27. Chargé de production Le “chargé de prod” est la plaque tournante de la mise en œuvre d’un tournage. Réalisateurs, interprètes, animateurs, techniciens, fournisseurs, prestataires, administratifs et financeurs sont ses interlocuteurs permanents. Il procède en amont à tout le travail préparatoire : il fait des repérages en extérieur pour examiner les éventuelles contraintes techniques, il identifie les moyens matériels et humains nécessaires et passe des commandes auprès de prestataires et de fournisseurs désignés. Il sollicite aussi les autorisations administratives indispensables pour l’occupation de l’espace public, le stationnement des véhicules techniques et l’alimentation en électricité du site de tournage. Pendant le tournage, il gère dans le détail toute la logistique : transport des personnes (billets de train ou d’avion) et du matériel, location de voitures, commande des repas, organisation de l’hébergement, du gardiennage… Il organise le travail des équipes, gère le personnel intermittent, établit les contrats et veille au versement des salaires. La sécurité et le respect de la réglementation (enfants, public, figurants…) sont aussi de son ressort. En résumé, le chargé de production assure de A à Z le bon déroulement d’un tournage, de l’enregistrement d’une émission de télé ou de sa réalisation en direct. Une qualité essentielle pour ce métier est d’anticiper en permanence et de savoir gérer l’imprévu.
28. Mosa Sonia Meyer Alice Dandeu Mathilde Kingue-Moudio Berty Texereau Antoine