Présentation de Didier Baron de la z

1. Stratégie de communication du Comité de gestion Z.C.O Temps de parole permanence de l’action Colloque Communication Environnementale – CCI Nouméa – Mai 2011 22/04/2011

2. 2 Qui sommes-nous ? Créeeen 2007, l’association s’est dotée d’un Conseil d’administration formé de collèges (Agriculteurs, coutumiers, commerçants, Professionnels du tourisme, associations,..) et de membres de droits (Municipalités,..) Elle s’est attachée dès 2007 à mettre en place un Plan de gestion où chaque partenaire institutionnel (DENV, DDR, DAVAR,..) et nous même avons une mission à remplir. Nous avons pu mesurer la grande difficulté qu’il y a à s’engager dans une organisation dont l’objet certain est la gestion. Les évènements concernant la préservation du site sont quasi quotidiens. zco@lagoon.nc Tél/fax 44 58 45 22/04/2011 Colloque Communication Environnementale – CCI Nouméa – Mai 2011

3. 3 Recevoir, donner et transmettre pour atteindre l’objectif. Les bénévoles Dans une société il existe, peut-être 1% de bénévoles actifs. On ne peut compter que sur ces gens là et c'est sur ce terreau qu’il faut semer les germes de la communication. La première difficulté pour une association généraliste est d’intégrer le bénévole qui vient avec sa vision, son idéal, sa conception du monde et les problèmes qu’il veut voir réglés. Les anglo-saxons utilisent le terme d’activist qui paraît plus approprié. Gens de terrain, intellectuels, contestataires, ils sont toujours pressés de voir aboutir leur projet. 22/04/2011 Colloque Communication Environnementale – CCI Nouméa – Mai 2011

4. 4 Trajectoires du bénévolat Produire des idées, des projets et des actions qui conviennent à tous les bénévoles et sont susceptibles d'en faire venir d'autres. L'association doit être une « ruche » active ou chacun se sent à sa place et dispose de moyens. C'est à cette aune que la communication et l'interactivité doivent se mesurer 22/04/2011 Colloque Communication Environnementale – CCI Nouméa – Mai 2011

5. Quels bénévoles ? Il existe en gros trois sortes de bénévoles : - les militants - les gestionnaires - les pragmatiques A ceux là, il faut ajouter les opportunistes (Goût du pouvoir, défense d'un intérêt privé,..) qui peuvent avoir un effet positif ou négatif. Ils influenceront la communication et peuvent aller jusqu'à mettre en péril la cohésion du groupe. Avant de développer une stratégie il faut donc savoir à qui on a affaire et comment parvenir au résultat recherché

6. Stratégie du Comité de gestion Élaboré en 2007/2009 le plan de gestion est le socle stratégique de notre comité. Ce travail fut, à la fois, technique et totalement ouvert à tous les collèges du comité en collaboration étroite avec la Province Sud. Il suit un schéma classique de brainstorming, mise en forme des idées, ordonnancement conclus par une arborescence assortie d'un échéancier et d'une mesure de résultats. Ce plan de gestion est accessible sur le site de la Province Sud : http:/www.province-sud/documents/pdf/contenu/environnement/2011/fevrier/zco.pdf

7. Mise en œuvre du plan de gestion Le plan de gestion est, à la fois très proche du terrain et très technique. Sa mise en œuvre est, en outre assujettie à l'activité des administrations concernées. Cela a posé beaucoup de problèmes internes au comité. Néanmoins, la gestion horizontale prend le pas sur la gestion verticale. plusieurs centres très actifs prennent leur essor comme La Roche (Bwara Tortue marines), Boghen/Table Unio (Chasse, roussette, bio), Moindou (Crabes, Bio), La Foa (Actions mairie, ong estuaire de La Foa). La communication s’organise en trois temps : remontée des problèmes et questions du terrain, rencontre ZCO avec les référents techniques, réunion publique avec tous les acteurs.

8. Pour nous la communication est assimilable au cycle de l’eau Communiquer c'est essayer de faire naître des communautés d'intérêt citoyen. Sur le terrain, nous fonctionnons (En répondant aux plus fortes demandes) comme le cycle de l'eau. Partant du lagon le comité a rencontré le plus grand intérêt dans les hauteurs de la zone tampon. La tribu de Table-Unio, la vallée de la Boghen ont tracé une voie de communication qui a pris sa source tout à fait naturellement et sans notre intervention. Cette année nous suivrons ce modèle qui donne la priorité à l’expression populaire

10. Notre environnement est sale

11. Nous avons de mauvais comportements collectifs, certes !

13. Se sentir utiles par des actions à sa portée.

14. Une information constante et ciblée.

15. Pouvoir avoir confiance.

16. comprendre et participer à des actions dont elles sont le promoteur

18. Nous remercions tout particulièrement La présidente de la commission environnement de la Province Sud Mme Ghislaine Arlié, MM les Maires des communes de la zone tampon (Particulièrement Mr Taïeb AÏFA qui nous a gracieusement prêté un local à Bourail), Les Directions de la Province Sud notamment Mr Emmanuel Coutures, la DAVAR, l’IFRECOR, le CIE et, naturellement tous les membres et sympathisants qui s’activent quotidiennement au profit de l’environnement et de la préservation du site.La présidenteAntonia MIMART. 22/04/2011 Colloque Communication Environnementale – CCI Nouméa – Mai 2011