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Une méthode pour développer l’intelligence collective
Nous sommes entrés
Nous nous dirigeons
Conférence su 28 avril 2014 sur hangouts
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Hinweis der Redaktion

  1. Consultant et formateur spécialisé dans l’utilisation des outils coopératifs depuis 2006, je combine l’utilisation d’outils informatiques collaboratifs et la mise en place d’usages participatifs pour mettre en place un travail en réseau effectif.
  2. Traditionnellement l’alternative à la compétition a été la coopération. Celle-ci est au plus efficace uniquement dans les groupes de deux à huit personnes. Pour les groupes supérieurs à 25 personnes, la coopération est terriblement lente, un exercice de gestion de caractères qui dégenère rapidement en discussions sans fin et brossage dans le sens du poil de sensibilités heurtées, elle est extrèmement vulnérable aux « agents provocateurs », et, dans les groupes de grandes tailles aboutit très rarement à quoique ce soit de valable. La coopération repose traditionnellement sur le principe démocratique que toutes les voix sont égales, donc elle ne permet pas aux leaders, usagers avec une expertise, énergie ou compréhension accrue, d’avoir une influence plus importante que ceux agissant en périphérie.
La coopération gâche beaucoup de temps et de ressources à discuter et à discuter les discussions. Dans un système basé sur l’action, la discussion est rarement nécessaire, car l’opinion de ceux qui ne font pas le travail a probablement peu de valeur, sauf dans le cas ou un conseil est sollicité auprès d’une personne experte et de confiance.
La coopération et le système basés sur la coopération sont généralement dominés par des personnalités extraverties qui prennent des décisions pour contrôler le travail des autres et crée un ressentiment justifié auprès de ceux aui font le travail. La plupart des travailleurs n’apprécient pas un système hiérarchique comme celui montré dans le diagramme ci dessous, car ils perdent de l’autonomie, la maîtrise et le controle créatif de leur propre travail; que le système de prise de décision soit hierarchique ou horizontal, le sentiment final n’est pas différent.
Les systèmes coopératifs utilisent fréquemment le consensus ou le vote pour prendre des décisions pour tout le groupe; ces méthodes risquent de ne pas produire les meilleurs résultats car beaucoup de gens ne comprendront pas le travail s’ils ne le pratiquent pas, et ils peuvent demander des choses qu’eux mêmes ne voudraient pas faire. Les systèmes basés sur le consensus sont aussi sensibles à « l’esprit de ruche », l’appropriation par le groupe des idees et du travail d’individus ce qui peut créer encore plus de ressentiment.
  3. La plupart des systèmes actuels sont gérés par des organisations concurrentielles. La compétition crée des redondance, ralentit et gâche des ressources sur la protection des idées, la publicité et autre. La compétition nécessite aussi du secret ce qui bloque progrès, évaluation et fait perdre des idées et des opportunités. Brevets et droits d’auteurs réduisent encore plus la vitesse et le potentiel de suggestion d’idées. Les gens qui ont la plus grande expertise ne collaborent pas à moins d’être recrutés sur le même projet.
  4. Traditionnellement l’alternative à la compétition a été la coopération. Celle-ci est au plus efficace uniquement dans les groupes de deux à huit personnes. Pour les groupes supérieurs à 25 personnes, la coopération est terriblement lente, un exercice de gestion de caractères qui dégenère rapidement en discussions sans fin et brossage dans le sens du poil de sensibilités heurtées, elle est extrèmement vulnérable aux « agents provocateurs », et, dans les groupes de grandes tailles aboutit très rarement à quoique ce soit de valable. La coopération repose traditionnellement sur le principe démocratique que toutes les voix sont égales, donc elle ne permet pas aux leaders, usagers avec une expertise, énergie ou compréhension accrue, d’avoir une influence plus importante que ceux agissant en périphérie.
La coopération gâche beaucoup de temps et de ressources à discuter et à discuter les discussions. Dans un système basé sur l’action, la discussion est rarement nécessaire, car l’opinion de ceux qui ne font pas le travail a probablement peu de valeur, sauf dans le cas ou un conseil est sollicité auprès d’une personne experte et de confiance.
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