Si la dimension « AGILITÉ » est bien maîtrisée par les concepteurs – développeurs, ce n’est pas forcément le cas pour les utilisateurs, les MOA et la gouvernance informatique qui sont souvent restés dans une approche Cycle en « V » avec des logiques de planning et de budget forfaitaire …
Comment « Conjuguer une agilité pour tous » et « donner une visibilité à la gouvernance » c’est ce que nous tenterons de traiter ce Mercredi 1er Février 2012 à travers des constats opérationnels et des pistes de progrès mises en oeuvre ou envisagées pour chacune des dimensions …
Ces pistes passent par l’identification du périmètre éligible à l’agilité avec des concepts empruntés ou utilisés dans l’A.E (Architecture d’Entreprise), dans les approches « Lean-Six Sigma » , dans la mesure de la complexité (HALSTEAD), dans les architectures orientées service (SOA), la notion de risque et patrimoine (valeur ajoutée) pour la Gouvernance, etc …
Ingénieur Informaticien-Génie Logiciel, Christophe Battu a 35 ans d’expérience dans le pilotage de projets et le management de service informatique (Développement, Exploitation) dans les métiers de l’industrie, de l’énergie, du fiscal et de la retraite.
28. => Savoir identifier, alerter et surtout trouver une solution alternative
29. Comment mesurer cette complexité ? 1) Méthode des Points de Fonction de l'IFPUG (International Function Point User's Group – 1986) et normalisé ISO-20926 en 2003 - La détermination des complexités de chaque composant - Le calcul du nombre de points de fonction bruts : GDI, GDE, ENT, SOR, INT - Les facteurs d’ajustement pour passage en points de fonction net selon la maîtrise technique et métier des Equipes ... => Complexité et charge fiables à 95%
33. Le nombre total des opérandes : N2 La difficulté de la fonction à réaliser : Niveau d'échelle de 100 (simple) à 1000 (très complexe) Impact sur l'agilité : Au delà de 300 – 350 éviter de réaliser la fonction en SCRUMP qui nécessitera des efforts conséquents à chaque itération de recette ....
34.
35. - des mesures fiables mesurant la performance du processus métier /attentes;
36. - avec des outils statistiques pour analyser les causes sources / performance ;
41. Les outils du jidoka sont : la séparation de l'homme et de la machine, les outils d'arrêt de production au premier défaut, les méthodes d'élimination des causes d'erreur, les méthodes d'analyse de problème (« Cinq pourquoi », roue de Deming), la ré-ingénierie des équipements de production
47. Après mesure de la complexité : savoir limiter ou restructurer par l'A.E pour avoir un SI constituer de fonctions indépendantes à complexité simple ou moyenne
51. Tout S.I constituer de plus d'une centaine de règles pouvant interagir entres elles : Exemple Règles d'attributions de prestations avec rétro-activités : Privilégier les BRMS (JRULES, DROOLS, …)
52. Les S.I dont la recette va se faire par convergence : Paie, Compta ...