Vulnérabilité numérique d’usage : un enjeu pour l’aide à la réussitepdf
Initiation aux notions du web.2.0
1. L'@telier - mai 2008.
Initiation aux
notions du web.2.0
Carnet de bord
L’@telier - Lorient
mai 2008.
1
2. L'@telier - mai 2008.
INITIATION AUX NOTIONS DU WEB 2.0
0. INTRODUCTION
3. L’UTILISATEUR CRÉATEUR DE CONTENUS
0.1 WEB 2.0 THE MACHINE IS US/ING US
3.1 UGC LES CONTENUS GÉNÉRÉS PAR
0.2 BIENVENUE DANS L’UNIVERS
LES UTILISATEURS
WEB2.0
3.2 LA RÈGLE DU 1%
0.3 INTERNET ET LES FRANÇAIS EN
2008 3.3 CROWDSOURCING
L’APPROVISIONNEMENT PAR LA FOULE
0.4 LA FONCTION CRÉE L’ORGANE 2.0
3.4 TAG
3.5 LES TAGS ET LES FOLKSONOMIES
1. GÉNÉRALITÉS SUR LE WEB 2.0
4 . DES OUTILS PLUS CONVIVAUX
1.1 LE WEB 2.0 ?
1.2 LE WEB 2.0 UN CONCEPT DE
PASSAGE ? 4.1 L’AMÉLIORATION DES INTERFACES
1.3 LE WEB 2.0 EN RÉSUMÉ 4.2 LES APPLICATIONS INTERNET RICHES
4.3 LES COMBINAISONS D’APPLICATIONS
(MASHUP)
2. AU CŒUR DU WEB 2.0
4.4 LES WIDGETS
4.5 LES FILS RSS
2.1 DES SERVICES EMBLÉMATIQUES
4.6 OUTILS CMS (DE PUBLICATION DE
2.2 LE BUREAU DU POSTE VERS UN
SITES WEB)
SERVEUR EN LIGNE…
2.3 POUR DÉCOUVRIR LES SITES DU
WEB 2.0 SUR LES PLATEFORMES
DÉDIÉES
2
3. L'@telier - mai 2008.
INITIATION AUX NOTIONS DU WEB 2.0
8 . PERSPECTIVES
5 . PARTAGER
8.1 UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE :
LA LONGUE TRAÎNE
5.1 SOCIAL BOOKMARKING LES
o
8.2 L’ÉCOSYSTÈME DU WEB 2.0
SIGNETS PARTAGÉS
8.3 L’IMMATURITÉ DU 2.0
5.2 Les BLOGS
o
8.4 LA PROFUSION INSTABLE DES SERVICES
5.4 Les WIKIS
o 8.5 A QUI PROFITE LE WEB 2.0 ?
5.5 Podcast 8.6 L’EUROPE DU WEB 2.0
o
8.7 LES DÉFAUTS DU WEB D’AUJOURD’HUI
5.6 Les licences Créatives Commons
o
8.8 LES VIRUS WEB 2.0
8.9 LE WEB 3.0
6 . DE L’AUTRE CÔTÉ DU MIROIR…
9. AU FINAL LE WEB 2.0 C’EST…
6.1 L’AVÈNEMENT DES RÉSEAUX SOCIAUX
6.2 LES MONDES VIRTUELS
BIBLIOGRAPHIE WEB 2.0
6.3 L’IDENTITÉ NUMÉRIQUE
ALLER PLUS LOIN.
7 . LES CONTENUS EN LIGNE
7.1 LA MUSIQUE ET LA VIDÉO EN LIGNE
7.2 LE CINÉMA, LA VIDÉO, LA TÉLÉVISION
7.3 LE TÉLÉCHARGEMENT
7.4 REGARDS JURIDIQUES SUR LE 2.0 3
4. L'@telier - mai 2008.
INTRODUCTION
0 Introduction
0.1 Web 2.0 The machine is us/ing us
0.2 Bienvenue dans l’univers Web2.0
0.3 Internet et les français en 2008
0.4 La fonction crée l’organe 2.0
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus convivaux
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin.
4
5. L'@telier - mai 2008.
0.1 WEB 2.0…
the machine is us/ing us
Cette vidéo a une suite …
Mike Wesch
5
6. L'@telier - mai 2008.
0.2 Bienvenue dans l’univers Web2.0
• L'exposé n'est pas exhaustif. C'est un aperçu généraliste.
• Chaque activité sociale, économique, culturelle, ludique
développe ses pratiques, ses réseaux, son web, au sein de cette
architecture mutante et transversale.
• Tout est accessible, il suffit de s'y intéresser.
• Soyons curieux, mais je vous préviens, les pratiques web 2.0
sont chronophages.
6
7. L'@telier - mai 2008.
•Web 1,2,3.0 ! Modes, marketing, évolutions technologiques ?
•Souvenons‐nous, le minitel, la micro‐informatique, les
cédéroms, le bug de l’an 2000.
• Les modems 28 k,
l’affichage, le
téléchargement si
laborieux.
• Puis est arrivé le
haut débit avec la
Live, la Free, la 9
Box…
7
8. L'@telier - mai 2008.
0.3 Internet et les Français en 2008.
• Nouveau cap de franchi pour l'Internet en France avec selon
Médiamétrie, 31,728 millions d'internautes en février 2008,
soit 60,3 % des Français et une augmentation de 13 % en
l'espace d'un an.
• La population internaute
continue donc de croître
dans l'Hexagone avec plus
de 95 % des internautes à
domicile qui sont connectés
en haut débit via le câble ou
l'ADSL (+26 % en un an).
8
9. L'@telier - mai 2008.
Prévision du taux de connexion des foyers
français en 2007
9
10. L'@telier - mai 2008.
• La tendance se confirme, les Français vivent quot;numériquequot;.
• Internet est devenu un réflexe quotidien pour huit internautes
sur dix (77,2%)
• Ils y passent en moyenne une heure par jour.
Car le Web
français intègre,
désormais,
quot;toutes les
pratiques de la
vie courante :
faire ses courses,
regarder la
télévision ou
écouter la radio,
chercher un
emploiquot;.
10
11. L'@telier - mai 2008.
•Plus de 9 foyers internautes sur 10 (93,4%) sont connectés en haut débit en
France, soit 3 fois plus en trois ans.
•Au quatrième trimestre 2007, 10,2 millions d'individus sont mobinautes , soit un
utilisateur de téléphonie mobile sur quatre.
•Les acheteurs en ligne sont,
quant à eux, 87% de plus qu'il y
a 3 ans,
soit quatre Français sur dix
•et sur la même période,
près de 13 millions
d'internautes ont consulté des
contenus vidéo directement sur
internet.
11
12. L'@telier - mai 2008.
•Majoritairement les Français accèdent à l'Internet.
•Ils peuvent se brancher en direct sur le monde,
développer leurs contacts, accéder et participer à des
contenus .
LA FRACTURE NUMÉRIQUE RESTE SOCIALE,
GÉNÉRATIONNELLE, ET CULTURELLE.
•Cependant, il reste encore près de la moitié des foyers
français non connectés.
•De plus quel est le pourcentage réel d’internautes
sachant exploiter au mieux ce média ?
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13. L'@telier - mai 2008.
0.4 La fonction crée l’organe 2.0
• Nous avons tous commencé par les deux usages de base du
net : chercher de l’info et communiquer (mail) premiers
signes d’une identité et d’une existence sur Internet.
• Une fois équipés, nous avons recherché la protection
physique et morale : il nous a bien fallu nous protéger des
virus et les enfants de certains contenus.
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14. L'@telier - mai 2008.
Se rassurer
0.41
• Nous avons aussi appris à connaître Hoaxbuster qui nous expliquait
pourquoi il ne fallait pas continuer à transférer le mail décrivant
• la situation de la
petite Noëlie qui
attendait notre
sang
des fauteuils de
•
cinéma
contaminés par le
HIV…
14
15. L'@telier - mai 2008.
Se socialiser sur internet
0.42
• Une fois passée l’angoisse des
premiers virus et chain letters,
c’est le temps de la
socialisation, de la quête de
l’amour, de son appartenance.
• On pose une question
dans des forums,
• on reste en contact toute
la journée avec ses
proches grâce aux
messageries instantanées.
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16. L'@telier - mai 2008.
0.43 Le besoin d’estime
• Le dialogue maîtrisé, nous voilà pris d’un besoin d’estime, de
prouver que l’on existe, que l’on sait quelque chose !
Et nous voilà en train de bloguer sur Typepad, Viablogga,
Over‐blog ou Wordpress ou Skyblog pour les plus jeunes.
16
17. L'@telier - mai 2008.
0.44 L’accomplissement sur le net
• Mais une fois découverts ces super pouvoirs, on ne
peut s’arrêter là et on se surprend déjà à participer
modestement à des œuvres collectives qui nous
dépassent et dont on espère qu’elles nous
survivront. ..
• Elles s’appellent
• Wikipedia, encyclopédie universelle en ligne
rédigée par les internautes
• Agora Vox, qui propose à de vrais gens de devenir
rédacteur de ce média citoyen.
17
18. 0. 44 LA PYRAMIDE DE MASLOW 2.0
La pyramide de Maslow permet de comprendre
la hiérarchie des besoins de l'homme.
Selon Abraham Maslow en effet, la satisfaction
d'un besoin ne peut être réalisée que si les
besoins de niveau inférieur sont eux-mêmes
satisfaits.
--- ici cette théorie appliquée au web
20. L'@telier - mai 2008.
1. Généralités sur le web 2.0
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
1.1 Le Web 2.0 ?
1.2 Le web 2.0 un concept de passage ?
1.3 Le web 2.0 en résumé
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus conviviaux
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin.
20
21. L'@telier - mai 2008.
1 Généralités sur le web 2.0
Vidéo Web 2.0 et connaissances 21
22. L'@telier - mai 2008.
• Le terme a été inventé en 2004 par Dale Dougherty de la société
O'Reilly_Media
http://www.oreillynet.com/pub/a/oreilly/tim/news/2005/09/30/what‐is‐web‐20.html
•
• Le Web entrait dans une nouvelle phase le Web 2.0,
le Web précédent le 1.0 ne permettait que d'afficher des pages
statiques et dont le contenu n'était pas toujours mis à jour.
• Aujourd’hui toutes les technologies de la communication convergent,
s’assemblent, fournissent l’image, le son, le lien, la localisation.
Le réseau est potentiellement partout, et nous y sommes au cœur.
22
25. L'@telier - mai 2008.
1.1.2 Le Web 2.0 est relationnel et collaboratif.
• Chacun peut créer du contenu sur Internet (texte, audio,
vidéo, photo), et le partager.
• Ses défenseurs prônent l’utilisation des applications en ligne
gratuites ou facturées à la demande (c’est‐à‐dire des services)
plutôt que des logiciels installés sur les postes personnels et
dont il faut être propriétaire des licences.
• Ainsi les utilisateurs sont des co‐développeurs et non des
consommateurs du Web.
25
28. L'@telier - mai 2008.
1.2.1 Les principales dimensions du web 2.0
SOCIALES
WEB 2.0
28
29. L'@telier - mai 2008.
1.3 Le web 2.0 en résumé
• Une plateforme laisse aux utilisateurs la possibilité de
remodeler les données et les outils web.
• Une application est un outil clé‐en‐main que l’utilisateur ne
peut modifier.
• Ce qu’il faut donc retenir de cette définition, c’est que le Web
2.0 est une nouvelle possibilité d’utiliser le Web, plus qu’une
technologie innovante.
• Le Web n’est plus pensé comme une collection de sites à
visiter, mais cette fois comme une plateforme permettant
l’échange entre les utilisateurs, les services et les applications
en ligne.
29
30. L'@telier - mai 2008.
2. AU CŒUR DU WEB 2.0
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
2.1 Des services emblématiques
2.2 Le bureau du poste vers un serveur en ligne…
2.3 Pour découvrir les sites du web 2.0 sur les plateformes dédiées
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus convivaux
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin.
30
39. L'@telier - mai 2008.
2.2 Le bureau : de son poste vers un serveur en ligne
Les suites bureautiques en ligne ont vu le jour.
Appelées suites 2.0 ou suites bureautiques en ligne, ces
applications sont de type client/serveur.
La principale différence avec les suites bureautiques
classiques réside dans le fait que les applications sont
désormais hébergées à distance, sur un serveur et que
vous y accédez depuis n’importe quel ordinateur connecté à
Internet.
39
40. L'@telier - mai 2008.
Cette caractéristique offre alors pour l’utilisateur quelques
avantages :
· plus besoin d’un système d’exploitation en particulier pour
travailler avec sa suite, puisqu’elle est accessible depuis
n’importe quel navigateur web.
· possibilités de partage des documents avec d’autres
utilisateurs. Enfin, les suites 2.0 offrent également à
l’utilisateur les possibilités de s’affranchir d’une clé usb,
puisque les documents sont sauvegardés à distance, sur un
espace de stockage alloué par les sociétés éditrices.
40
42. L'@telier - mai 2008.
2.2.1.1 La webisation de la bureautique ?
• L’avenir n’est plus aux applications
autonomes installées sur le PC mais
plutôt aux applications légères
disponibles en ligne.
Même Microsoft a senti le renversement
de situation en cours avec « Office Live »
• Traitement de texte, tableur, éditeurs de
diaporamas, de pages web, d’images, de
vidéos, bloc‐notes, client de messagerie,
agenda, gestionnaire de tâches, de
contacts ou de bases de données, etc …
La quasi‐totalité des applications
désertent bureau local pour rejoindre le
bureau web (webtop)
42
43. L'@telier - mai 2008.
2.2.1.2 La suite bureautique Google
La bureautique devient nomade avec la suite Google, ou celle de Zoho.
Les documents peuvent être partagés et/ou écrits collectivement
43
44. L'@telier - mai 2008.
La suite Google Docs a été pensée comme une alternative aux applications bureautiques les
plus utilisées en offrant : un traitement de texte, un tableur et un logiciel de PreAO (présentation
assistée par ordinateur).
une barre d’outils est commune aux trois applications. Des onglets spécifiques apportent
ensuite des fonctionnalités propres à chaque application (quot;insertionquot; pour le traitement de texte,
quot;triquot; pour le tableur). Enfin, un onglet Révisions, permet dans chaque application de retrouver
l’historique de chaque modification apporté aux documents.
Le principal avantage de Google Docs réside dans le support de nombreux formats de
documents : pdf, docs, ods, odt xls, ppt… Vous pourrez par exemple commencer un document
dans Word, Excel ou Open Office et le modifier grâce à Google Docs. Attention toutefois aux
macros qui auront du mal à supporter la transition !
Le second atout de Google Docs : faire vivre sa suite dans un esprit communautaire grâce un
public potentiel d’habitués des produits quot;maisonsquot;. En effet, rares sont les internautes à ne pas
posséder de compte Google au regard de la grande diversité des services offerts dès
l’inscription : Google Agenda, Picasa, Gmail…
Le troisième atout de Google Docs réside dans le partage de documents. Vous pouvez
quot;ouvrirquot; votre travail en entrant les adresses de comptes Google amis.
Une critique cependant : l’interface. Malgré qu’elle soit bien intégrée aux autres outils Google,
elle s’éloigne quelque peu de celle des modèles Office : Microsoft Office ou Open Office. Les
utilisateurs des suites classiques seront déçus, même si l’on retrouve les principes de bases :
onglets, icônes, opérations de base (ouvrir, exporter, etc). 44
45. L'@telier - mai 2008.
Zoho Office, un vaste parc… à applications !
La suite Zoho est l’emblème des services offerts depuis l’émergence du Web 2.0.
La suite a été crée autour des 3 applications : un traitement de texte (Zoho Writer), un tableur
(Zoho Sheet) et un logiciel de PreAO (Zoho Show).
D’autres services se sont greffés à la suite originelle :
· un logiciel de gestion de projet (Zoho Projects),
· un wiki (Zoho Wiki),
· un gestionnaire de groupe orienté courriel (Zoho Mail),
· un outil de gestion de CRM (Zoho CRM),
· un outil de gestion de tâches (Zoho Planner),
· un chat (Zoho Chat),
· un outil de gestion de BDD (Zoho Creator),
· un outil de vidéoconférence (Zoho Meeting),
· un bloc-notes (Zoho Notebook).
Les formats de fichiers reconnus sont nombreux : doc, xls, ppt, pps, sxw, sxi, txt, rtf…
Là où Google Docs offrait le minimum pour une prise en main rapide, Zoho s’adresse à un public
déjà plus averti.Cette complexité se retrouve aussi dans l’ergonomie générale. En effet, chaque
outil possède sa propre interface, différente des autres, ce qui n’est certainement pas le point le
plus fort de la solution. Par exemple, Zoho Writer permet l’ouverture de plusieurs documents à la
fois, via un système d’onglets ; ce n’est pas le cas dans Zoho Sheet et Zoho Show.
Notons tout de même que le partage de documents se fait avec la même facilité que Google
Docs. Pour cela, il suffit aux utilisateurs de posséder un compte Zoho. Enfin, Zoho offre la
possibilité de travailler hors ligne par une sauvegarde générale de vos documents sur votre disque
dur. Pour aller encore plus loin, un plugin pour Microsoft Office permet la modification des
45
documents Zoho… hors ligne !
46. ThinkFree, java… bien, tout va-t-il bien ? L'@telier - mai 2008.
Ne faisant rien comme les autres, ThinkFree Office se démarque d’emblée de ses
concurrents par une suite qui existait déjà… hors ligne.
Mais là n’est pas la seule différence puisque l’application étant totalement gérée en langage
Java, elle nécessite une configuration musclée.
La suite se base sur les trois applications fondamentales de la bureautique, avec des outils dont
les noms parlent d’eux-mêmes : ThinkFree Writer, ThinkFree Calc et ThinkFree Show.
L’interface générale de ces applications est très soignée, se rapprochant des suites bureautiques
hors ligne grâce à la technologie Java. Ce point sera un argument de choix pour l’utilisateur
habitué aux suites classiques.
La ressemblance avec Microsoft Office ou Open Office est telle que l’on retrouve un vrai menu
quot;Fichierquot; avec la possibilité d’ouvrir des documents sur son disque dur, sans les importer comme
dans Google Docs ou Zoho.
Niveau Compatibilité, ThinkFree Office fait moins bien que ses autres concurrents puisque les
formats d’Open Office ne sont pas reconnus. Vous devez passez par l’étape supplémentaire
d’une conversion de vos fichiers vers les formats de Microsoft.
Le partage de documents repose sur la nécessité d’avoir un compte… ThinkFree Office !
Le principal défaut de la suite ThinkFree Office : le Java. Le traitement de documents très
lourds peut s’avérer chronophage. Tout comme les problèmes de réactivité qui peuvent nuire
gravement à… votre concentration !
46
47. L'@telier - mai 2008.
2.2.1.3 En route vers le « webtop » …
etc …
47
48. L'@telier - mai 2008.
2.2.2 Stockage de fichiers en ligne
48 48
50. L'@telier - mai 2008.
2.2.4 Et même…OS en ligne!
http://mybooo.com/
http://www.eyeos.org/
Qu'est-ce que eyeOS?....Pour les utilisateurs
eyeOS est un nouveau type de système
d'exploitation, où tout réside au sein du navigateur
internet.
Avec eyeOS, vous allez avoir votre bureau, vos
applications et vos fichiers toujours avec vous,
depuis votre maison, votre université, votre bureau
ou la maison de votre voisin.
Ouvrez simplement un navigateur Internet,
connectez vous à votre système eyeOS et accédez à
votre bureau personnel et à tous vos documents
exactement comme vous les avez laissés la fois
précédente…
50 50
51. L'@telier - mai 2008.
Pour découvrir des sites web 2.0
2.3
sur des plateformes dédiées
http://www.go2web20.net/
51 51
52. L'@telier - mai 2008.
3. L’UTILISATEUR CRÉATEUR DE CONTENUS
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
3.1 UGC Les contenus généralisés par les utilisateurs
3.2 La règle du 1%
3.3 Crowdsourcing l’approvisionnement par la foule
3.4 Tag
3.5 Les tags et les folksonomies
4 Des outils plus convivaux
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin.
52
53. L'@telier - mai 2008.
3. L’UTILISATEUR, CRÉATEUR DE CONTENUS
53
54. L'@telier - mai 2008.
3.1 UGC ‐ User Generated Content
Contenus Générés par les Utilisateurs :
• Acronyme inventé pour résumer le rôle de contribution active désormais
joué par les internautes dans la production de contenu web
• Plate‐forme UGC = support
favorisant la création et le partage
de contenus générés par les
utilisateurs
Wikipédia, Flickr, Youtube,
DailyMotion; Delicious...
• Tous créateurs ?
54
55. L'@telier - mai 2008.
La règle des 1% du web 2.0
3.2
Pour 100 personnes en ligne :
1% de créateurs 1 personne va créer un contenu inédit,
10 vont interagir avec le contenu créé
et l’enrichir (commenter, améliorer,
10% de contributeurs
recommander, noter ou voter, etc.),
89 personnes vont consulter et
« consommer » le contenu.
89% d’utilisateurs / visiteurs
2% des utilisateurs de WikiPédia ont
créé 75% des articles de l’encyclopédie
55
56. L'@telier - mai 2008.
Crowdsourcing
3.3
ou l’approvisionnement par la foule
• Le fonctionnement des services du web 2.0 repose sur les
internautes pour fournir, créer, enrichir et organiser du
contenu
• Le crowdsourcing consiste à s’appuyer sur la créativité,
l’intelligence et le savoir‐faire de tous afin qu’ils effectuent
certaines tâches à la place de l’éditeur d’un site ou d’un
service.
56
57. L'@telier - mai 2008.
La sagesse des foules
3.3.1
• Effet « boule de neige » : plus un site ou service est utilisé,
meilleur il devient (et plus il prend de la valeur) …
crowdsourcing => tirer profit de l’effet réseau et de
l’intelligence collective (sagesse des foules)
• En mutualisant les ressources et compétences de leurs
visiteurs, les sites peuvent alors proposer des produits et
services à des coûts très bas.
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58. L'@telier - mai 2008.
3.3.2 Vendre ou partager !
• De nombreux sites proposent aux internautes d'héberger
leurs créations – photos, vidéo, essais, articles… puis de les
revendre à bas prix, moyennant une commission.
• La plate‐forme française de vente de photos libres de droits,
Fotolia, propose ainsi des clichés proches de la qualité
professionnelle à partir de 1 €.
• L'encyclopédie en ligne Wikipedia fonctionne sur le modèle
du crowdsourcing en proposant à des contributeurs
volontaires de rédiger les articles qu'ils désirent.
58
59. L'@telier - mai 2008.
3.4 Tag
• Related Tag Browser : outil pour
• Etiquette ou mot‐clé : balise
sémantique qui permet de rechercher et naviguer dans les
qualifier un contenu photos publiées sur Flickr à partir
de leurs tags
• Etiquetage social
Système de classification
collaborative de contenus web basé
sur l’attribution de tags librement
choisis par les utilisateurs =>
Folksonomie
• Outil d’organisation de
l’information :
‐ Sémantique : « wordtag »
‐ Spatiale : « geotag »
‐ Temporelle : « timetag »
59
60. L'@telier - mai 2008.
Les tags et les folksonomies
3.5
• Terme issu de la contraction de
• folks (les gens)
• et de taxonomy (classification hiérarchisée), =>
une folksonomie est un système de classification
collaborative et spontanée de contenus web, basé
sur l'attribution de mots‐clés ou marqueurs (tags)
librement choisis par des utilisateurs non
spécialistes
• Les tags peuvent alors être regroupés et représentés
sous la forme d’un nuage de mots.
60
61. L'@telier - mai 2008.
Les tags et les folksonomies
• Les tags sont crées par les usagers (en général pour leur
propre usage), il n’y a pas de consensus ou de modération
comme c’est le cas dans les systèmes de classement
traditionnels (thesaurus, taxonomie)
• Les services web 2.0 comme Flick’r ou del.icio.us utilisent les
tags.
Accéder à mes favoris partagés
Del.icio.us = delicious --- jeu de mot :)
Les tags expliqués aux enfants
61
63. L'@telier - mai 2008.
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus convivaux
4.1 L’amélioration des interfaces
4.2 Les applications Internet riches
4.3 Les combinaisons d’applications (Mashup)
4.4 Les Widgets
4.5 Les fils RSS
4.6 Outils CMS (de publication de sites web)
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin. 63
65. L'@telier - mai 2008.
4.1 L’amélioration des interfaces
AJAX (Asynchronous JavaScript and XML) n'est pas une
technologie en soi, mais un terme désignant une approche
utilisant un ensemble de technologies existantes (HTML,
XHTML,CSS, JavaScript, le modèle objet de document (DOM),
XML, XSLT, et l'objet XMLHttpRequest.
Lorsque ces technologies sont combinées dans le modèle
AJAX, les applications Web sont capables de réaliser des
mises à jour rapides et incrémentielles de l'interface
utilisateur sans devoir recharger la page entière du
navigateur. Les applications fonctionnent plus rapidement et
sont plus réactives aux actions de l'utilisateur.
65
66. L'@telier - mai 2008.
4.2 Des applications Internet riches
De très nombreux services du web 2.0 proposent des
interfaces web plus ergonomiques et plus fluides grâce à une
attention toute particulière portée à la simplification des
actions et à l’utilisation de ces technologies, ce qui permet de
développer des applications internet riches
Les Rich Internet Applications (RIA) sont des applications web
qui partagent les caractéristiques des applications autonomes
sur l'ordinateur. A long terme, les RIA favorisent la fusion des
logiciels traditionnels et les logiciels client‐serveur de type
internet. La dimension interactive et la vitesse d'exécution sont
particulièrement soignées dans ces applications web.
66
67. L'@telier - mai 2008.
Illustration avec l’interface de NetVibes .
Mode d’emploi de netvibes
: cliquez ici
67
68. L'@telier - mai 2008.
4.3 Les combinaisons
d’applications (Mashups)
68 68
69. L'@telier - mai 2008.
MASHUP
• Un mashup est un site web qui
utilise et croise le contenu
provenant d’autres sites pour
proposer un nouveau service.
FlickrVision
GoogleMaps + Flickr
• Cette capacité de mixage repose
sur l’ouverture des API.
2 exemples de mashups cartographiques
• API = interface de programmation TwitterVision
qui permet de recourir aux
GoogleMaps + Twitter
fonctions et contenus d’un site
web à partir de commandes
externes.
69
70. L'@telier - mai 2008.
4.4 LES WIDGET
• Un widget est un petit module, • Box : service de stockage et
paramétrable et partage de fichiers proposant un
personnalisable, qui permet widget à installer sur votre propre
d’embarquer de l’information et site web
de la transporter vers le point
de destination de son choix
• 3 types de widgets :
‐ les widgets pour le web
‐ les widgets pour le bureau
‐ les widgets pour mobiles
Vidéo pour illustrer ce
thème
70
71. L'@telier - mai 2008.
Les widgets s’agrègent sur des interfaces
web intégrant Ajax
Diane Le Hénaff
71
DV-IST
72. L'@telier - mai 2008.
• Les
widgets de
Google
s’appellent
des
gadgets
• Netvibes
propose un
annuaire
de ses
widgets
72
73. L'@telier - mai 2008.
4.5 Les fils RSS
• RSS (Really Simple Syndication =
syndication vraiment simple)
• Moyen de syndication, capable
de récupérer le contenu brut
d'un site web sans s'occuper des
données liées à sa forme
Le RSS expliqué en vidéo
Le RSS expliqué aux enfants en vidéo
On parle de Flux RSS, Fil RSS, liens RSS, RSS
feed, canaux RSS
73 73
74. L'@telier - mai 2008.
Les flux existent en 2 formats : RSS et Atom.
Le format « RSS » permet de décrire de façon synthétique le contenu
d'un site web, dans un fichier au format XML, afin de permettre son
exploitation par des tiers (syndication).
Pour lire ce fichier,
nous avons besoin
d’un agrégateur
Principe d’un fil RSS:
Lors de la mise à jour d’un
site web, un fichier texte au
format XML contenant une
description synthétique des
nouveautés du site est
généré en temps réel
74
75. L'@telier - mai 2008.
Repérer et utiliser les fils RSS
4.5.1
Comment trouver des fils RSS ?
Les navigateurs récents indiquent les fils RSS d’un site par
un rectangle dans la barre d’adresse Annuaires ou moteurs
de recherche : Retronimo, la moooche, Technorati,
Libworm…
• Ces icônes permettent de repérer les sites qui proposent des
fils RSS
75 75
76. L'@telier - mai 2008.
Comment lire les fils RSS ?
4.5.2
Grâce à un agrégateur :
• Qui permet de s’abonner aux fils et vérifie automatiquement
les fils afin de signaler les nouveautés
Il en existe de 3 types :
• Les agrégateurs traditionnels : Bloglines, Google Reader, etc…
Feedreader, Rssreader, Alertinfo Feedreader…
• Les agrégateurs intégrés dans des applications bureautiques,
au navigateur ou au lecteur de mails (Marques‐pages
dynamiques, Thunderbird, Sage pour Firefox…)
• Les pages personnalisables : Netvibes, Igoogle
76 76
77. L'@telier - mai 2008.
4.5.3 Les agrégateurs
• Les pages personnalisables : Netvibes, Igoogle
Diane Le Hénaff
77
DV-IST
81. L'@telier - mai 2008.
Fonctionnalités d’un agrégateur
4.5.4
• Fonctionnalités de base :
• Ajouter un fil, récupérer un fil automatiquement ou
par copier/coller
• Exporter et importer une liste de flux RSS (OPML)
• Classer les fils dans des dossiers ou onglets
• Signalement spécifique (couleur différente, nombre
d’entrées)
• Fonctionnalités avancées :
• Archivage
• Recherche d’une occurrence dans un ensemble de fils
81 81
82. L'@telier - mai 2008.
Avantages des fils RSS
4.5.5
• S’abonner à un fil RSS ne nécessite aucun enregistrement
préalable (on ne communique aucune donnée
personnelle), se désabonner est très simple
• Organisation optimisée de sa veille grâce à l’agrégateur qui
centralise les sources d’information et importe
automatiquement les mises à jour
• Participation à la diffusion de l’information et réponse aux
besoins des usagers
• Augmentation de la visibilité du service qui propose des fils
RSS et donc de la notoriété de l’organisme
82 82
83. L'@telier - mai 2008.
Un peu de pratique
4.5.6
• Réalisons un test avec l’agrégateur de contenus
Netvibes, puis avec Bloglines
• Il faut d’abord s’inscrire sur un agrégateur…
• Je veux m’abonner à un fil RSS du journal Le
Monde
• A vous de jouer!
83 83
84. L'@telier - mai 2008.
4.5.7 Quelques inconvénients
• Contrairement à une lettre d’information, le format RSS
n’intègre aucune mise en forme personnalisée
• Certains fils RSS ne donnent qu’une partie du contenu avec
un lien sur le site web
• Beaucoup de fils RSS proviennent de blogs. Les blogs
génèrent automatiquement un fil RSS. Les sites
scientifiques, institutionnels ou professionnels sont encore
trop peu nombreux actuellement à proposer des fils RSS
• Accéder à l’information via des fils RSS échappe aux
statistiques des administrateurs de site web
• Un trop grand nombre de fils est impossible à traiter pour
un humain
84 84
85. L'@telier - mai 2008.
4.6 LES OUTILS CMS DE
PUBLICATION DE SITES WEB
• Un outil de « CMS » (Content Management System, Gestion
de contenu) est un site web disposant de fonctionnalités de
publication et offrant en particulier une interface
d'administration (back‐office) permettant à un administrateur
de site de créer ou organiser les différentes rubriques.
• Idéalement, un CMS doit posséder un système de workflow
permettant à une équipe éditoriale de travailler
simultanément sur le contenu du site et à un responsable de
publication de valider les différentes contributions avant leur
mise en ligne.
85
86. L'@telier - mai 2008.
Outils CMS
• Les articles et le contenu du site sont en principe stockés dans
une base de données,
tandis que des templates (modèles de pages) permettent de
définir la présentation du contenu.
• Classiquement, un CMS propose une présentation sous forme
de boîtes, la plupart du temps organisées en trois colonnes. La
plupart des CMS disposent d'un fil RSS mis à jour
automatiquement lors de la publication de nouveaux articles.
86
87. L'@telier - mai 2008.
Outils CMS
Les principaux outils de CMS sont les suivants :
•
SPIP
•
SPIP Agora
•
MAMBO
•
Typo3
•
Joomla
•
87
88. L'@telier - mai 2008.
5 PARTAGER
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus convivaux
5 Partager
5.1 Social bookmarking les signets partagés
5.2 Les blogs
5.4 Les wikis
5.5 Podcast
5.6 Les licences Créatives Commons
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin. 88
90. L'@telier - mai 2008.
Social bookmarking
5.1
Les signets partagés
90 90
91. L'@telier - mai 2008.
5.1.1 Del.icio.us : folksonomie en action
91 91
92. L'@telier - mai 2008.
5.1.2 URL taggée par d’autres personnes
Lien partagé
par 83
personnes
Autres mots clés rattachés
92 92
93. L'@telier - mai 2008.
5.1.3 Tagger un favori
Tags précédemment utilisés,
par d’autres et par moi‐même.
93
94. 5.1.4 Suivre un tag grâce à son fil RSS L'@telier - mai 2008.
Suivre un tag grâce à son fil RSS
94 94
95. L'@telier - mai 2008.
5.1.5 Pourquoi utiliser ces plateformes de gestion des liens ?
• Elles permettent l’accès de n’importe quel ordinateur
(portabilité)
• Les tags permettent de retrouver les liens plus facilement
• Elles offrent généralement des widgets et des webservices
qui permettent d’intégrer les liens dans d’autres
applications
95
96. L'@telier - mai 2008.
Il existe de nombreux sites proposant de gérer les signets
(favoris) autres que del.icio.us
Anglophones &
Français francophones Anglais
•Ask
•Blogmarks •Del.icio.us
•Blinklist
•Bookeet •Furl
•Folkd
•Bookmarks •Magnolia
•Reddit
•Coomcoom •MyWeb Yahoo
•Simpy
•Kozette •Netvouz
•Spotplex
•KreuZZ •StumbleUpon
•MesBookmarks •Tailrank
•Mikiwi •BibSonomy
•Mister‐wong
•Naztag
•Yoolink
Source : webmaster toulouse
96
97. L'@telier - mai 2008.
5.2 Les Blogs
• Système dynamique de • Exemple : Blogger : service en
gestion de site web à partir ligne de création de blog, gratuit
duquel une ou plusieurs et sans publicité, proposé par
personnes Google
• s’expriment
régulièrement sous la
forme de billets classés
par ordre chronologique
• peuvent interagir avec
leurs visiteurs via les
commentaires
• Outil d’auto‐publication et
de conversation
97
98. L'@telier - mai 2008.
Blogs
Partager ses passions et ses opinions.
En décembre 2007, plus d’un internaute sur deux a
consulté un blog.
Le nombre de bloggeurs atteint 5 millions :
+ 24% en un an 1.
98
99. L'@telier - mai 2008.
Les blogs
• Un blog ou blogue est un site Web constitué par la
réunion de billets classés la plupart du temps par ordre
anti‐chronologique (les plus récents en premiers).
• Chaque billet (appelé aussi note ou article) est, à l'image
d'un journal de bord ou d'un journal intime, un ajout au
blog ; le blogueur (celui qui tient le blog) y délivre un
contenu souvent textuel, enrichi d'hyperliens et
d'éléments multimédias, sur lequel chaque lecteur peut
généralement apporter des commentaires.
99 99
100. L'@telier - mai 2008.
•Le principe du blog (contraction de web log = journal web) est
un support de publication en ligne simple et rapide à mettre en
œuvre. Le blog permet aux lecteurs de réagir via les
commentaires.
• Les blogs proposent des fils RSS de façon native
•Comment créer un blog ?
‐ Ouvrir un compte chez un hébergeur
‐ Ou installer un logiciel (Wordpress ou Dotclear) sur un serveur
Aucune connaissance technique ou informatique n’est
nécessaire si on choisit un hébergeur
100
101. L'@telier - mai 2008.
5.2.1 Hébergés ou sur un serveur
Avantages:
Blog crée en 3 minutes, aucune opération
technique n’est nécessaire
Avantage:
Blog entièrement maitrisé, le code est
Inconvénient:
accessible.
Peu de personnalisation ou alors en version
payante;
Inconvénient :
difficile de quitter la plateforme pour
L’installation et la personnalisation
changer de blog ou le faire évoluer…
demandent un minimum de compétences
techniques .
101 101
102. L'@telier - mai 2008.
5. 2.2 Un agrégateur de blogs
102 102
103. L'@telier - mai 2008.
5.2.3 Des blogs de bibliothèques
Touti frouti, agrégateur de blogs de bibliothèques par Lionel Dujol
103
105. L'@telier - mai 2008.
5.3 LES WIKIS
• Système dynamique de • Wetpaint : service de création
gestion de site web d’espaces wikis pour la
permettant à tout visiteur collaboration en ligne
autorisé de modifier à
volonté le contenu et
l’organisation des pages
• Outil de co‐écriture et de
collaboration
• Le principe de
fonctionnement d’un wiki
expliqué en vidéo
105
106. L'@telier - mai 2008.
Les wikis
•Un wiki est un système de gestion de contenu de site Web qui
rend les pages Web librement et également modifiables par tous
les visiteurs autorisés. On utilise les wikis pour faciliter l'écriture
collaborative de documents avec un minimum de contraintes…. (le
plus célèbre : wikipedia)
•Un wiki est tout à fait adapté à la construction collective d’un
document retraçant les étapes d’un projet. Le wiki donne une
traçabilité des versions des documents (livrables) associés au
projet.
•Exemple : le Wiki du réseau Intercoop, un réseau des réseaux
francophones de la coopération, de l'intelligence collective et des
pratiques collaboratives
106
109. L'@telier - mai 2008.
5.4 PODCAST
• Canal de distribution de • Podemus : service d’annuaire,
contenus multimédia, un moteur de recherche et lecteur
podcast est constitué de de podcasts audio et vidéo
fichiers audio ou vidéo francophone
encapsulés dans un flux RSS
• Un programme spécifique
permet de lire le contenu du
podcast et de le télécharger
pour le conserver sur
l’ordinateur ou le transférer
vers un autre support
numérique
109
110. L'@telier - mai 2008.
5.5 CREATIVE COMMONS
• Les licences Creative Commons sont
des contrats‐type pour la mise à
disposition d’œuvres en ligne
(textes, photos, sons, sites web,
etc).
• Elles facilitent la réutilisation de
contenus en autorisant des tiers à
exercer des actes (reproduction,
diffusion, adaptation) qui
nécessitent normalement d'obtenir
préalablement l'autorisation des
titulaires de droit.
• Le principe de Creative Commons
expliqué en vidéo
•Autre vidéo
110
111. L'@telier - mai 2008.
6 DE L’AUTRE CÔTÉ DU MIROIR…
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus convivaux
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
6.1 L’avènement des réseaux sociaux
6.2 Les mondes virtuels
6.2 L’identité numérique
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin.
111
113. L'@telier - mai 2008.
6.1 L’avènement des réseaux sociaux
• La plupart des sites et services du web 2.0 combinent une
dimension personnelle (compte et profil personnalisables)
avec une dimension collective ou communautaire (échanger
avec les autres, partager ses propres contenus ou interagir
avec les leurs)
• L’individu n’intervient plus seulement « sur » le réseau
(approche technique) mais il peut aussi agir « en » réseau
(virage social du web). Il se situe désormais au centre de ses
multiples cercles relationnels … on parle alors de « réseautage
social »
Vidéo
113
114. L'@telier - mai 2008.
6.1.1 Rester connecté avec sa communauté
Internet a toujours été un vecteur de communication ou de mise en
relation avec les outils webmail et la messagerie instantanée
114
115. L'@telier - mai 2008.
SOCIAL NETWORKING
6.1.2
• Ning : service de création
• Les sites web de réseautage social
fournissent des outils pour d’espaces de réseautage social
faciliter le processus de mise en personnalisables
relation et supportent la prise de
contact en ligne
• Généralistes (MySpace, FaceBook)
ou spécialisés (Linkedin, Viadeo),
ils reposent sur une approche à la
fois individuelle (profil des
utilisateurs) et collective
(communauté globale des
utilisateurs et relation entre les
membres)
115
116. L'@telier - mai 2008.
Le social networking
• Ces réseaux d'individus se créent sur des sites qui proposent
par exemple la possibilité de contacter un membre du réseau
par l'intermédiaire d'une connaissance commune.
Le plus illustre des réseaux sociaux, MySpace, fondé en 2003.
La plate‐forme s'est ensuite enrichie d'une multitude de
services en affinité avec la cible des jeunes internautes .
• ( blogs, messagerie instantanée, e‐mail, clips vidéos, partage
de MP3, liste d'amis, articulé autour d'une quot;page persoquot; )
116
117. L'@telier - mai 2008.
6.1.3 Retrouver un camarade de classe
Retrouver un camarade de classe :
• en décembre 2007 plus de 5,2 millions de visiteurs se
sont branchés sur le net pour cette plongée
nostalgique ;
• et les réseaux qui leur en fournissent la possibilité
ont vu leur audience plus que doubler en un an.
• Le leader, « Copainsdavant », est passé de 2 à 4,4
millions de visiteurs
http://copainsdavant.linternaute.com/
117
119. L'@telier - mai 2008.
6.1.4 Rester en contact avec ses relations
professionnelles et s’en créer de nouvelles
• Le Networking connaît un succès flamboyant. Avec 582 000
visiteurs uniques 2 en moyenne par mois en 2007, le site
Viadeo voit son audience moyenne mensuelle augmenter de
plus de 120% par rapport à 2006.
119
123. L'@telier - mai 2008.
6.1.5 Facebook
• Interagir avec ses réseaux : Facebook, à l’origine site communautaire d’une
université américaine, s’est implanté en France où il connaît un succès
fabuleux : de 241 000 visiteurs en juillet 2007 à près de 2 millions en
décembre.
123
125. L'@telier - mai 2008.
FaceBook, un réseau social parmi d’autres
125
126. L'@telier - mai 2008.
•Utiliser un réseau social est aujourd’hui un réflexe
•Les principaux usages sont le recrutement (comme candidat ou
recruteur) et le business développement (prospection et
partenariat)
• •Linked In et Viadeo sont les références sur le marché
français
• •Facebook est un tsunami (croissance rapide, addictif). Son
usage actuel est plutôt tourné vers les amis, mais les
professionnels commencent à appréhender l’outils, pour
organiser des évênements, communiquer, ou recruter.
Etude réalisée du 02 au 08 octobre 2007 sur un échantillon de 243 internautes.
•
126
127. L'@telier - mai 2008.
Des liens, pour en savoir un peu plus.
Etude Moovement - réseaux sociaux, quels usages? (oct 07)
www.slideshare.net/rmen/etude-moovement-rseaux-sociaux-quels-usages/
Réseaux sociaux, mode d'emploi
www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-651865,36-999197@51-999297,0.html
Quel usage professionnel pour FaceBook
www.scribd.com/doc/340945/Quel-usage-professionnel-pour-Facebook
Réseaux sociaux : quelle utilité pour les professionnels ?
www.aecom.org/blog/rdv/2007/12/rseaux-sociaux-quelle-utilit-pour-les.html
La sécurité expliquée
www.sophos.fr/security/best-practice/facebook.html
Revue de presse et de blog au sujet de Facebook et des réseaux sociaux
www.facebook.com/group.php?gid=7484916716 (sous FaceBook)
Nos amis Québécois illustrent l’effet FaceBook ;-)
www3.globetrotter.net/lecasroberge/player.do?id=626999
127
128. L'@telier - mai 2008.
6.1.6 Twitter un réseau social en temps réel
Twitter est un outil de
réseau social et de
microblogging, qui
permet à l'utilisateur de
signaler à son réseau quot;ce
qu'il est en train de
fairequot;. Il est possible
d'envoyer et de recevoir
ces updates (mises à
jour) par le Web, par
messagerie instantanée
ou par messagerie
numérique.
128 128
130. L'@telier - mai 2008.
6.3 L’identité numérique
Un membre de réseau gère
son identité numérique.
• Il construit sa réputation
et son influence.
• Il organise (et élargit) ses
relations en ligne
(familiales, amicales,
professionnelles) pour
collaborer et partager
avec elles.
Vidéo instructive
130
131. L'@telier - mai 2008.
6.3.1 Limites et risques du réseau social :
savoir gérer sa réputation numérique
FaceBook mélange vie professionnelle et vie personnelle
Attention à la gestion de votre image
Restez toujours maitre de
votre réputation numérique
131
133. L'@telier - mai 2008.
Les utilisateurs au coeur du web 2.0
6.3.2
• Avec la prolifération des blogs et wikis, la multiplication des réseaux
sociaux et l’explosion du trafic sur les plateformes d’échanges, les
contenus générés par les utilisateurs prennent une place toujours
plus importante.
• Tous ces contenus laissent des traces sur les sites qui les hébergent
et dans les index des moteurs de recherche, ils sont également
systématiquement rattachés à un auteur.
• De plus, la notoriété numérique des individus ainsi que sa
valorisation (monétisation de l’audience, de l’expertise…) va
rapidement amener les internautes (consomm’auteurs et
consomm’acteurs) à se soucier de leur identité numérique.
133
135. L'@telier - mai 2008.
6.3.4 L’identité numérique :
la traçabilité en 13 points
• 1 ‐ Les coordonnées, c’est à dire tous les moyens numériques qui
permettent de joindre un individu (email, messagerie instantanée,
N°de téléphone), de l’identifier (fichier FOAF ou hCard) ou de le
localiser (Adresse IP).
• 2‐ Les certificats qui sont délivrés par des organismes des services
ou des logiciels afin d’authentifier un utilisateur.
• 3 ‐ Les contenus publiés à partir d’outils d’expression qui
permettent de prendre la parole : blog, podcast, videocast, portail
de journalisme citoyen (Agoravox, Wikio…).
135
136. L'@telier - mai 2008.
L’identité numérique : la traçabilité
• 4‐ Les contenus partagés à l’aide d’outils de publication : photos
(FlickR), vidéos (YouTube, Dailymotion…), musique (Radio.blog.Club)
ou liens (del.icio.us).
• 5 ‐ Les avis sur des produits (U.lik, CrowdStorm, iNods…), des
services, des prestations (ex. voyages avec TravelPost) ou même
information (Digg).
• 6 ‐ Les hobbies qui sont partagés par les passionnés sur des réseaux
sociaux de niche (Boompa pour l’automobile, Cork’d pour le vin,
BakeSpace pour la cuisine…).
136
137. L'@telier - mai 2008.
L’identité numérique : la traçabilité
• 7 ‐ Les achats réalisés chez des meta‐marchands (comme Amazon
ou eBay), avec des systèmes de paiement (comme Paypal ou Google
Checkout) ou de programmes de points de fidélité (comme S’Miles
ou Maximiles) qui permettent de modéliser les habitudes de
consommation.
• 8 ‐ Les avis sur des produits (U.lik, CrowdStorm, iNods…), des
services, des prestations (ex. voyages avec TravelPost) ou même
information (Digg).
137
138. L'@telier - mai 2008.
L’identité numérique : la traçabilité
• 9 ‐ La connaissance diffusée au travers d’encyclopédies
collaboratives (Wikipedia), de plateforme de FAQ collaborative
(comme Yahoo! Answers ou Google Answers) ou de sites de
bricoleurs (Instructables) ;
• 10 ‐ Les portails (Monster, WetFeet…) et réseaux sociaux (LinkedIn,
Xing…) qui servent à donner de la visibilité à sa profession ;
• 11 ‐ Les services qui gèrent la notoriété d’un individu (Technorati,
Cymfony…), sa fiabilité (Biz360) et sa réputation (RapLeaf, iKarma,
ReputationDefender…) ;
138
139. L'@telier - mai 2008.
L’identité numérique : la traçabilité
• 12 ‐ Les services de rencontre (Meetic, Friendster…) et de
fédération d’individus en audiences homogènes (MySpace,
MyBlogLog…)
• 13 ‐ Les jeux en ligne (World of Warcraft, Everquest…), les
univers virtuels (SecondLife, There, Habbo Hotel…) et les
services en ligne (SitePal, Gravatar) qui permettent d’afficher
un avatar
139
140. L'@telier - mai 2008.
6.3.5 Allez à un entretien d’embauche
après avoir été vu sur Youtube…
140
142. L'@telier - mai 2008.
6.3.7 Un marché : Les nettoyeurs du net
• ReputationDefender, nettoyeur d’identitépar Frédérique Roussel ‐
Liberation mardi 5 décembre 2006. (extraits)
quot;Un nouveau concept a débarqué sur la Toile ces derniers mois : celui de
« nettoyeur de réputation ». Le site ReputationDefender.com a pour
objectif de chasser sur le réseau les traces de vos passages et les éléments
d’identité qui vous déplaisent. Sur la demande d’un client, la société traque
sur le net tout les contenus (écrits et multimédias) qui le concerne, lui ou
ses enfants « Ce service est devenu absolument nécessaire aujourd’hui,
défend Michael Fertik. À l’ère de l’information, l’internaute a besoin de
savoir quelle est sa réputation ou celle de ses enfants qui se trouvent en
ligne. »
• Ce détective virtuel se monnaye, bien sûr. Au prix de dix dollars par mois.quot;
142
144. L'@telier - mai 2008.
7 LES CONTENUS EN LIGNE
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus convivaux
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
7.1 La musique et la vidéo en ligne
7.2 Le cinéma, la vidéo, la télévision
7.3 Le téléchargement
7.4 Regards juridiques sur le web 2.0
8 Perspectives
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin.
144
145. L'@telier - mai 2008.
7 LES CONTENUS EN LIGNE
Un peu d’humour !
145
146. L'@telier - mai 2008.
La musique, la vidéo en ligne
7.1
Le web 2.0 sauvera t‐il la musique enregistrée ?
( article – crique d’un livre sur le sujet cliquer ici )
La vidéo diffusion et les pirates du web.
146
147. 7.1.1 Musique 2.0 et bibliothèques L'@telier - mai 2008.
paysages et perspectives
Diaporama en ligne
http://www.slideo.com/article.php?id=620
Musique 2.0 et bibliothèques: paysage et perspectives
147
148. L'@telier - mai 2008.
7.1.2 Last‐fm ou la musique communautaire
Partager vos goûts musicaux avec vos liens sociaux
148 148
149. L'@telier - mai 2008.
Des majors diffusent
7.1.3
gratuitement leurs catalogues…
149
151. L'@telier - mai 2008.
Le cinéma, la vidéo, la télévision
7.2
• Vous êtes un créatifs ? Un caméscope, un ordinateur, vous
pouvez réalisez et diffuser sur les plateformes vidéo.
• Vous êtes cinéphile, amateur de documentaires, la VOD est à
portée de souris.
• Les télévisions du monde entier sont à portée de votre haut‐
débit
• Vous ne voulez pas payer votre place de cinéma, téléchargez
votre film (à vos risques et périls…)
151
152. L'@telier - mai 2008.
Le téléchargement
7.3
• Le Peer to peer ou P2P une mutualisation très efficace des
données et une neutralité technique ex: la chaîne légale du
site Ratiatum
• 11 millions de personnes téléchargent tous les jours pour
échanger plus de 980 millions de fichiers de tout types et pas
tous illégaux!
• Les pratiques illégales sont bien ancrées pour toute une
génération : les iPod contiennent seulement 5 % de musique
achetée sur itunes et les lecteurs MP3 ?...
152
154. L'@telier - mai 2008.
7.3.2 Le téléchargement (musical)
Quelques idées à méditer :
• S’il existe un problème évident de rémunération des ayants
droits, la stratégie de la répression est un échec, des modèles
économiques s’inventent
• On peut trouver une offre tellement importante que la notion
de collection (d’œuvre?) vole en éclat : on parle de flux
• Les habitudes sont là : pas de DRM, une écoute au titre, mais
des logiciels avec peu de valeur ajoutée sur le contenu,
laissant une place à la recommandation…
154
155. L'@telier - mai 2008.
7.3 3 Deux techniques très populaires
155
156. L'@telier - mai 2008.
EMULE
7.3.3.1
EMule est un logiciel de partage de fichiers utilisant le système du peer to
peer, c'est-à-dire que vous envoyez des fichiers à d'autres utilisateurs et
vous récupérez des fichiers sur eux.
EMule exploite les performances du réseau eDonkey2000. Dans ses
dernières versions, eMule permet aux utilisateurs de se connecter au
nouveau réseau Kadmelia qui, contrairement au réseau eDonkey2000, ne
nécessite pas de serveur centralisé. Kadmelia permet donc d'obtenir un
nombre de sources plus conséquent puisqu'elles proviendront de divers
serveurs.
Grâce à eMule, vous pourrez partager tout type de fichiers (Audio, Video,
Images etc.) et c'est un excellent moyen de diffuser un logiciel ou un jeu de
votre création. En effet, il vous permet gratuitement de proposer le
téléchargement (car il ne nécessite pas l'acquisition d'un serveur à bande
passante élevée).
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158. L'@telier - mai 2008.
Torrent
• Le Torrent est à la fois un logiciel et un système d'échange de fichiers se
basant sur le téléchargement sur plusieurs sources à la fois. Le principe
de base vient d'un constat: quand une information est disponible sur
un serveur, plus elle est demandée, moins elle est accessible.
• Le torrent permet à chaque utilisateur qui télécharge l'information de
devenir lui‐même serveur, permettant ainsi à l'offre d'augmenter en
fonction de la demande, accélérant ainsi le flux de données. Le
principal inconvénient de BitTorrent est la faible durée de vie des liens,
qui disparaissent quand trop peu de personnes les recherchent.
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159. L'@telier - mai 2008.
Vous n’y comprenez rien…les modes d’emploi
sont sur le web
159
160. L'@telier - mai 2008.
7.4 Regards juridiques sur le web 2.0
Diaporama
sur
Slideshare
160
162. L'@telier - mai 2008.
8 PERSPECTIVES
0. Introduction
1. Généralités sur le web 2.0
2. Au cœur du Web 2.0
3. L’utilisateur créateur de contenus
4 Des outils plus convivaux
5 Partager
6 De l’autre côté du miroir…
7 Les contenus en ligne
8 Perspectives
8.1 Un nouveau modèle économique La longue traîne
8.2 L’écosystème du web 2.0
8.3 L’immaturité du 2.0
8.4 A qui profite le Web 2.0 ?
8.5 L’Europe du Web 2.0
8.6 Les défauts du web d’aujourd’hui
8.7 Les virus Web 2.0
8.8 Le web 3.0
9 Au final le Web 2.0 c’est…
Bibliographie web 2.0
Aller plus loin. 162
163. L'@telier - mai 2008.
8.1 Un nouveau modèle économique :
La longue traîne
Ce livre présente un nouveau modèle économique, The Long Tail, fondé sur
l'abondance et une demande quasi infinie, qui est en train de se mettre en
place dans les médias et les secteurs culturels et pourrait s'étendre à de
nombreux autres secteurs
163
164. L'@telier - mai 2008.
• Les hits ou best-sellers font la loi du marché. Voilà pourquoi ils
concentrent l’essentiel des efforts de promotion et de marketing.
•Promis au succès, ils monopolisent tous les moyens. C’est la fameuse
loi des 20/80 : 20 % des produits font 80 % du chiffre d’affaires.
Cette loi se trouve désormais largement remise en cause avec La Longue
Traîne.
•Dans ce livre visionnaire, Chris Anderson nous démontre comment
Internet, offrant aux consommateurs un choix illimité de produits, est en
passe de modifier les mécanismes de l'économie.
•Qu'arrive-t-il en effet quand tout devient accessible à tout le monde ?
Productions commerciales et contenus amateurs se disputent l’attention
des internautes sur un même pied d’égalité.
164
165. L'@telier - mai 2008.
La longue traîne
• Un modèle économique popularisé par Chris Anderson,
rédacteur en chef de Wired Magazine et dont le potentiel
économique a été percu en premier par Jeff Bezos, fondateur
et PDG d'Amazon
Lire l’article sur ce sujet dans
Livres Hebdo du 18 mail 2007
- n° 690
165 165
167. L'@telier - mai 2008.
•En réduisant les coûts fixes liés à la distribution, voire à la
production, Internet fait naître une économie d’abondance : tous les
films, les CD, les livres sont disponibles en permanence.
•Les goûts se dispersent, et à une augmentation de l’offre
correspond désormais une augmentation de la demande.
•Dès lors, la réussite ne se concentre plus sur un petit nombre
d’œuvres en promotion.
•Les autres produits, qui constituent les « longues traînes »,
rapportent parfois jusqu’à 80 % du CA, phénomène observé chez
Rhapsody (pour les téléchargements de musique en ligne), ou
Google ou e.bay(pour les petits annonceurs).
•Le web modifie les marchés de masse en une masse de niches.
•Les marchés de demain appartiennent à ceux qui sauront tirer
profit
167
168. L'@telier - mai 2008.
• à un marché composé de
• Passage du marché de masse
millions de niches
où les choix très éclectiques
où le top 50, les best-sellers du des consommateurs se
livre et les blockbusters du répartissent sur des multitudes
cinéma règnent de titres
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168
170. L'@telier - mai 2008.
8.2 L’écosystème du web 2.0
• Le web 2.0 fait disparaître les frontières : les sites et services
ne sont plus des îlots informationnels séparés. Ils
communiquent entre eux et autorisent de multiples
recombinaisons (les contenus sont comme des « boules de
flipper » dont les trajectoires dépendent des utilisateurs)
• Le web acquiert ainsi une dimension ludique, comme un
immense jeu de légo où chacun peut imaginer de nouvelles
constructions à partir des briques disponibles …
170
171. L'@telier - mai 2008.
L’écosystème du web 2.0
• Les données disponibles forment un écosystème
d’information global : elles sont réutilisables, remixables et
transformables à volonté.
Cette capacité est liée à l’apparition de standards de syndication
(notamment le format RSS mais aussi les micro‐formats
« consensuels »), à la mise à disposition de modules ou de
scripts embarquables (widgets, bookmarklets, etc), au
développement d’interfaces publiques de programmation
(APIs) ou encore à l’assouplissement du cadre juridique
applicable au contenu (licences Creative Commons)
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173. L'@telier - mai 2008.
8.3 L’immaturité du 2.0
• Le développement des sites et services se réclamant du web 2.0 est en
forte croissance : à côté des « géants du web » (google, yahoo, msn), une
nouvelle vague de start‐ups s’engouffre dans cette voie … Les services
deviennent redondants et rivalisent d’ingéniosité pour attirer les
utilisateurs à eux.
• Certains services se font racheter par des « gros », certains consolident leur
existence en attirant des financements (capital risque) et d’autres « survivent » par
leurs propres moyens, mais, pour le moment, peu sont ceux qui disparaissent >
voir le terminus de techcrunch
• Pourtant, ils sont gratuits ou accessibles à des coûts très réduits, non pas par
altruisme, mais pour séduire le plus d’utilisateurs possible > comment, dans ces
conditions, peuvent‐ils devenir rentables et viables ?
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175. L'@telier - mai 2008.
LA LOGIQUE ÉCONOMIQUE LIBÉRALE :
UN EXEMPLE PARMI D’AUTRES…
Sunday 20 April 2008 à 10:59 — by Aziz Haddad
« Brainsonic rachète Slideo
Brainsonic, l’entreprise de production de
contenus Rich Media, vient de réaliser
l’acquisition de Slideo, plateforme
collaborative d’échanges de slides, de vidéos
et de contenus professionnels et développe
ainsi son offre avec un concept
de portails communautaires de mutualisation
des connaissances et de partage des
ressources pour les entreprises…. »
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176. L'@telier - mai 2008.
8.3.1 La profusion instable des services
• Rendre compatibles les modèles économiques traditionnels (affiliation,
abonnement, publicité) avec l’exigence de faire supporter un minimum de coût
financier aux utilisateurs
• Innover en inventant de nouveaux modèles en partenariat avec les autres services
de l’éco‐système du web 2.0 > exemple : netvibes et box.net
• Bilan et perspective : la grande majorité des entreprises proposant des services 2.0
ont moins de 24 mois … Certaines commencent à générer des revenus importants
et sont là pour durer, mais de très nombreuses disparaîtront comme dans tout
éco‐système où le « darwinisme économique » s’applique.
• A la période d’effervescence actuelle, succédera sans doute une phase de
re‐monopolisation ?
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180. L'@telier - mai 2008.
8.6 Les défauts du Web d’aujourd’hui
• Trop de contenus : on laisse la possibilité à tous de publier et on
s’en donne à cœur joie. Si la production du contenu était un des
enjeux du Web 1.0 ; la cascade des contenus inutiles noie les
contenus intéressants.
• Trop d’identité numérique : il n’existe pas de standard de fait pour
gérer les facettes de nos identités numériques (authentification,
réputation, gravatars...). Certains projets tels que OpenID,
Gravatar... sont des pistes mais leur adoption est bien trop limitée
pour résoudre cette problématique
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181. L'@telier - mai 2008.
Les défauts du web d’aujourd’hui
• Trop d’applications : le principe de la plupart des applications Web
2.0 est que plus les utilisateurs investissent du temps plus le
bénéfice retiré est important (contribution dans les Wikis,
enrichissement de son réseau dans un réseau social...). Or,
l’émergence permanente de nouveaux services concurrençant les
précédents incite les utilisateurs à la plus grande « frivolité ».
• La profusion du web 2.0 est brouillonne mais porte en elle un
enthousiasme inventif. On nous prédit l’engorgement du réseau et
un contrôle de tous nos agissements.
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184. L'@telier - mai 2008.
Les virus et les web 2.0 ? Soyons vigilants ,
lucides, mais pas paranos…
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185. L'@telier - mai 2008.
8.8 Le Web 3.0
• Vidéo : rencontre avec Joël de Rosnay sur le Web 3.0
Un avenir proche ?
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186. L'@telier - mai 2008.
9 Au final le web 2.0 c’est…
• Un mouvement d’ampleur…
• Une gigantesque soif de partager avec ses
proches ou le monde entier, de rester
connecter.
• Des moyens techniques puissants de
mutualisation de l’information.
• Des risques encore mal évalués des
menaces sur nos libertés individuelles.
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