1. CHAPITRE 1 : LA QUESTION
DU DEVELOPPEMENT
DURABLE
2. LEÇON 1 : LES ENJEUX DU
DEVELOPPEMENT DURABLE
• Etude de cas : le pull en cachemire en
Mongolie
• Objectif : approcher la définition du
développement durable
6. Etude de cas numéro 1 : le pull en
cachemire
• Quel pays est le deuxième pays producteur de cachemire
dans le monde ? Dans quel continent se trouve-t-il ?
• Il y a 15 ans, les éleveurs produisaient 1500 tonnes de laine.
Aujourd’hui, ils en produisent 2700 tonnes, entoure la
courbe qui correspond à cette évolution.
7. Etude de cas numéro 1 : le pull en
cachemire
• Quel pays est le deuxième pays producteur de
cachemire dans le monde ? Dans quel
continent se trouve-t-il ?
• Il y a 15 ans, les éleveurs produisaient 1500
tonnes de laine. Aujourd’hui, ils en produisent
2700 tonnes, entoure la courbe qui correspond
à cette évolution.
• La Mongolie
• C’est cette
courbe qui
correspond à
cette
évolution :
8. Etude de cas numéro 1 : le pull en
cachemire
• Quel est l’avantage économique pour
les éleveurs de la croissance de la
production ?
• Quel est l’inconvénient écologique de
cette intensification de la production ?
• Quelle solution est proposée aux
éleveurs dans le film pour changer de
vie ?
• ils ont doublé leur
revenu en 10 ans
• Les chèvres broutent
l’herbe trop
profondément et
accélèrent la
désertification
• Ils pourraient
développer l’industrie
de transformation de la
laine comme l’a fait la
Chine
9. Etude de cas numéro 1 : le pull en
cachemire
• Propose une définition du développement
durable
10. Introduction :
• La géographie n’est pas l’écologie. L’écologiste
cherche à favoriser le pôle environnement. Le
géographe cherche à constater un équilibre
ou un déséquilibre entre les trois objectifs du
développement durable.
• Comment définir le développement durable
et ses enjeux ?
• Environnement : ensemble des éléments
naturels qui nous entourent
11. I) Une origine ancienne,
mais un terme récent
A) La déclaration Brundtland
12. Notre modèle de développement se fonde
sur la création et l’abondance de
richesses. Il repose sur l’exploitation sans
limites des espaces et des ressources
naturelles (ex : pétrole).
Mais il comporte des conséquences
négatives écologiques et sociales. C’est le
cas de la mise en valeur de la forêt
amazonienne et de l’accroissement des
inégalités de richesses par exemple.
A) Une prise de conscience
13. Est-ce récent ?
Une préoccupation déjà ancienne
« Vouloir faire du développement durable une idée
neuve est séduisant mais inexact. Les forestiers
français font de l’ordonnance du roi Philippe VI, en
1346, le point de départ de la volonté de protéger les
forêts. La « durabilité » y apparaît d’ailleurs clairement
dans le texte, puisque le mot « soutenable » s’y
trouve. »
D’après Y. Veyret et P. Arnould, Atlas des
développements durables, ed. Autrement, 2008
14. B) Le rapport Brundtland
Rédigé en 1987 à la demande de l’Organisation des
Nations Unies, il popularise l’expression « développement
durable » qu’il définit ainsi.
« Le développement durable est un développement
qui répond aux besoins du présent sans compromettre
la capacité des générations futures de répondre aux
leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le
concept de « besoins », et plus particulièrement des
besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient
d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des
limitations que l’état de nos techniques et de notre
organisation sociale impose sur la capacité de
l’environnement à répondre aux besoins actuels et à
venir »
16. • A) Deux principes fondamentaux
1) « Préserver pour les générations
futures » : nous pouvons utiliser les
ressources de la Terre mais pas les
épuiser
2) « Penser global, agir local » : Notre
planète est unique, fragile et aux
capacités limitées. Nous avons un impact
et la possibilité d’intervenir dans notre vie
de tous les jours en triant nos déchets,
limitant notre consommation électrique…
17. B) Comment faire ?
• Il faut améliorer l’efficacité des technologies
permettant un meilleur rendement et de
moins consommer.
• Avoir un usage raisonné et sobre, c’est-à-dire
utiliser seulement ce qui est nécessaire.
• Favoriser l’utilisation des énergies
renouvelables alternatives : éolien, solaire,
bois, géothermie.