2. Contexte 2005 : l’idée 2007 : le test 2008 : ouverture du musée Un musée 100% privé Développement entreprenarial Mécènes et sponsors Structure mixte associative et commerciale Un département du Toit de la Grande Arche, qui fonctionne de manière autonome Des moyens de promotion limités Une TPE : 3 personnes réellement actives sur le projet Historique personnel de créateur de contenu
3. Cibles et objectifs Visiteurs : grand public, Ile de France, France et étranger => billetterie (300 000 / an) Scolaires : enseignants techniques et généralistes, tous niveaux => groupes et visites (1 à 2 par jour) Entreprises : organisateurs d’événements de 30 à 800 personnes => location d’espaces (1 à 2 par jour) Mécènes et sponsors => dons et prestations Donateurs d’objets => matériels historiques (1 à 2 par semaine)
4. Outils mis en place Site web du musée | 30 000 pages vues par mois, 4000 visiteurs uniques Blog du musée http://blog.museeinformatique.fr | amis du musée | 20 000 pages vues par mois, 2200 visiteurs uniques Blog pour chaque exposition temporaire Web TV diffusée sur iTunes, YouTube… | scolaires | 5000 visionnage par épisode sur le site (hors reprises externes) Twitter | amis du musée | 345 abonnés Facebook | tous publics | 266 membres Newsletter (prévue janvier 2010) | amis du musée | 1000 abonnés Outils traditionnels (publicité, plans…) gérés par le Toit de la Grande Arche | tourisme Relations presse | le meilleur outil, plusieurs centaines d’articles en 2 ans
5. Publics Organisation des contributions Médias de Mémoire (blogs…) Abonnements Création de contenu Commentaires Auto Autres médias sociaux Médias rapides (Twitter) Auto
6. Retour après 18 mois Des outils orientés visibilité Ne remplacent pas, mais complètent les médias traditionnels Chaque nouvel outil adresse une niche Beaucoup de recouvrement entre les outils 2.0 Des populations très typées au profil « geek » Nécessité de mettre en place des outils d’aide à la publication Un impact positif sur le référencement Beaucoup d’interactions, mais peu de valeur ajoutée Des interrogations sur la réalité du ROI
7. En conclusion Quelle est la différence entre les « médias sociaux » et les outils traditionnels ? N’est-ce pas simplement un canal de plus ? La force du contenu On continue, mais en cherchant la productivité entre les canaux de diffusion car les canaux traditionnels restent plus rentables