4. 1 Les bénéfices par l’exemple
A. Exemple de gain de dématérialisation
B. Cyber‐sécurité
C. Une industrie française forte
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
3 Le problème d’être riche
4
13. Économies envisagées pour
Lafage Bétons
24 minutes / commande * 30 commandes / jour * 250 jours
par an * 269 centrales à béton =
0.73 millions d'hommes-heures par an
13
14. 1 Les bénéfices par l’exemple
A. Exemple de gain de dématérialisation
B. Cyber‐sécurité
C. Une industrie française forte
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
3 Le problème d’être riche
14
21. 1 Les bénéfices par l’exemple
A. Exemple de gain de dématérialisation
B. Cyber‐sécurité
C. Une industrie française forte
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
3 Le problème d’être riche
21
22. Parts de marché mondial des
cartes à puce en 2005
Gemalto Oberthur Sagem
Giesecke & Devrient Autres
22%
46%
16%
6%
10%
22 Source: www.zdnet.fr
25. 1 Les bénéfices par l’exemple
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
A. Echec du privé
B. Echec du public
C. Il est dur d’être riche
D. Un problème éthique
3 Le problème d’être riche
25
28. 1 Les bénéfices par l’exemple
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
A. Echec du privé
B. Echec du public
C. Il est dur d’être riche
D. Un problème éthique
3 Le problème d’être riche
28
29. Beaucoup de bruit pour rien?
Année Texte point clé
1999 Directive CE 99/93 SSCD
2000 Loi n° 2000-230 signature électronique
2001 Décret n°2001-272 signature présumée fiable
Rapport de l’Assemblée
2002 Etude sur le biométrique
Nationale
2003 Décision CE 2003/511 Normes
...
?
29
32. 1 Les bénéfices par l’exemple
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
A. Echec du privé
B. Echec du public
C. Il est dur d’être riche
D. Un problème éthique
3 Le problème d’être riche
32
36. 1 Les bénéfices par l’exemple
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
A. Echec du privé
B. Echec du public
C. Il est dur d’être riche
D. Un problème éthique
3 Le problème d’être riche
36
39. 1 Les bénéfices par l’exemple
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
3 Le problème d’être riche
A. L’expérience internationale
B. Un stratégie pour la France
39
43. Nandan Nilekani,
Chairman of UIDAI
« This isn’t just about giving every Indian a
number, it’s about giving them an identity
and an acknowledgement of their
existence by the state. That has huge social
benefits. »
43
47. Ressources
Inde
Estonie
Malaisie
Portugal
Organisation de
Belgique
l’administration Iran Allemagne
Pakistan Emirats Arabes Unis
Italie
Suisse
Autriche
47
48. 1 Les bénéfices par l’exemple
2 Echec dans les pays développés: le
cas de la France
3 Le problème d’être riche
A. L’expérience internationale
B. Un stratégie pour la France
48
60. • Trouver un modèle économique pour IdéNum
• Éducation des citoyens et communication
• Créer des incitations pour le développement de
l'écosystème
• S'assurer du développement des usages
60
64. Buts à atteindre
• 3 à 5 ans
• Identité professionnelle et privée
• Augmentation du nombre de cartes et d’usages
• L'administration dématérialisée utilise IdéNum
• 10 ans
• Ecosytème durable
• L'essentiel des transactions sont authentifiées
64
Hinweis der Redaktion
\n
\n
\n
plus parler de mon expérience personnelle, et du fait que même dans une centrale à béton, la dématérialisation pourrait complètement transformer les coutumes.\n
\n
\n
\n
\n
\n
\n
plus de 20 minutes\n
\n
L’utilisation d’une sorte de carte d’identité numérique pourrait non seulement simplifier les interfaces entre entités, mais également radicalement améliorer plusieurs secteurs de l’économie.\n\nLa signature numérique: point d‘achoppement, mais bénéfices réalisables qu’au moyen d’une réorganisation\n
\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
-introduire la technologie majeure: la carte à puce.\n-soulever l’objection: en cas de perte, il serait possible, comme pour une carte bleue, de faire opposition.\n\nBien que nous ayons dit que la france n’ait pas su mettre en place la signature numérique, son industrie ne manque pas pour autant de dynamisme\n
Sécurité dans un monde connecté:\n\n10000 emplois en France\nR et D mondiale effectuée majoritairement en France\nLeaders français dans cette industrie, qui n’arrive pas à vendre en France!\n\n$\n
Filière française de cartes à puces : 10000 emplois\nRéservoir de croissance dans les NFCs.\nPression des prix auprès des compétiteurs asiatiques.\n\nprix unitaire : entre 0.6 et 0.7 €/unité\n\n\n\n
\n
\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
\n
1999: directive europeenne: nécessité de reconnaître la signature numérique. Creation de Secure Signature Creation Device\n2000: definition de la preuve littérale, reconnaissancede la signature numérique au même titre que la signature papier.\n2002: rapport de Ass Nat sur l’usabilité des biométries, et les dangers potentiels de la surveillance. Et l’efficacité contre les fraudes\n2003: definition des normes qui doivent être reconnues comme signatures numériques.\n\nLa machine juridique s’est un peu emballée, mais peu d’application sont sorties à ce jour.\n\n \n\n
Programme Copernic:\nComméncé par la tva, pour les professionnels.\n\ntéléIR: a été poussé au début, mais\nSource: archives du Sénat \n2007: retrait du bénéfice fiscal\n2009: suppression du certificat.\n\nInfluence sur le programme de téléTVA, et des marchés publics: d’une création d’écosystème,\n\nCe programme devait être le fer de lance de la signature numérique, mais les points forts ont été progressivement abandonnées:\nAvantage fiscal\nCertificat utilisable ailleurs\nÉcosystème d’entreprises.\n\n-> les usages sont absents!\n\nSILOS\ncependant: usage des télédéclarations s’est bien implanté, puisqu’en 2009, 9/49 millions de foyers fiscaux ont télédéclaré.\n
\n
Le terrain des signatures numériques est déjà largement occupé en France,`\net ceux qui l’occupent partielleemnt ne veulent pas laisser la place\n
Depuis la fin des années 90, les banquiers ne sont pas restés les bras croisés en attendant que le système de signature numérique soit déployé:\n\nEn effet, aujourd’hui, la dématéralisation est rendue possible par le système visa, qui a été mis en place au long des années 90.\n\nPour les banques, même si elles étaient demandeuses de signature électronique dans les années 90, elles sont parties sur des solutions non coopératives:\n-essai de coopération interbancaire, mais selon Nicolas Reimen de la Bred, cela allait trop contre la culture bancaire. Par ailleurs, permettait de se differencier sur les moyens d’interagir avec le client, en proposant des solutions propriétaires.\nEx: 3D secure, ipab…\nIpab: probleme de securité cependant..\nMais le problème est que ces multiples solutions sont du coup moins intéresssantes pour la population, qui doit en utiliser autant que de banques à qui il a à faire\n\n
Pour les grands donneurs d’ordres qui maitrisent une filière industrielle, il y a la possibilité d’imposer à tous les sous-traitants une démarche de démtérialisation, contournant les besoisnde signature électronique, étant donné que les gens se connaissent et se font confiance.\n\nAinsi, renault, carrefour, ne poussent plus non plus pour une solution de ce type, étant donné qu’ils ne travaillent que dans une relation continue avec leurs fournisseurs.\n\n\n
Multiples administrations.\n\n
Peur du fliquage\nSentiment d’avoir une administration suffisamment fonctionnelle\nEnvie de protéger une identité multiple\n\nCréation de la CNiL pour assurer qu’il n’y a pas de base de données centralisée\n
\nProblème de la biométrie:\n\nSelon Gwendal Legrand, de la CNIL,\nQuelle est la bonne quantité de biométrie à utiliser?\nComment gérer les traces laissées involontairement\nQue se passe-t-il si l’on découvre que les empreintes digitales renseignent par exemple sur la sensibilité à certaines maladies?\nProblème d’irrévocabilité: que se passera-t-il le jour où les fichiers d’empreintes seront piratés?\n\n bien montrer qu’il y a eu l’amalgame en France sur biométrie et carte d’identité.\n\nen conclusion.... Ainsi la France n’a pas su mettre cela à profit. Cependant, il n’y a pas de honte à avoir puisque finalement, ni l’Angleterre, ni les Etats-Unis n’ont su mettre cette innovation à leur profit\nEst-elle vouée à l’echec à cause de cela?\nEteindre l’écran.\n
\n
\n
Un exemple de l’intérêt de cette carte est de donner accès à toute la population indienne à des services bancaires pour la première fois.\n\nAu lancement de l’opération en 2009, une partie importante de la population n’avait pas accès à des services bancaires.\n\n\nbien expliquer le schéma.\n\n\n\n
Autorité formée en février 2009\n\nEn Inde, la signature a été vue comme un grand progrès social.\n\nLa carte a été vendue comme un moyen de sortir de l’extrême anonymat pour des régions entières.\n\nEn effet, avant cette carte, il était extrêmement difficile de se procurer des papiers d’identités quand on n’avait pas les moyens de payer les fonctionnaires.\n\nDonc cette entreprise est vraiment un moyen de faire pénétrer toute une partie de l’Inde dans le monde des services modernes.\n\nPour s’assurer de l’unicité des porteurs de carte, il a été décidé d’utiliser une base de données centralisée, et un fort usage de la biométrie, malgré une forte critique internationale, et notamment américaine, sur le contrôle sur la vie privée.\n\nEntreprise de grande ampleur: Budget de 666 M USD en 2010\n\n\n
AADHAAR: nom qui veut dite support ou fondation en Hindi\n\nOpération de grande ampleur: \n\nfaire entrer les illetrés dans la vie moderne!\n
60,000 villages de plus de 2000 habitants n’ont acun accès aux services bancaires.\n\nenfin, c’est notamment Sagem qui va fournir les cartes.\n\n\n+ préparer la slide suivante: remise en cause d’une administration en crise\n
Initiative lancée par le Premier Ministre Jose Socrates en Avril 2005\n\n2.5 millions de cartes en circulation en Avril 2007\n\nRemodelage complet de l’interaction entre le citoyen et l’administration, en mettant le citoyen au centre des interactions.\nOuverture de « supermarchés de l’administration » dans les centres commerciaux.\n\nPoussé par le manque de ressources pour tout gérer de manière indépendante, les Portugais ont trouvé une façon très efficace d’envisager les interactions entre les citoyens et l’administration.\n
Ici encore, motivation de la population malgré le caractère biométrique du fait du grand avantage de la modernisation de l’administration qui avait du mal à offrir tous les services dus.\n\nenfin, ce projet a été réalisé par Gemalto\n\n\n \n
gvt autoritaire: exemple de emirats unis: lancement en 2007, fourni par Gemalto\nen 2008: 98% de la population était équipée.\n\n annonce grille.\n
Il y a besoin d’une fonctionnalité reconue comme avec grande valeur ajoutée pour \n
\n
\n
\n\nPuis: éteindre l’écran et expliquer que les en plus il y a une demande croissante de la part des citoyens \nSmartphnes\nRéseaux socieaux..\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Les utilisateurs ne voient pas l'intérêt de s'équiper sans usages, \nles usages ne se développent pas sans utilisateurs\n\n => le développement ne se fera pas sans l'État\n
Surcoût faible à la CNI\nMais qui possède les données ?\nCrainte de la surveillance\nUn produit crée par l'État peut-il évoluer au rythme des technologies ?\n
\nPas de coût pour l'État\nIdentités multiples et décentralisées\nLe secteur privé se charge de l'innovation et de la création d'une économie\n
\nPas de coût pour l'État\nIdentités multiples et décentralisées\nLe secteur privé se charge de l'innovation et de la création d'une économie\n
Déjà mis en place en Suisse\nSolution préconisée aux États-Unis (NSTIC)\n
\nLa France devrait pousser une stratégie de type IdéNum\nPeut aussi pousser la carte d'identité\n
Fournisseur de service paie aux AC\nPossesseur de la carte paie aux AC\nFournisseur paie IdéNum qui redistribue\n
\n
\n
\n
Héritière de l’ADAE, créée en 1999 pour promouvoir la signature numérique.\n\n
Signature présumée fiable: invention juridique de 2002,\nCréation d’un organisme de certification ausein du SGDN.\n\nJusqu’en 2010, il était impossible de se procurer une telle signature, étant donné qu’aucun prestataire ne fournissait une telle solution.\n