Fin janvier, la ministre wallonne de l’Emploi, Eliane Tillieux a présenté la réforme des aides à l’emploi. Le nouveau système, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2017, est passé d’une quarantaine d’aides à un peu moins de dix.
L’objectif est d’être plus simple et plus efficace. Pas de diminution de moyens, mais une concentration des efforts sur en fonction des secteurs (PME et TPE) et sur trois publics cibles :
• les jeunes de moins de 25 ans,
• les travailleurs âgés à partir de 55 ans,
• les demandeurs d’emploi de plus d’un an.
2. Fin janvier 2016, la ministre wallonne de l’Emploi, Eliane Tillieux, a
présenté la réforme des aides à l’emploi.
Le nouveau système, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2017, est
passé d’une quarantaine d’aides à un peu moins de dix.
5. Les jeunes non qualifiés
(moins de 25 ans, sans CESS et sans
expérience professionnelle)
6. L’employeur pourra désormais bénéficier d’une activation de 500 €
par mois pendant un an, sous forme d’allocation de travail (sans
qu’un stage d’insertion soit nécessaire).
Un dispositif comparable est prévu pour les jeunes qui disposent
d’un CESS, les conditions sont les mêmes, mais un stage d’insertion
de six mois est prévu pour pouvoir bénéficier de cette activation.
8. Ces aides ne seront pas soumises à une autorisation
administrative. Dès que le jeune remplit les conditions, il ouvrira
le droit à l’allocation de travail.
Par ailleurs, le PFI (Plan Formation Insertion) subsiste.
12. Les plus de 55 ans (en activité ou sans emploi) seront
soutenus via une réduction des cotisations patronales
qui sera plus élevée en fonction de la tranche d'âge.
Cette aide à l’emploi est cumulable avec une aide pour
l’activation d’un chômeur de longue durée.
15. Pour les demandeurs d’emploi de longue durée (plus
de 12 mois d'inoccupation), y compris les pour les
jeunes de plus de 25 ans, une aide dégressive pourra
être activée lors de leur engagement.