- Le CNC et le court métrage ;
- Les premiers chiffres de la production cinématographique en 2014 ;
- Le Fonds de soutien cinéma – audiovisuel – multimédia du CNC en 2015 : dossier ;
- Entretien avec Jean-Claude Saurel, président et trésorier de Sauve qui peut le court métrage
Les pratiques de consommation de jeux vidéo des français
La lettre du CNC n°120
1. la lettre du CNC
numéro 120
janvier-février 2015
Le CNC et le court métrage;
Les premiers chiffres de la production cinématographique en 2014;
Le Fonds de soutien cinéma – audiovisuel – multimédia
du CNC en 2015: dossier;
Entretien avec Jean-Claude Saurel
5. page 5 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015
à 5 718 jours. Cette baisse concerne principalement
le nombre de jours de tournage à l’étranger, qui diminue
de 9,2 % à 1 359 jours en 2014. Le nombre de jours
de tournage en France baisse également de 5,3 %
à 4 359 jours.
Marché de la vidéo physique :
retour sur l’année 2014
Recul du marché de la vidéo physique :
-14,0 % en valeur, -12,4 % en volume
En 2014, le chiffre d’affaires des ventes de DVD et de Blu-ray
en France est de 799,01 M€. La dépense des ménages
en vidéo diminue de 14,0 % par rapport à 2013.
Cette évolution tient principalement à la baisse des chiffres
d’affaire du DVD et du Blu-ray :
_ Baisse de 15,6 % du chiffre d’affaires des ventes de DVD
(610,69 M€).
_ Baisse de 8,2% du chiffre d’affaires du Blu-ray
(188,32 M€). Une baisse moins importante que le DVD
qui lui permet de représenter 23,6% du chiffre d’affaires
de la vidéo physique contre 22,1% en 2013.
Les volumes de supports vidéo vendus (DVD et Blu-ray)
ont diminué de 12,4 % par rapport à 2013. 90,24 millions
de supports ont été vendus : 77,16 millions de DVD (-14,2 %
par rapport à 2013) et 13,08 millions de Blu-ray (-0,6 %).
Diminution des recettes des films et du hors film
Le marché de la vidéo physique est dominé par les œuvres
cinématographiques, qui réalisent 479,79 M€, soit 60%
du total. Les recettes des films en vidéo sont en diminution
de 14,4 % par rapport à 2013 et celles du hors film reculent
de 11,4 % à 290,97 M€, soit 36,4 % du marché.
Hausse de la part de marché des films français
Le cinéma français a généré 105,65 M€ de recettes,
en baisse de 4,7 % par rapport à 2013 soit un recul moins
important que l’ensemble du marché. La part de marché
des films français en vidéo est de 22 % en valeur (19,8 %
en 2013).
9,44 millions de DVD et de Blu-ray de films français ont
été vendus en 2014(-10 % par rapport à 2013). Les films
français réalisent 11,3 % du chiffre d’affaires des ventes
de films en Blu-ray.
Recul des ventes de films américains
Le chiffre d’affaires des films américains recule de 12,9 %
(309,95 M€). En valeur, la part de marché des films
américains progresse pour atteindre 64,6 %, (63,5 %
en 2013).
25,81 millions de DVD et de Blu-ray de films américains
ont été achetés en France en 2014, soit 13,2 % de moins
qu’en 2013. Les films américains réalisent 73,2 %
du chiffre d’affaires des ventes de films en Blu-ray.
Précisions méthodologiques
La consommation de vidéo physique est évaluée par
l’institut GfK à partir des ventes réalisées dans les
grandes surfaces alimentaires et les grandes surfaces
spécialisées, de la vente par correspondance et des ventes
sur internet et en librairies. Ces chiffres n’incluent pas
les ventes en kiosques et dans les stations services.
Ils excluent également le marché de la location vidéo.
Les nationalités retenues pour les œuvres
cinématographiques sont celles enregistrées par le CNC.
2014, l’année de tous les succès pour
les programmes français à la télévision
Une progression de tous les genres, des audiences
records pour les films, les documentaires et spectacles
vivants diffusés à la télévision, le rebond de la fiction…
2014 restera l’année où l’ensemble des programmes
français ont confirmé leur capacité d’innovation et l’ambition
de proposer des formats originaux et ambitieux,
réalisant les meilleures audiences au niveau national
tout en réussissant le pari de l’exportation.
Les quatre premières places du palmarès des films sont
occupées par des films français diffusés sur TF1 :
Intouchables (13,9 millions de téléspectateurs et 48,5 %
de part d’audience) précède Bienvenue chez les Ch’tis
(11,5 millions et 41,2 %), les Tuche (8,6 millions et 32,1 %)
et le Prénom (8,0 millions et 30,0 %).
Pour la première fois depuis 2008, la fiction française
occupe trois des cinq premières places des meilleures
audiences de fiction. La série Profilage réalise la meilleure
audience de fiction française en 2014 (8,6 millions
de télespectateurs et 31,2 % de part d’audience) devant
la série Nos chers voisins (8,4 millions et 32,6 %) et l’unitaire
Ce soir, je vais tuer l’assasin de mon fils (8,3 millions et 31,6 %).
La première place du classement des meilleures
audiences de fiction est occupée pour la septième année
consécutive par une série américaine et pour la cinquième
année de suite par Mentalist (10,5 millions et 37,3 %).
Les cinq meilleures audiences des documentaires sont
toutes réalisées par des programmes français ambitieux
et qui par ailleurs ont bien fonctionné à l’international.
Rendez-vous en terre inconnue, diffusé sur France 2,
se situe en première position (6,8 millions de téléspectateurs
et 24,1 % de part d’audience) devant Apocalypse, la Première
Guerre mondiale sur France 2 (6,6 millions et 22,9 %)
et Sacrifice sur TF1 (5,8 millions et 24,3 %).
Les cinq meilleures audiences des spectacles vivants sont
également toutes réalisées par des programmes français.
La pièce de théâtre Cher Trésor, retransmise sur France 2,
se classe en tête du palmarès (5,0 millions de téléspectateurs
et 18,2 % de part d’audience).
Le programme américain Cars Toon, programmé sur M6,
présente la meilleure audience des séries d’animation
(2,3 millions de téléspectateurs et 10,0 % de part d’audience)
devant la série française Silex and the City, diffusée sur
Arte (1,2 million et 4,2 %).
6. page 6 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015page 6 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015
Le fonds de soutien cinéma – audiovisuel – multimédia du CNC en 2015
En 2015, la politique de soutien au cinéma, à l’audiovisuel
et au multimédia s’inscrit dans un double contexte :
_ une diminution de près de 10 % du produit des taxes
affectées au CNC par rapport au budget primitif 2014,
principalement due à un moindre rendement de la taxe
sur les services de télévision (TST), sensible dès la gestion
2014 et qui s’intensifie en 2015. Afin d’amortir l’impact
du recul des ressources fiscales et d’éviter une baisse
trop abrupte des soutiens qui aurait des effets récessifs
sur le secteur, le CNC prélèvera sur son fonds de roulement,
via une mobilisation de sa réserve dite de « solidarité
pluriannuelle ». Cette réserve avait justement été
constituée pour faire face à d’éventuels déséquilibres
liés à des baisses de taxes ou hausses de dépense ;
_ la poursuite des réformes engagées en 2014,
qu’il s’agisse – par exemple – de la modernisation
des soutiens à l’industrie du cinéma à la suite des
propositions du rapport Bonnell et des concertations
menées avec les professionnels dans le cadre
des Assises du cinéma, ou encore de la structuration
de l’offre légale française en matière de services
audiovisuels numériques. Ces réformes s’inscrivent
dans une triple exigence : le soutien à la création et
à la diversité culturelle, le soutien à la compétitivité
de la filière, y compris à l’exportation et le soutien
à l’activité et à l’emploi.
Les recettes du fonds de soutien
En 2015, le produit brut des taxes affectées au fonds
de soutien au cinéma, à l’audiovisuel et au multimédia
géré par le CNC, devrait s’élever à 630,4 M€, en recul
de - 69,5 M€ par rapport au budget primitif 2014
et de - 34,5 M€ par rapport au produit des taxes exécuté
en 2014 (soit - 5,2 %).
Les soutiens au cinéma et à l’audiovisuel sont financés
par trois principales taxes :
_ la taxe sur le prix des places de cinéma (TSA) est estimée
à 134,4 M€ en 2014 ;
_ la taxe sur les services de télévision (TST) : les prévisions
de recettes s’établissent à 475 M€, dont 274 M€ au titre
des éditeurs et 201 M€ au titre des distributeurs de services
de télévision ;
_ la taxe sur la vidéo et la vidéo à la demande est estimée
à 21 M€.
Les autres recettes diverses affectées au fonds de soutien
(prélèvements spéciaux sur la diffusion de films
pornographiques ou d’incitation à la violence, sanctions
pécuniaires prononcées par le CSA…) sont évaluées
à 0,05 M€.
Par ailleurs, le CNC mobilisera en 2015 la réserve
de solidarité pluriannuelle à hauteur de 33 M€.
Les dépenses de soutien
Au total, le produit des taxes net de frais de gestion
et la mobilisation de la réserve de solidarité pluriannuelle
permettront d’assurer le financement de 628,7 M€
de soutiens, auxquels s’ajoutent les investissements
du plan numérique financés par la réserve numérique.
Le taux de frais de gestion (qui financent le fonctionnement
du CNC) sur le produit des taxes représente 5,5 % en 2015.
Les priorités 2015 sont :
_ le financement des mesures « Assises du cinéma »,
concernant principalement l’amélioration de la transparence
économique de la filière, la maîtrise des coûts et
le renforcement des capacités d’investissement des
producteurs et distributeurs grâce notamment
à la modification du barème des soutiens automatiques
à la production et à la distribution ;
_ le renforcement du soutien à la vidéo à la demande (VàD)
à la fois par la mise en œuvre d’un soutien automatique
(avec effet rétroactif sur le chiffre d’affaires des plateformes
réalisé en 2014) et par le renforcement des aides sélectives
à la VàD, afin de mieux aider les projets les plus ambitieux
en matière d’exigence éditoriale et de diversité culturelle ;
_ la mise en œuvre de la réforme au documentaire
audiovisuel, visant à mieux financer les œuvres les plus
ambitieuses et créatives et à encourager notamment
le développement des documentaires scientifiques
et historiques ;
_ la poursuite du plan exceptionnel d’investissement
en faveur du numérique. En 2015, les dépenses nouvelles
dans le cadre du plan numérique (19,4 M€) seront
financées pour l’essentiel par la mobilisation de la réserve
numérique et, à hauteur de 7,4 M€, par des ressources
fiscales. Ces crédits sont notamment destinés
à la numérisation et à la modernisation des salles dans
les DOM, à la numérisation des œuvres du patrimoine
cinématographique ou encore à couvrir les dépenses
pérennes liées à la restauration et à la conservation des
œuvres par les archives françaises du film et de poursuivre
l’inventaire des films.
La plupart des mesures se rapportant à ces priorités
2015 figurent dans le règlement général des aides
(RGA), adopté par le conseil d’administration du CNC
le 27 novembre 2014 et qui entre en vigueur début 2015.
Le RGA rassemble pour la première fois en un seul
document le régime juridique des aides financières
mises en œuvre par le CNC.
En 2015, 387,9 M€ (61 % du total des soutiens) sont
consacrés aux aides automatiques. Les soutiens sélectifs
hors plan numérique (37 % du total des soutiens) sont
dotés de 233,4 M€.
7. page 7 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015page 7 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015
Fonds de soutien cinéma – audiovisuel – multimédia du CNC en 2015
Taxes
2015
Soutiens
2015
628,7 M€
Cinéma
284,61 M€
Aides automatiques
177,01 M€
Soutiens sélectifs
107,61 M€
Production
78,41 M€
Numérisation
des salles
3,42 M€
Distribution
32,89 M€
Exploitation
65,71 M€
Numérisation
des œuvres
10,05 M€
Diffusion
et conservation
numériques
5,92 M€
Taxe vidéo et VàD
21 ME
Autres
0,05 ME
Réserve
de solidarité pluriannuelle
33 M€
Produit des taxes 2015 (net de FG)
595,7 M€
Frais de gestion
34,7 M €
TSA
134,4 ME
Taxe éditeurs
et distributeurs TV
475 ME
Production et création
48,33 M€
Distribution
10,1 M€
Exploitation
22,84 M€
Diffusion du cinéma
26,34 M€
Plan numérique
19,39 M€ *
(* dont 7,41 M€
issus du produit
des taxes 2015)
Audiovisuel
254,63 M€
Soutiens sélectifs
à la production
et à la création
audiovisuelle
50,23 M€
Aides automatiques
à la production
audiovisuelle
204,4 M€
Dispositifs
transversaux
82,02 M€
Aides automatiques
à la vidéo et à la VàD
6,5 M€
Soutiens sélectifs
75,58 M€
Industries techniques
6,07 M€
Vidéo et VàD
7,62 M€
Innovation
et jeu vidéo
7,8 M€
Promotion/exportation
23,89 M€
Autres soutiens
30,21 M€
(dont Fonds régionaux :
14 M€)
10. page 10 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015
le court métrage
en 2013
production et diffusion
les études du CNC
février 2015
Le court métrage en 2013
Pour la cinquième année consécutive, le CNC a réalisé,
à l’occasion du Festival international du court métrage
de Clermont-Ferrand, une étude approfondie sur
le court métrage en France. Cette étude tente de répondre
aux questions suivantes. Quelle est la nature des
courts métrages produits? Comment se financent les
courts métrages? De quelles diffusions bénéficient-ils?
Ainsi, la production des œuvres de court métrage fait l’objet
d’une analyse approfondie, tout comme le financement de
ces films. Elle met également en lumière les caractéristiques
spécifiques de la diffusion de ces œuvres en salles
de cinéma, à la télévision et à l’exportation. Elle dresse,
enfin, un bilan de l’ensemble des aides du CNC au secteur
du court métrage.
De la fiction à l’animation, en passant par le documentaire
ou le film expérimental, le film court, dont la durée
se limite en France à 60 minutes, englobe une grande
diversité de genres et de modes d’expression.
Environ 550 films français de court métrage reçoivent
un visa d’exploitation en salles chaque année.
Cette étude analyse les mécanismes financiers qui
permettent la production d’une majorité des films
de court métrage.
Non exhaustive, elle a néanmoins vocation, comme c’est
le cas dans cette cinquième édition, à s’enrichir au fil
des années pour apporter une visibilité plus complète
des actions de tous ceux qui contribuent à créer, soutenir
et promouvoir le court métrage.
www.cnc.fr, février 2015
Les nouveaux usages audiovisuels
À l’occasion de la table ronde sur les «Nouvelles
technologies, nouveaux usages», que le CNC a organisée
le 16 décembre 2014 à la Fémis, une étude a été publiée
sur les nouveaux usages audiovisuels.
Les écrans audiovisuels se sont multipliés dans les foyers
français. En 2013, un foyer français est équipé en moyenne
de 6,5 écrans, contre 5,3 écrans en 2007. La taille des
écrans TV vendus en France a augmenté, passant de 65 cm
en 2006 à 88 cm en 2013. En moins de deux décennies,
le téléviseur à tube cathodique a cédé la place aux écrans
numériques connectables à internet: écran plat
haute-définition, ordinateur fixe et portable, tablette,
ordiphone. Les écrans individuels se sont déployés
en parallèle à l’écran collectif.
97% des foyers français possèdent au moins un téléviseur.
Ce chiffre est stable depuis plusieurs années. En revanche,
les autres équipements audiovisuels se sont rapidement
développés au cours des dix dernières années. En 2014,
89% des Français sont équipés d’un téléphone mobile
(contre 62% en 2003), 82% d’un ordinateur (contre 48%
en 2003) et d’internet (contre 31% en 2003), 46%
d’un ordiphone et 29% d’une tablette (ces deux derniers
supports étant apparus en 2009/2010).
Le secteur audiovisuel (télévision et vidéo) connaît
une révolution avec internet. Internet permet en effet
le développement de nouveaux services audiovisuels
connectés qui modifient l’écosystème traditionnel
et les modes de consommation: la télévision se modernise
avec les services de TV de rattrapage et la TV sociale,
la VàD et la VàDA marquent la dématérialisation du marché
de la vidéo, le magnétoscope se transforme en devenant
numérique (PVR) et virtuel (n-PVR), enfin de nouveaux
acteurs entrent sur le marché relativement fermé
de l’audiovisuel (plates-formes OTT et UGC).
www.cnc.fr, décembre 2014
L’économie de la télévision
Dans le cadre de sa mission de diffusion d’une information
économique et statistique sur le secteur de l’audiovisuel,
le CNC publie pour la quatrième fois une étude sur
l’économie de la télévision française. Cette étude présente
l’évolution des sources de financement des chaînes,
de la consommation télévisuelle des Français, de l’offre
de programmes des chaînes et de leurs investissements
dans la production audiovisuelle et cinématographique
sur la période 2004-2013.
En 2013, les revenus des chaînes de télévision sont estimés
à 9,2Md€ en tenant compte des financements publics,
des recettes publicitaires et des abonnements aux chaînes
payantes. Le marché de la télévision recule de 2,2% par
rapport à 2012. Il est notamment affecté par la stagnation
de l’économie et de la consommation des ménages.
Le secteur affiche une croissance de 13,7% par rapport
à 2004. En revanche, en euros constants, les revenus
du secteur sont en recul de 1,3% en dix ans. En 2013, les
abonnements représentent 35,0% des recettes des chaînes
de télévision, la publicité 35,0% et les financements
publics 30,0%. La croissance des revenus publicitaires
de la TV de rattrapage ne permet pas pour le moment
de compenser la baisse des recettes publicitaires des
chaînes.
Les chaînes investissent 1,2Md€ dans le financement
de la production audiovisuelle et cinématographique.
En 2013, l’investissement des chaînes de télévision dans
la production audiovisuelle aidée par le CNC s’établit
à 862,6M€ (+35,0% par rapport à 2004). En 2013, l’apport
des chaînes de télévision dans le financement des films
agréés s’établit à 291,8M€ (-3,1% par rapport à 2004).
www.cnc.fr, décembre 2014
les publications
11. page 11 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015page 11 — la lettre du CNC numéro 120, janvier-février 2015
Limite de dépôt des dossiers
7 février au 2 avril
Commission du compte de soutien à l’industrie
des programmes (COSIP)
16 février
Avance sur recettes avant réalisation (1er
collège)
23 février
Soutien au scénario – aide à la conception
25 février au 8 mars
Aide aux cinémas du monde
5 et 19 mars
Agrément des films de long métrage
6 mars
Aide sélective à la numérisation des œuvres
cinématographiques du patrimoine
9 mars
Aide sélective à la distribution de films
pour le jeune public
12 mars
Aide à la préparation de spectacle vivant
16 mars
Aide sélective aux vidéomusiques
1er
avril
Fonds d’aide à l’innovation audiovisuelle
Documentaire, aide à l’écriture
7 avril
Soutien au scénario, aide à l’écriture 2e
collège
8 avril
Soutien au scénario, aide à l’écriture 1er
collège
8 avril
Appel à projets aide à la coproduction d’œuvres
cinématographiques franco-grecques
l’agenda du Centre
Événements
20 février
40e
Cérémonie des César – Paris
22 février
87e
Cérémonie des Oscars – Los Angeles
27 février au 7 mars
35e
Festival international du film – Fantasporto - Porto
(Portugal)
4 au 6 mars
Cartoon Movie – Lyon
6 au 15 mars
19e
Rendez-vous with French Cinema – New York
18 au 28 mars
New Directors New Films – New York
19 au 29 mars
27e
Rencontres Cinémas d’Amérique Latine – Toulouse
19 au 29 mars
Cinéma du réel – Festival international de cinéma
documentaire – Paris (Centre Pompidou)
22 au 24 mars
Le printemps du cinéma
23 mars au 6 avril
Festival international de Hong Kong
5 au 20 avril
Festival du Film d’Istanbul
7 au 21 avril
13e
Festival international du film des droits de l’homme
9 au 22 avril
CPH PIX – Copenhague
15 au 26 avril
Festival du film de Tribeca – New York
13 au 16 avril
MIP TV – Cannes
12. la lettre du CNC
numéro 120
janvier-février 2015
une publication du Centre national
du cinéma et de l’image animée
12 rue de Lübeck
75784 Paris Cedex 16
Tél. 01 44 34 34 40 / Fax 01 44 34 34 73
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directrice de la publication
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coordination générale
Julien Ezanno
coordination adjointe
secrétaire de rédaction
Ariane Nouvet
comité de rédaction
Nicolas Besson, Benoit Danard, Alice Landrieu, Jean-Paul Clergeau,
Lionel de Sousa, Steeve Desgagné, Hugo Dessaigne,
Marion Gollety, Aurore Jenkins, Éric Le Roy, Sabrina Mihoubi, Laurent Bismuth,
Catherine Merlhiot, Ariane Nouvet, Laurence Peyré, Lauriane Villate
ont participé à ce numéro
Patricia Belluire, Thomas Chartier, Morad Kertobi,
Pierre-Emmanuel Lecerf, Valentine Roulet
conception graphique
Anaïs Lancrenon & Julien Lelièvre
Impression
Bialec, Nancy
Dépôt légal à parution ISSN: 1762-4789
Reproduction autorisée avec mention d’origine