S4 revue de presse kylia - semaine du 20 au 26 janvier 2020
Revue de presse kylia semaine du 7 au 12 avril 2014
1. La revue de Presse KYLIA
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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 7 au 12 avril 2014
LES ARTICLES DE LA SEMAINE
Energie : 72% ménages baissent la
température chez eux pour payer moins
Le 14/4/2014
38 % des Français souhaitent investir dans des travaux de rénovation énergétique, selon le
ministère du Développement durable.
Energie : 72% ménages baissent la température chez eux pour baisser leurs factures (c) Sipa
Dépenser moins d'énergie est un impératif pour de nombreux Français. Selon le bilan "Opinions et
pratiques environnementales des Français en 2013" publié par le Commissariat général au
développement durable (CGDD), auprès du ministère du Développement durable, 38 % des Français
souhaitent investir dans des travaux de rénovation énergétique, soit 5 points de moins qu'en 2008,
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mais 1 point de plus qu'en 2012. Assez logique quand un tiers des ménages français estiment que
leur logement est insuffisamment isolé.
Face à la hausse des prix de l'énergie, les ménages adoptent différentes stratégies pour réduire leur
consommation : 72 % baissent de plus en plus la température de leur logement, soit une hausse de 5
points par rapport à 2009), et 62 % éteignent les appareils en veille (soit une baisse de 13 points par
rapport à 2009). "Dans un contexte marqué par le renchérissement du coût de l'énergie, les ménages
semblent concentrer leurs efforts sur les équipements les plus énergivores, au détriment d'autres
pratiques sobres en énergie dont les gains potentiels sont plus difficile à estimer pour les particuliers",
précise le CGDD.
La rénovation énergétique des logements est une des pièces centrales du dispositif de la transition
énergétique lancé par le gouvernement, avec un cap donné de 500.000 rénovations annuelles d'ici à
2017. Le bâtiment est en première ligne car il émet près du quart des émissions de gaz à effet de
serre et représente plus de 40 % de la consommation d'énergie.
Source : LeNouvelObs.com
3. La revue de Presse KYLIA
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Faire construire sa maison: attention au risque
de faillite des entrepreneurs
Le 7/4/2014
Une étude parue ce lundi fait le point sur les difficultés rencontrées par les particuliers qui font
construire leur maison, pointant notamment les faillites d'entrepreneurs. Ce qu'il faut savoir
pour que le projet d'une vie ne vire pas à la galère.
Les ménages qui se font construire une maison individuelle sont de plus en plus âgés et souvent déjà
propriétaires.
Hantise des particuliers qui font construire une maison, le dépôt de bilan de l'entrepreneur en cours de
chantier peut avoir pour eux de graves conséquences financières, avertit une étude de la CLCV
(Consommation, logement et cadre de vie), une association de consommateurs, publiée ce lundi.
Parmi les causes des litiges les plus fréquents en 2013: les malfaçons (50% des litiges), les cas de
non conformité (21%), le dépôt de bilan (14%), les retards de livraison (9%), et enfin l'absence de
levée des réserves (6%). "Mais même si le taux statistique (des faillites, ndlr) peut sembler faible, le
préjudice, lui, peut être énorme: le particulier n'a parfois aucun recours et peut tout perdre", rapporte
David Rodrigues, juriste de la CLVC.
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Les points à vérifier avant de signer
"Lorsque l'on se fait bâtir une maison, il faut vérifier que le constructeur a bien souscrit différentes
assurances, la garantie de livraison et la garantie décennale: il faut que cela soit stipulé dans le
contrat, avec les coordonnées de la décennale", poursuit David Rodrigues. Il ne faut pas hésiter à
demander au professionnel de fournir des attestations de ces assurances.
De même il ne faut pas se contenter du bouche-à-oreille pour évaluer les compétences ou la santé
d'une entreprise, mais se renseigner auprès du Tribunal de commerce. Sur le site www.infogreffe.fr, le
particulier a accès à une "photographie de la solidité financière" de l'entrepreneur auquel il s'apprête à
confier ses travaux. "Même si certaines informations sont payantes, mieux vaut débourser quelques
dizaines d'euros, que d'en perdre des milliers", fait valoir le juriste de CLCV.
En cas de faillite de l'entrepreneur au beau milieu de la construction, lorsque ce dernier est
correctement assuré, c'est alors le garant qui prendra en charge la poursuite du chantier et les
éventuels dépassements de coûts en résultant.
Souscrire une assurance dommage-ouvrage
Malheureusement, la garantie de livraison ne concerne pas tous les travaux, note la CLCV: "pour des
opérations plus petites, le consommateur devient un simple créancier qui devra se rapprocher de la
personne chargée de la liquidation judiciaire pour faire inscrire ses droits". "Autant dire qu'il ne sera
jamais remboursé, puisqu'il passe après les créanciers prioritaires que constituent les salariés et
l'Etat", dit l'association de défense des consommateurs.
"La situation est moins grave lorsque la faillite a lieu après la réception des travaux. En effet, le
consommateur pourra saisir sa garantie dommage-ouvrage en réparation des désordres constatés",
dit la CLCV. "Il pourra également se rapprocher de la garantie décennale du professionnel et
demander à être indemnisé directement", une procédure toutefois "plus complexe".
L'association conseille ainsi aux particuliers de souscrire une assurance dommage-ouvrage lorsqu'ils
font réaliser des travaux, ce qu'ils évitent souvent, par mesure d'économie. Elle préconise aussi de
"conserver tous les papiers, contrats et attestations d'assurance pendant au moins dix ans".
Source : L’Expansion.fr
5. La revue de Presse KYLIA
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Immobilier: à peine 7% des Français pensent
vendre dans l'année
Le 7/4/2014
D'après un sondage Ipsos, la baisse attendue du marché de l'immobilier tarde à se concrétiser.
Les acheteurs sont attentistes et les vendeurs ne cèdent leurs biens que s'ils y sont obligés.
Le marché immobilisé est actuellement en panne (MYCHELE DANIAU/AFP)
La baisse attendue du marché de l'immobiliser tarde à se concrétiser, entre des acheteurs attentistes
et des vendeurs qui ne cèdent leurs biens que s'ils y sont contraints, indique un sondage Ipsos publié
lundi.
Seulement 10% des Français "projettent d'acheter un bien immobilier dans l'année" et encore moins
(7%) de vendre, révèle le sondage réalisé pour le réseau d'agences immobilières Orpi.
Des résultats semblables à ceux publiés en septembre par le même institut qui "confirment que le
marché n'est pas encore prêt à évoluer : la baisse des prix est encore jugée insuffisante, laissant ainsi
des acheteurs sans motivation et résignant par là même les vendeurs", explique le président d'Orpi,
Bernard Cadeau.
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A la fin du premier trimestre, "force est de constater que la baisse des prix n'a véritablement rien de
concret sur le terrain", a-t-il constaté.
29% des vendeurs se résignent à revoir leur prix à la baisse
Une écrasante majorité de Français (78%) déclare qu'elle n'a pas l'intention de vendre un bien
immobilier et plus de la moitié (58%) n'a pas non plus envie d'acheter, indique le sondage, qui
constate que le marché reste "grippé" par ce problème "d'équilibre entre l'offre et la demande".
Selon le patron d'Orpi, "l'acheteur aimerait des prix plus justes, plus en lien avec ses capacités
financières et le vendeur, au travers d'une analyse erronée du marché, continue de croire que son
bien se vendra à un prix rêvé!".
Quant aux vendeurs, qui ne prévoient pas de retarder leur projet, ils admettent "avant tout à 45%
qu'ils n'ont pas le choix de vendre leur bien, à 29% qu'ils se sont résignés et acceptent de revoir les
prix à la baisse et seulement à 26% qu'ils ont peur que les prix continuent de baisser".
Le sondage a été réalisé en ligne du 22 au 26 mars auprès de 2.005 personnes constituant un
échantillon représentatif de la population française âgée de 16 ans et plus.
Source : Challenges.fr
7. La revue de Presse KYLIA
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Un tiers des Français consacre plus de la
moitié de son revenu à son logement
Le 8/4/2014
Selon une enquête Ipsos pour le site SeLoger.com, un Français sur trois consacre la moitié
des revenus mensuels de son foyer ou davantage, à son logement, toutes charges comprises.
Avec ce projet, Grenoble "se plaît à imaginer une nouvelle façon de vivre la ville post-carbone, la ville
du futur", a déclaré le député-maire de Grenoble Michel Destot. Valode & Pistre Architectes
Un Français sur trois consacre la moitié des revenus mensuels de son foyer ou davantage, à son
logement, toutes charges comprises, une proportion en hausse ces quatre dernières années, selon
une enquête Ipsos pour le site SeLoger.com publiée mardi 8 avril.
Interrogées sur la proportion des revenus de leur foyer consacrée à leur logement principal - à savoir
le loyer ou le remboursement d'un emprunt, mais aussi les charges, taxes, les frais d'entretien, les
factures d'eau, de gaz, etc... - 33% des personnes sondées ont répondu "50% et plus", selon cette
enquête.
Lors de la première édition de cette enquête biennale, en 2010, les Français interrogés n'étaient que
26% à consacrer plus de la moitié de leurs revenus mensuels au logement. Deux ans plus tard, la
proportion était montée à 30%.
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De leur côté 41% des Français interrogés ont indiqué consacrer "entre 25% et 49%" des revenus
mensuels de leur foyer au logement, tandis que pour 26% d'entre eux, c'est moins de 25%. Il y a
quatre ans, ils étaient respectivement 45% et 29%.
Cette enquête sur "Les Français et le logement" a été réalisée sur internet du 20 au 25 février, auprès
d'un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française.
Source : Challenges.fr
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Règle 1 : sélectionnez des artisans disposant des bonnes garanties
Pour mettre en avant leurs compétences, les artisans se bardent de labels et autres qualifications
(Qualibat, Qualifelec…). Censés garantir le professionnalisme, ils ne sont toutefois pas des
assurances tout risque contre les dérapages sur les chantiers.
Pour faire le tri parmi la kyrielle de professionnels du marché, commencez par exiger leurs
attestations d'assurance. Deux sont essentielles : la responsabilité civile professionnelle, ainsi que
l’assurance décennale engageant la responsabilité des professionnels contre d’éventuelles malfaçons
dix après l’achèvement des travaux.
Pensez aussi à vérifier les comptes de la société convoités sur Infogreffe ou societe.com. Idéalement
prenez enfin un peu de temps pour visiter un ou plusieurs chantiers déjà réalisés en présence des
clients afin de les interroger sur le bon déroulement des travaux.
Règle 2 : Pensez à souscrire une assurance dommage ouvrage
Une écrasante majorité de particuliers font l’impasse sur l’assurance dommage-ouvrage, préférant
s’appuyer sur les assurances décennales des différents artisans embauchés sur le chantier. C'est une
erreur. Certes, l’assurance dommage-ouvrage alourdit le coût du chantier (les primes s’échelonnent
entre 2 et 5% du montant des travaux).
Mais faire l’économie de ce contrat n’est pas un bon calcul. En cas de litiges, vous risquez en effet
d’avoir à faire face à de longues procédures judiciaires : les assurances décennales respectives de
l’architecte et des différents artisans ayant travaillé sur le chantier chercheront inévitablement à se
rejeter la faute. Et plus le nombre d’intervenants est important, plus l’affaire risque de tourner au
casse-tête.
En souscrivant une assurance dommage-ouvrage, vous serez indemnisé de vos éventuels préjudices
(malfaçon…) en dehors de toute recherche de responsabilité des différents intervenants sur le
chantier.
Encore faut-il réussir à en souscrire une. Refroidies par le nombre de sinistres déclarés, de plus en
plus de compagnies d’assurance se désengagent du secteur. D’autant que les dossiers sont
complexes à monter. Pour vous épauler dans vos recherches, sachez que SMA-BTP… assure entre
autre ce type de couverture.
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Règle 3 : Restez vigilant à la réception des travaux
La réception des travaux est une étape fondamentale : il s’agit en effet de l’acte par lequel vous allez
accepter l’ouvrage avec ou sans réserves. Pour ce faire, un procès verbal de réception doit être signé
entre les deux parties : tous les désordres constatés et les délais dans lesquels ils devront être
réparés y sont détaillés… Attention, car certains défauts sont a priori difficile à déceler : pour ne rien
manquer, munissez-vous donc de tous les documents techniques (plans, devis, avenants…) afin de
vérifier la conformité de l’ouvrage.
Selon la loi, le professionnel doit prendre en compte vos « réserves » et entreprendre les réparations,
dans un délai de 12 mois. S’il se montre réticent, sachez qu’il est possible de consigner le solde des
travaux (5% du coût total) restant à payer auprès d’un organisme financier agréé, comme la Caisse
des dépôts et consignations.
Source : Challenges.fr
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Locations meublées : les nouvelles règles
auxquelles doivent se plier les bailleurs
Le 10/4/2014
La nouvelle loi sur le logement, votée fin mars, serre la vis aux meublés. Alors qu’ils cumulaient
jusqu’ici les avantages, ces contrats de location vont devenir, au fil des mois et de la publication des
décrets, plus contraignants pour les bailleurs.
> Un mobilier enfin encadré par la loi
Un décret, attendu courant 2014, fixera dans le marbre les équipements que les bailleurs sont tenus
de fournir à leurs locataires. "Ce texte devrait notamment confirmer la jurisprudence de ces dernières
années", observe David Rodrigues, juriste à l’association de consommateur CLCV. Figureront
probablement dans ce listing : équipements d’électroménager, vaisselle, table, chaises, canapés,
lits…
> Des dépôts de garantie limités à 2 mois de loyers
Depuis l’entrée en vigueur de la loi le 27 mars dernier, les bailleurs ne peuvent plus exiger plus de
deux mois de loyers de garantie à leurs locataires entrants. Certes, ce régime reste plus rigide que
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celui des locations nues pour lesquelles le dépôt de garantie est limité à un mois de loyer. Mais il
limitera les éventuels abus : jusqu’ici, aucune règle ne s’appliquait aux locations meublées concernant
le dépôt de garantie.
> Ruptures de baux à motiver pour les propriétaires
Depuis la promulgation de la loi, certaines règles n’ont pas bougé : tout locataire désirant donner
congé à son bailleur doit toujours s’en tenir à un préavis d’un mois. De son côté, le propriétaire
souhaitant reprendre son logement doit, comme auparavant, en informer son locataire trois mois
avant la fin du bail. Statu quo donc… "à ceci prêt que le propriétaire ne peut désormais rompre le bail
que dans des cas précis : s’il reprend le logement pour lui-même, pour son conjoint, pour ses
ascendants ou descendants", explique David Rodrigues de la CLCV. Autant de règles qui prévalent
déjà pour les locations vides.
> Des loyers désormais encadrés
Alors que les meublés avaient échappé au décret de 2012 limitant les revalorisations des nouvelles
locations à l’indice de référence des loyers, ces baux spécifiques tombent désormais sous le coup de
l’encadrement des loyers prévu par la nouvelle loi Duflot.
Comme pour les locations classiques, les préfets fixeront chaque année par arrêté un loyer de
référence (ainsi qu’un loyer de référence majoré et un autre minoré) par quartier et par type de biens
meublés au sein des 28 agglomérations concernées par le dispositif. En pratique, leurs montants
devraient toutefois être 10 à 20% supérieurs à ceux des locations nues, de manière à tenir compte du
caractère meublé du logement. Ce dispositif doit entrer progressivement en vigueur à compter de
l’automne.
> Les travaux imputables aux locataires réglementés
Jusqu’à présent, les bailleurs en meublé étaient libres de facturer tout ou partie du montant des
travaux à leurs locataires. Ce ne sera désormais plus possible. "La loi Alur limite aux menues
réparations - changement de joints, remplacement des interrupteurs… - et à l’entretien courant la
facturation imputable aux locataires", explique David Rodrigues. Comme c'est là encore déjà le cas
pour les locations classiques...
Source : Capital.fr
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Copropriété : que change la nouvelle loi pour
les vendeurs ?
Le 12/4/2014
La loi ALUR (accès au logement et urbanisme rénové) impose de nouvelles obligations
d’information pour les vendeurs d’un bien immobilier en copropriété. De nouveaux documents
doivent ainsi être joints à la promesse de vente, afin de mieux informer l’acheteur potentiel sur
l’état de la copropriété.
Il s’agit notamment de la fiche synthétique de la copropriété, du règlement de copropriété, des procès-
verbaux des assemblées générales des trois dernières années, du montant des charges courantes du
budget prévisionnel, de l’état global des impayés de charges au sein du syndicat et de la dette vis-à-
vis des fournisseurs, du carnet d’entretien de l’immeuble, d’une attestation comportant la mention de
la superficie de la partie privative et de la surface habitable…
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MIEUX VAUT NE RIEN OUBLIER
La liste est longue. Et mieux vaut ne pas en oublier, car le délai de rétractation ou de réflexion (de
sept jours) ne débute qu’à compter du lendemain de la communication de ces documents à
l’acquéreur.
Rappelons, en effet, que la faculté de réflexion ou de rétractation permet à un acheteur potentiel de
renoncer à son projet sans subir la moindre pénalité financière. Jusqu’à cette date, le vendeur ne sera
donc pas certain que la promesse de vente aille jusqu’au bout et il ne pourra réclamer aucune
indemnité à ce titre.
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A propos de Kylia
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle
Génération : Le 1
er
réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.
Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses
agents immobiliers.
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18