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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 21 au 27 juillet 2014
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
La villa de l’auteur de Pinocchio à vendre pour
19 millions d’euros
Le 24/7/2014
Le jardin de la villa Garzoni en Toscane rivalise de beauté avec les parcs les plus célèbres
d’Europe.
C’est là que le célèbre auteur des aventures de Pinocchio a passé son enfance et décida de créer le
chef-d’œuvre qui le rendit célèbre. La villa Garzoni en Toscane, aussi appelée « villa Pinocchio » ou «
La revue de Presse KYLIA
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villa aux cent fenêtres » est à vendre pour 19 millions d’euros par l’agence d’immobilier de luxe
italienne Lionard Luxury Real Estate .
Construite dans le milieu des années 1600 sur les fondations d’une forteresse médiévale, cette villa
de 3.032 mètres carrés compte 40 chambres et se dresse sur quatre étages. Les intérieurs luxuriants
sont décorés de stucs avec de belles finitions Rococo, de fresques et peintures baroques, dont
certaines du célèbre peintre Angelo Michele Colonna (17ème).
Labyrinthes, jeux d’eau, statues baroques
Mais c’est avant tout le jardin qui fait l’intérêt de la propriété. Avec ses labyrinthes, jeux d’eau, son
pavillon d’été et ses escaliers et statues allégoriques baroques de toutes sortes, le parc rivalise avec
les plus connus d’Italie (La villa d’Este, le parc florentin de Boboli, Reggia di Caserta), mais également
d’Europe (Celui du château de Versailles, de Fontainebleau ou de Schonnbrunn à Vienne). Ouvert à
la visite, il fut créé dans les années 1650 par l’architecte Ottaviano Diodati. Il fut ensuite complété et
amélioré au fil des générations suivantes. En 2007, lui a même été rajouté une volière où vivent
toujours des centaines de papillons tropicaux et équatoriaux.
Cette propriété féerique se situe en Toscane, à mi-chemin entre Florence et Pise, dans un petit
hameau médiéval du XIIe siècle du nom de Collodi. Ce village est surtout célèbre pour avoir donné
son pseudonyme à l’auteur de Pinocchio. Carlo Lorenzini, dit « Carlo Collodi » voulut ainsi rendre
hommage à sa mère, native de cet endroit. Les jardins de la « villa Pinocchio » étant ouvert à la visite,
le village tout entier bénéficie de son attractivité touristique.
Source : LesEchos.fr
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Devenir propriétaire au Pays basque reste un
rêve inaccessible pour beaucoup
Le 25/7/2014
Sur la côte basque, la plupart des acheteurs de résidences secondaires sont des seniors parisiens à
la recherche d'une maison de vacances, qu'ils pourront transformer en résidence principale pour leurs
vieux jours. L'âge moyen des acquéreurs, qui ne cesse d'augmenter, dépasse la cinquantaine.
Les acheteurs étrangers (essentiellement britanniques et espagnols) ont déserté la région
depuis plusieurs années et rien ne laisse supposer qu'ils reviendront, le Pays basque n'étant
pas la Côte d'Azur.
Est-ce le moment de faire des affaires au Pays basque ? Pour l'instant, à moins d'être à l'affût d'un
propriétaire contraint de vendre pour des raisons familiales, les opportunités sont rares dans la région,
même si, paradoxalement, le stock de biens à vendre a augmenté et les délais de vente se sont
allongés. Car les prix ont relativement peu baissé et les vendeurs se montrent patients, surtout sur le
littoral.
« Les acheteurs sont aussi nettement plus exigeants. Ils n'hésitent pas à visiter des dizaines de biens
pour comparer. Ceux avec des défauts majeurs reçoivent très peu de visites », déclare Jean-François
Biscayart, qui dirige deux agences du réseau Guy Hoquet, à Capbreton et à Labenne.
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Si les prix ont baissé de 10 % à 20 % par rapport à 2011 au Pays basque, ils restent élevés, en
particulier dans les villes les plus prisées. A Biarritz, à Anglet, à Saint-Jean-de-Luz, à Bidart ou à
Guéthary, il est inutile d'espérer acheter un studio bien placé – c'est-à-dire proche des plages et des
commerces avec vue sur la mer –, pour moins de 130 000 euros.
Toujours avec une belle vue, le prix d'un appartement de 50 mètres carrés tourne autour de 300 000
euros, celui d'un 120 mètres carrés oscille entre 450 000 et 500 000 euros. « Beaucoup de retraités
arrivent de partout en France et recherchent le même type de bien : un appartement de trois
chambres en front de mer, si possible avec une terrasse et un garage. Jusqu'à 12 000 euros le mètre
carré, ces biens partent en quelques semaines », confie Isabelle de Langeron, représentante du
réseau Coldwell Banker DP&P Consulting.
L'écart de prix avec un bien sans perspective sur l'océan fluctue entre 20 % et 30 % car il n'y a plus de
place pour construire sur le littoral. Pour ceux qui jugent ces tarifs prohibitifs, plusieurs tactiques sont
possibles. « Lorsqu'on s'éloigne de l'océan, les prix baissent rapidement, poursuit M
me
de Langeron.
D'une fourchette de 4 000 à 6 000 euros à Biarritz ou à Saint-Jean-de-Luz, on tombe à 3 000 euros le
mètre carré quand on s'enfonce de 20 minutes dans les terres. »
Bayonne peut constituer une alternative intéressante. Moins bourgeoise, moins touristique, mais aussi
moins animée le soir, les bords de l'Adour ne manquent pas de charme pour des retraités. « Les prix y
sont 20 % à 30 % plus doux », précise Anne Darrieux-Juson, qui vient d'ouvrir une agence ERA à
Bayonne.
L'autre option consiste à prospecter vers le nord, dans les Landes, où les baisses de prix sont plus
marquées. Par exemple, un studio situé sur la plage centrale de Capbreton, proposé à 112 000 euros
en décembre, vient de trouver preneur à 99 700 euros. De même, une petite maison de 40 mètres
carrés avec deux chambres sur le port proposée à 180 000 euros en 2013 est partie à 161 000 euros.
« Il y a peu d'acheteurs à Capbreton, l'attentisme y est général », reconnaît M. Biscayart.
BUDGETS SERRÉS
Autre stratégie possible pour les budgets serrés : prospecter en périphérie des villes les plus prisées
ou dans l'arrière-pays, où l'on peut trouver des appartements défraîchis dans de grands ensembles
sans charmes des années 1960 ou 1970 aux alentours de 2 500 euros le mètre carré. « Le bâti a
vieilli, certes, mais ces biens ont généralement été entretenus car les copropriétés fonctionnent bien
», glisse M. Poulou, président de la Fnaim du Pays basque.
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« Dans ces grands ensembles, il est possible de trouver un T2 pour 130 000 euros et un T4 pour 400
000 euros », confirme Jean-Paul Sainsevin, qui possède deux agences du réseau ERA, à Anglet et à
Hasparren. Pour les petites surfaces, l'autre facteur à prendre en compte est la disparition des
investisseurs. « Le dispositif de défiscalisation Duflot est un échec, alors que le Scellier avait bien
marché au Pays basque. Autour de 3 % par an, les perspectives de rentabilité sont trop faibles et il y a
très peu d'offre dans le neuf », explique Vincent Poulou, président de la Fnaim du Pays basque.
Une exception néanmoins : ceux qui achètent pour louer l'été pendant 8 à 10 semaines peuvent
obtenir une rentabilité brute d'environ 3 % et jouir de leur bien le reste de l'année. Une stratégie
judicieuse, mais valable uniquement pour des biens situés à proximité des plages, ce qui suppose une
mise de départ importante.
MARASME DANS LE HAUT DE GAMME
Dans le haut de gamme, l'offre est conséquente. Si le marché est en crise, les biens réellement
exceptionnels trouvent preneur à condition que les prix soient ajustés. Depuis le début de l'année,
Barnes a ainsi conclu trois ventes dans la région pour des montants compris entre 5 et 10 millions
d'euros, dont le fameux château d'Ilbarritz sur la commune de Bidart.
En revanche, pour des biens situés entre 2 et 5 millions d'euros, c'est le marasme : les acheteurs ont
disparu. Pour preuve, une maison traditionnelle rouge et blanche du XIX
e
siècle, située sur la falaise
de Guéthary, d'une surface de 200 mètres carrés et comprenant six chambres, ne trouve pas preneur
à 2,5 millions d'euros, malgré un accès direct à la plage. « Il y a quelques années, elle serait partie à
3,5 millions d'euros », estime Isabelle de Langeron.
Entre 750 000 euros et 1,5 million d'euros, les acheteurs sont exclusivement français, voire parisiens.
Les bordelais et les toulousains sont rares. En deux ans, les prix ont baissé de 20 % à 30 % et les
acheteurs ne se bousculent pas. Par exemple, une belle maison récente, de style basque avec
piscine et vue dégagée sur le golf d'Arcangues, à 5 minutes de Biarritz, achetée pour 1,45 million
d'euros en 2008, ne trouve pas preneur aujourd'hui à 1,35 million d'euros.
UN MILLION D'EUROS POUR UNE MAISON BASQUE
Pour une maison basque traditionnelle, les prix démarrent à un million d'euros. « Très spacieuses, la
plupart comptent entre 400 et 600 mètres carrés, ce qui justifie leur prix », explique Catherine
Thomine-Desmazures, représentante du réseau Barnes, qui conseille de s'intéresser aux
constructions de 1920 ou 1930, voire plus anciennes, car les demeures plus récentes risquent de se
démoder.
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« Les goûts des acheteurs évoluent vite, dit-elle. Outre la vue sur la mer, on veut maintenant de
grandes pièces à vivre avec des baies vitrées, une piscine, la proximité de mer et des commerces...
Les grands-parents ne veulent plus jouer les taxis pour leurs enfants et leurs petits-enfants ! » Pour
dénicher une perle rare, elle recommande de prospecter aussi dans l'arrière-pays, du côté
d'Arcangues, d'Arbonne ou d'Ahetze.
Source : LeMonde.fr
Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans
le logement
Le 25/7/2014
BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéric participeront notamment à l'effort
national pour la construction de logements.
filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la
construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent
âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages
fiscaux conséquents accordés par l’Etat.
Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société
nationale immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis
deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans
l'immobilier résidentiel. Eux qui se sont désengagés du sect
1990.
Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux
"zinzins", le projet de la SNI -
construire 10.000 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un
premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un
second est prévu pour la fin 2014.
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Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans
BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéric participeront notamment à l'effort
national pour la construction de logements. Mathias Thépot | 25/07/2014, 11:24
filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la
construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent
âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages
fiscaux conséquents accordés par l’Etat.
Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société
immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis
deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans
l'immobilier résidentiel. Eux qui se sont désengagés du secteur du logement depuis la fin des années
Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux
-nommé "Argos"- qui vise à collecter les fonds nécessaires pour
00 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un
premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un
second est prévu pour la fin 2014.
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Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans
BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéric participeront notamment à l'effort
25/07/2014, 11:24 - 566 mots Une
filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la
construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent
âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages
Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société
immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis
deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans
eur du logement depuis la fin des années
Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux
qui vise à collecter les fonds nécessaires pour
00 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un
premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un
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Les promoteurs s'impatientaient
Même si les objectifs initiaux ne sont qu'à moitié remplis, la SNI a jugé nécessaire d'acter une
première étape pour que les promoteurs qui s'impatientent puissent lancer les premières opérations
de construction. Initialement, le fonds du projet Argos, finalement nommé fonds de logement
intermédiaire (FLI), devait être doté d'une capacité d'investissement de 1,7 milliard d'euros, dont 850
millions de fonds propres.
Pour l'instant Le FLI dispose d'engagements concrets "pour un montant total de 515 millions d'euros
en capitaux propres, correspondant à une capacité d'investissement de 860 millions", indique la SNI
dans un communiqué. Le FLI financera la construction de logements neufs "répondant aux dernières
normes environnementales, à loyers maîtrisés et situés en région parisienne et dans les grandes
agglomérations françaises où un déficit d'offre pour les classes moyennes est constaté depuis
plusieurs années", y est-il également indiqué.
BNP Paribas Cardif et Aviva abondent le fonds
Quels investisseurs institutionnels ont finalement abondé le fonds FLI ? La SNI pour un tiers, ainsi que
"la CNP Assurances, BNP Paribas Cardif, Aviva France, le Groupe Malakoff Médéric, EDF Invest,
l'Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique (ERAFP) représenté par AEW et la
Société Mutuelle d'Assurance du Bâtiment et des Travaux Publics (SMABTP)", indique la SNI.
Pour convaincre ces investisseurs institutionnels, les pouvoirs publics ont sorti l'artillerie lourde : il est
convenu dans l'article 55 de la loi de finances 2014 de leur faire bénéficier d'un taux de TVA réduit à
10% pour la construction de logements intermédiaires ainsi que de les exonérer de taxe foncière sur
les propriétés bâties (TFPB) dans la limite de 20 ans.
Des plafonds de loyers fixés sur le Duflot
Dans la thèse d'investissement du projet, il est indiqué que ces avantages permettront aux
investisseurs de dégager un revenu locatif brut (rapport entre le loyer global -parking compris- et le
coût d'acquisition toutes taxes comprises) "d'environ 5% et dans tous les cas supérieur à 4,8%".
Il y est également mentionné que "le fonds vise un taux de rentabilité interne de 7% à 20 ans sur la
bas d'un endettement d'environ 50% de l'actif et d'une croissance annuelle moyenne des prix de
l'immobilier de 1,05% sur 20 ans". Il faut ajouter à cela les perspectives de plus-value lors de la
revente grâce au différentiel entre le prix d'acquisition et le prix de marché. Ces conditions favorables
La revue de Presse KYLIA
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permettent de compenser le plafonnement des loyers qui seront calqués sur ceux du dispositif
existant d'aide fiscal à d'investissement locatif, dit "Duflot".
Source : LaTribune.fr
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Immobilier: le secteur encadré
Le 27/07/2014
Le décret précisant la composition et le rôle du Conseil national de la transaction et de la gestion
immobilières (CNTGI), qui va encadrer l'activité des professionnels du secteur comme prévu par la loi
Alur sur le logement, est paru dimanche au Journal officiel (J.O.).
Créé par l'article 24 de la loi pour l'Accès au logement et un urbanisme rénové(Alur) du 24 mars 2014,
ce Conseil "a pour mission de veiller au maintien et à la promotion des principes de moralité, de
probité et de compétences nécessaires au bon accomplissement des activités régies par la loi du 2
janvier 1970, dite loi Hoguet", précise le décret.
Il aura un "rôle de proposition" et devra être "consulté pour avis sur l'ensemble des projets de textes
législatifs ou réglementaires relatifs à l'exercice des activités des professionnels de l'immobilier".
Son premier avis doit porter sur l'encadrement des tarifs des honoraires de location, que la loi Alur
prévoit de plafonner.
Le but est de rééquilibrer la répartition des frais de location entre locataires et bailleurs: dans les faits,
ils sont essentiellement à la charge du locataire, et s'élèvent couramment à un mois de loyer dans la
capitale.
Cécile Duflot, ex-ministre du Logement à l'origine de la loi Alur jusqu'à son départ du gouvernement,
avait pour ambition de diviser par deux les honoraires de location à Paris, pour redonner du pouvoir
d'achat aux locataires.
Ce CNTGI comprendra 12 membres: 7 représentants des professionnels et 5 représentants des
consommateurs choisis parmi des associations agréées oeuvrant dans le domaine du logement,
précise le décret.
Source : LeFigaro.fr
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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Le client : de plus en plus pressé
Le 21/7/2014
Si elle souhaite un service efficace et rapide, la clientèle n'en reste pas moins exigeante et n'est pas
prête à renier l'aspect social et structuré du repas.
© Thinkstock
Les actifs se servent désormais de leur pause comme d'une variable modulable selon leur charge de
travail.
Les actifs n'hésitent pas à rogner sur leur temps de pause le midi en raison de leur rythme de vie,
toujours plus effréné, du fait notamment d'un éloignement plus important entre leur domicile et leur
lieu de travail. Plutôt que de finir plus tard le soir, ils se servent de leur pause comme d'une variable
modulable selon leur charge de travail. Le client n'a plus le temps d'attendre, préférant logiquement
consacrer sa pause du midi à manger plutôt qu'à faire la queue. Il s'attend à être servi quasiment sans
La revue de Presse KYLIA
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délai et souhaite voir le produit commandé le plus rapidement possible sur sa table. Le restaurateur
doit repenser son mode de distribution pour en augmenter la fluidité, il doit donc faire preuve
d'adaptation. Ce besoin de rapidité est nécessaire aussi bien dans la vente au comptoir (VAC) que
dans le service à table (SAT).
• Les bornes de commande et paiement à distance
Chez McDonald's, des bornes de commande permettent de gagner du temps et une meilleure gestion
des flux au comptoir. Plus récemment, l'enseigne a mis en place un système de commande et de
paiement à distance via un site internet (www.gomcdo.fr) et une application pour smartphone. Le
client passe et règle directement sa commande en ligne. Il ne lui reste plus qu'à se rendre sur place
pour la récupérer à un comptoir spécial. Ce système réduit le temps d'attente et augmente la fluidité
des flux de clientèle.
• Tablettes tactiles sur les tables et services de précommande
Quelques établissements, pour l'instant peu nombreux, ont opté pour des tablettes tactiles placées sur
les tables. Elles offrent la possibilité aux clients de faire leur choix tout en étant assis et permettent de
réduire les besoins en personnel. D'autres techniques comme le service de précommande, les coins
de salle réservés à une clientèle pressée et les menus express le midi sont autant de solutions pour
répondre à ce besoin de rapidité.
Le client français reste toutefois exigeant et n'est pas prêt à tout sacrifier. En effet, contrairement aux
Anglo-Saxons, il reste attaché aux valeurs liées au repas, notamment les aspects sociaux et
structurels, ne le limitant ainsi à son seul caractère fonctionnel. Si dans certains pays le temps
accordé au repas est vu comme une limite à celui consacré aux autres activités, en France, il est
perçu comme nécessaire à la vie en société, la notion de plaisir en étant souvent le corollaire.
Les attentes et besoins de la clientèle diffèrent selon le moment de consommation. On peut distinguer
les déjeuners en semaine, considérés comme des repas de nécessité où les critères de temps et de
budget sont essentiels, des repas dits festifs, où le plaisir et la convivialité priment. Le midi, les clients
les plus pressés sont les jeunes et les actifs. Friands de self-service, de vente au comptoir et de fast-
food, ils privilégient les aliments faciles et rapides à consommer tels que les sandwichs, pizzas et
plats cuisinés. Le restaurateur doit faire évoluer et adapter son offre et les modes de distribution en
La revue de Presse KYLIA
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fonction des besoins de cette clientèle. Il ne faut surtout pas négliger la qualité des produits et du
service sous prétexte de rapidité. La notion de confort, chère aux clients français, doit également être
prise en compte, car même s'ils courent après le temps, ils restent intransigeants quant aux
prestations proposées dans leur ensemble.
Source : LhotellerieRestauration.fr
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Les chiffres du Bio : des progrès à réaliser en
restauration commerciale
Le 21/7/2014
Élisabeth Mercier, directrice générale de l'Agence Bio et Diego Garcia, administrateur, ont présenté,
jeudi 17 juillet, les chiffres du Bio en France. Un marché à 4,5 milliards d'euros.
© Agence Bio
Le marché bio est en pleine croissance selon Élisabeth Mercier, directrice générale de l'Agence Bio
et Diego Garcia, administrateur. Ils ont présenté, ce jeudi 17 juillet, les chiffres du Bio en France : un
marché à 4,5 milliards d'euros. La progression de la consommation bio est spectaculaire : + 9 % en
2013 par rapport à 2012. Les français déclarent à 54 % être intéressés par le bio en restauration
commerciale, à 53 % pour la restauration d'entreprise et 68 % des parents d'élèves pour la
restauration scolaire.
La restauration collective fortement impliquée
Le secteur scolaire est le plus engagé dans cette démarche puisque 79 % des établissements y
proposent des produits bios, la restauration d'entreprise, à 55 % et le secteur de la santé et du social,
avec seulement 27 %, est en retard. Mais ces chiffres devraient évoluer rapidement puisque
La revue de Presse KYLIA
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Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, s'est engagé à donner des moyens au secteur de la santé
pour développer le bio dans les hôpitaux et maisons de retraite. Et qu'un plan "Ambition Bio 2017"
visant à favoriser le développement de l'agriculture Bio se met en place.
La restauration collective, en grande partie sous l'impulsion des élus et des convives, s'est engagée
dans cette voie. Entre 2009 et 2013, les achats de produits bios y ont été quasiment doublés en
passant de 92 millions d'euros à 172 millions d'euros. En 2013, 60% des restaurants collectifs ont
servi du bio à leurs convives. Pour son développement, au départ, l'introduction s'est faite de façon
évènementielle : un repas bio de temps en temps. Maintenant, en fonction de l'offre locale, des
produits et ingrédients bios sont proposés de façon récurrente dans 51 % des cas avec pour 28 % des
cas, des menus entièrement bios. La fréquence de l'offre de produits bios est de 60 % au moins une
fois par mois, 40 % au moins une fois par semaine et 16 % tous les jours (soit 6000 établissements).
La progression est moins significative en restauration commerciale et de ce fait n'a pas encore été
chiffrée.
Le bio local et de saison
Pour être durable, cette évolution doit, dans la mesure du possible, reposer sur un approvisionnement
local et de saison. Et là encore les chiffres sont positifs. Les surfaces certifiées en bio ont augmenté
de 9 % en 2013, et atteignent près d'un million d'hectare (10 % des surfaces cultivées). Ce qui place
la France au 3ème rang en Europe, derrière l'Espagne et l'Italie mais devant l'Allemagne. De même,
les filières s'organisent puisqu'en 2014, il y a en France 26 500 producteurs et 12 400 opérateurs pour
la transformation et la distribution. La gamme très étendue des produits proposés est l'une des plus
diversifiée en Europe. Grâce à cela, 83 % des établissements qui servent du bio privilégient l'origine
France et 79 % le local.
Le surcoût matière éventuel de l'introduction du bio est, pour les 2/3 des restaurants, inférieur à 20 %
et généralement moindre grâce à des partenariats locaux et un approvisionnement en pleine saison.
Le vin dynamise le bio en restauration commerciale
Si les produits bios les plus consommés sont les fruits, les légumes et les produits laitiers, en
restauration commerciale c'est le vin. Actuellement les restaurants commerciaux n'ont pas encore pris
le virage du bio. C'est dommage car 75 % des français en consomment régulièrement et la plupart se
déclarent prêts à en consommer plus. Si un restaurateur décide de s'engager dans le bio, l'agence bio
propose une classification pour en faire état à ses clients. Un cahier des charges permet de définir le
niveau d'implication. Il existe trois cas :
La revue de Presse KYLIA
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• cas 1 : ce n'est que du déclaratif, le restaurant qui sert des produits ou ingrédients bios notifie son
activité à l'agence bio ce qui lui permet de figurer dans l'annuaire officiel. À ce jour, 126 restaurants
ont fait cette démarche ;
• cas 2 : le restaurant fait certifier quelques plats ou menus, 31 restaurants entrent dans ce cas ;
• cas 3 : le restaurant est certifié 100% bio (en fait il y a une tolérance à 95% puisque certains produits
ne sont pas disponibles en bio). C'est le cas de 64 restaurants.
Depuis le 1er octobre 2012, les établissements souhaitant faire apparaitre la mention "bio" doivent
respecter un cahier des charges.
Source : LhotellerieRestauration.fr
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Les grands centres commerciaux prospèrent
Le 24/7/2014
A fin mai, le chiffre d’affaires des commerçants a progressé de 3,4 % dans les centres
commerciaux européens de Klépierre et de 3,3 % dans ceux d’Unibail-Rodamco.
Le point d’activité semestriel du leader européen des centres commerciaux, Unibail-Rodamco, a testé
la résistance à la conjoncture des centres commerciaux de grande taille. Le chiffre d’affaires des
commerçants locataires a progressé, en Europe hors Pays-Bas, de 3,6 % à la fin mai par rapport à la
même période en 2013 (hors cessions et acquisitions de centres, mais en incluant les extensions de
centres existants) et même de 3,9 % pour les centres enregistrant plus de 6 millions de visites par an.
Evidemment, la faillite de Virgin, si on la prend en compte, atténue cette progression. Mais elle ressort
encore à 3,3 % chez Unibail en Europe et un peu plus (+ 3,4 %) chez son concurrent Klépierre. Soit
davantage que les indices de consommation nationaux des différents pays européens. Même bonne
santé pour les ventes des commerçants de l’hexagone : + 3,4 % chez Unibail (mais hors faillite de
Virgin) et +2,2 % en France et en Belgique chez Klépierre dont les chiffres, contrairement à Unibail,
intègrent la faillite de Virgin (et où les ventes sont stables si on exclut les extensions).
Attirer les foules
La progression des ventes est directement liée à celle de la fréquentation, en augmentation chez
Unibail de 3,1 % à la fin mai après une année 2013 stable, à + 0,2 %. Unibail ne recule devant rien
pour attirer les foules. « Nous avons installé en juin six portails du jeu vidéo Ingress et nous avons
déjà enregistré 24.000 connexions de jeu en un mois dans ces six centres européens, explique ainsi
Christophe Cuvillier, président du directoire. Ingress sera adapté à Android en juillet, cela va avoir un
clair effet sur notre fréquentation… »
Evidemment, c’est un peu anecdotique (pour l’instant en tout cas) mais assez révélateur des initiatives
déployées, qui comprennent aussi, pêle-mêle, des accords pour attirer de nouvelles enseignes (Le
Pain Quotidien va s’installer pour la première fois dans deux centres commerciaux : ceux d’Unibail aux
Halles et à Polygone Riviera), des applications pour smartphones (3,2 millions téléchargées) et « sur
Facebook, où chaque centre a sa page, nous avons 4,9 millions de fans soit + 50 % en un an »,
poursuit le dirigeant. Certains centres semblant avoir des débuts laborieux montent en puissance,
comme le centre parisien de So Ouest, assure-t-il : « Après 7,5 millions de visiteurs pour sa première
année, en 2013, on espère passer la barre des 8 millions cette année », notamment grâce au succès
La revue de Presse KYLIA
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de son hypermarché Leclerc, un des moins chers d’Ile-de-France. Il n’y a pas que Facebook qui peut
séduire…
Les loyers perçus au premier semestre par les deux grandes foncières ont grimpé, tant pour Klépierre
(+ 3 % à périmètre constant) que pour Unibail (+ 2,6 %). Le leader européen a ainsi encaissé au total
719 millions, dont 590 millions au titre des centres commerciaux.
Source : LesEchos.fr
La revue de Presse KYLIA
19
A propos de Kylia
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle
Génération : Le 1
er
réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.
Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses
agents immobiliers.
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18

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Revue de presse kylia semaine du 21 au 27 juillet 2014

  • 1. La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 21 au 27 juillet 2014 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL La villa de l’auteur de Pinocchio à vendre pour 19 millions d’euros Le 24/7/2014 Le jardin de la villa Garzoni en Toscane rivalise de beauté avec les parcs les plus célèbres d’Europe. C’est là que le célèbre auteur des aventures de Pinocchio a passé son enfance et décida de créer le chef-d’œuvre qui le rendit célèbre. La villa Garzoni en Toscane, aussi appelée « villa Pinocchio » ou «
  • 2. La revue de Presse KYLIA 2 villa aux cent fenêtres » est à vendre pour 19 millions d’euros par l’agence d’immobilier de luxe italienne Lionard Luxury Real Estate . Construite dans le milieu des années 1600 sur les fondations d’une forteresse médiévale, cette villa de 3.032 mètres carrés compte 40 chambres et se dresse sur quatre étages. Les intérieurs luxuriants sont décorés de stucs avec de belles finitions Rococo, de fresques et peintures baroques, dont certaines du célèbre peintre Angelo Michele Colonna (17ème). Labyrinthes, jeux d’eau, statues baroques Mais c’est avant tout le jardin qui fait l’intérêt de la propriété. Avec ses labyrinthes, jeux d’eau, son pavillon d’été et ses escaliers et statues allégoriques baroques de toutes sortes, le parc rivalise avec les plus connus d’Italie (La villa d’Este, le parc florentin de Boboli, Reggia di Caserta), mais également d’Europe (Celui du château de Versailles, de Fontainebleau ou de Schonnbrunn à Vienne). Ouvert à la visite, il fut créé dans les années 1650 par l’architecte Ottaviano Diodati. Il fut ensuite complété et amélioré au fil des générations suivantes. En 2007, lui a même été rajouté une volière où vivent toujours des centaines de papillons tropicaux et équatoriaux. Cette propriété féerique se situe en Toscane, à mi-chemin entre Florence et Pise, dans un petit hameau médiéval du XIIe siècle du nom de Collodi. Ce village est surtout célèbre pour avoir donné son pseudonyme à l’auteur de Pinocchio. Carlo Lorenzini, dit « Carlo Collodi » voulut ainsi rendre hommage à sa mère, native de cet endroit. Les jardins de la « villa Pinocchio » étant ouvert à la visite, le village tout entier bénéficie de son attractivité touristique. Source : LesEchos.fr
  • 3. La revue de Presse KYLIA 3 Devenir propriétaire au Pays basque reste un rêve inaccessible pour beaucoup Le 25/7/2014 Sur la côte basque, la plupart des acheteurs de résidences secondaires sont des seniors parisiens à la recherche d'une maison de vacances, qu'ils pourront transformer en résidence principale pour leurs vieux jours. L'âge moyen des acquéreurs, qui ne cesse d'augmenter, dépasse la cinquantaine. Les acheteurs étrangers (essentiellement britanniques et espagnols) ont déserté la région depuis plusieurs années et rien ne laisse supposer qu'ils reviendront, le Pays basque n'étant pas la Côte d'Azur. Est-ce le moment de faire des affaires au Pays basque ? Pour l'instant, à moins d'être à l'affût d'un propriétaire contraint de vendre pour des raisons familiales, les opportunités sont rares dans la région, même si, paradoxalement, le stock de biens à vendre a augmenté et les délais de vente se sont allongés. Car les prix ont relativement peu baissé et les vendeurs se montrent patients, surtout sur le littoral. « Les acheteurs sont aussi nettement plus exigeants. Ils n'hésitent pas à visiter des dizaines de biens pour comparer. Ceux avec des défauts majeurs reçoivent très peu de visites », déclare Jean-François Biscayart, qui dirige deux agences du réseau Guy Hoquet, à Capbreton et à Labenne.
  • 4. La revue de Presse KYLIA 4 Si les prix ont baissé de 10 % à 20 % par rapport à 2011 au Pays basque, ils restent élevés, en particulier dans les villes les plus prisées. A Biarritz, à Anglet, à Saint-Jean-de-Luz, à Bidart ou à Guéthary, il est inutile d'espérer acheter un studio bien placé – c'est-à-dire proche des plages et des commerces avec vue sur la mer –, pour moins de 130 000 euros. Toujours avec une belle vue, le prix d'un appartement de 50 mètres carrés tourne autour de 300 000 euros, celui d'un 120 mètres carrés oscille entre 450 000 et 500 000 euros. « Beaucoup de retraités arrivent de partout en France et recherchent le même type de bien : un appartement de trois chambres en front de mer, si possible avec une terrasse et un garage. Jusqu'à 12 000 euros le mètre carré, ces biens partent en quelques semaines », confie Isabelle de Langeron, représentante du réseau Coldwell Banker DP&P Consulting. L'écart de prix avec un bien sans perspective sur l'océan fluctue entre 20 % et 30 % car il n'y a plus de place pour construire sur le littoral. Pour ceux qui jugent ces tarifs prohibitifs, plusieurs tactiques sont possibles. « Lorsqu'on s'éloigne de l'océan, les prix baissent rapidement, poursuit M me de Langeron. D'une fourchette de 4 000 à 6 000 euros à Biarritz ou à Saint-Jean-de-Luz, on tombe à 3 000 euros le mètre carré quand on s'enfonce de 20 minutes dans les terres. » Bayonne peut constituer une alternative intéressante. Moins bourgeoise, moins touristique, mais aussi moins animée le soir, les bords de l'Adour ne manquent pas de charme pour des retraités. « Les prix y sont 20 % à 30 % plus doux », précise Anne Darrieux-Juson, qui vient d'ouvrir une agence ERA à Bayonne. L'autre option consiste à prospecter vers le nord, dans les Landes, où les baisses de prix sont plus marquées. Par exemple, un studio situé sur la plage centrale de Capbreton, proposé à 112 000 euros en décembre, vient de trouver preneur à 99 700 euros. De même, une petite maison de 40 mètres carrés avec deux chambres sur le port proposée à 180 000 euros en 2013 est partie à 161 000 euros. « Il y a peu d'acheteurs à Capbreton, l'attentisme y est général », reconnaît M. Biscayart. BUDGETS SERRÉS Autre stratégie possible pour les budgets serrés : prospecter en périphérie des villes les plus prisées ou dans l'arrière-pays, où l'on peut trouver des appartements défraîchis dans de grands ensembles sans charmes des années 1960 ou 1970 aux alentours de 2 500 euros le mètre carré. « Le bâti a vieilli, certes, mais ces biens ont généralement été entretenus car les copropriétés fonctionnent bien », glisse M. Poulou, président de la Fnaim du Pays basque.
  • 5. La revue de Presse KYLIA 5 « Dans ces grands ensembles, il est possible de trouver un T2 pour 130 000 euros et un T4 pour 400 000 euros », confirme Jean-Paul Sainsevin, qui possède deux agences du réseau ERA, à Anglet et à Hasparren. Pour les petites surfaces, l'autre facteur à prendre en compte est la disparition des investisseurs. « Le dispositif de défiscalisation Duflot est un échec, alors que le Scellier avait bien marché au Pays basque. Autour de 3 % par an, les perspectives de rentabilité sont trop faibles et il y a très peu d'offre dans le neuf », explique Vincent Poulou, président de la Fnaim du Pays basque. Une exception néanmoins : ceux qui achètent pour louer l'été pendant 8 à 10 semaines peuvent obtenir une rentabilité brute d'environ 3 % et jouir de leur bien le reste de l'année. Une stratégie judicieuse, mais valable uniquement pour des biens situés à proximité des plages, ce qui suppose une mise de départ importante. MARASME DANS LE HAUT DE GAMME Dans le haut de gamme, l'offre est conséquente. Si le marché est en crise, les biens réellement exceptionnels trouvent preneur à condition que les prix soient ajustés. Depuis le début de l'année, Barnes a ainsi conclu trois ventes dans la région pour des montants compris entre 5 et 10 millions d'euros, dont le fameux château d'Ilbarritz sur la commune de Bidart. En revanche, pour des biens situés entre 2 et 5 millions d'euros, c'est le marasme : les acheteurs ont disparu. Pour preuve, une maison traditionnelle rouge et blanche du XIX e siècle, située sur la falaise de Guéthary, d'une surface de 200 mètres carrés et comprenant six chambres, ne trouve pas preneur à 2,5 millions d'euros, malgré un accès direct à la plage. « Il y a quelques années, elle serait partie à 3,5 millions d'euros », estime Isabelle de Langeron. Entre 750 000 euros et 1,5 million d'euros, les acheteurs sont exclusivement français, voire parisiens. Les bordelais et les toulousains sont rares. En deux ans, les prix ont baissé de 20 % à 30 % et les acheteurs ne se bousculent pas. Par exemple, une belle maison récente, de style basque avec piscine et vue dégagée sur le golf d'Arcangues, à 5 minutes de Biarritz, achetée pour 1,45 million d'euros en 2008, ne trouve pas preneur aujourd'hui à 1,35 million d'euros. UN MILLION D'EUROS POUR UNE MAISON BASQUE Pour une maison basque traditionnelle, les prix démarrent à un million d'euros. « Très spacieuses, la plupart comptent entre 400 et 600 mètres carrés, ce qui justifie leur prix », explique Catherine Thomine-Desmazures, représentante du réseau Barnes, qui conseille de s'intéresser aux constructions de 1920 ou 1930, voire plus anciennes, car les demeures plus récentes risquent de se démoder.
  • 6. La revue de Presse KYLIA 6 « Les goûts des acheteurs évoluent vite, dit-elle. Outre la vue sur la mer, on veut maintenant de grandes pièces à vivre avec des baies vitrées, une piscine, la proximité de mer et des commerces... Les grands-parents ne veulent plus jouer les taxis pour leurs enfants et leurs petits-enfants ! » Pour dénicher une perle rare, elle recommande de prospecter aussi dans l'arrière-pays, du côté d'Arcangues, d'Arbonne ou d'Ahetze. Source : LeMonde.fr
  • 7. Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans le logement Le 25/7/2014 BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéric participeront notamment à l'effort national pour la construction de logements. filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages fiscaux conséquents accordés par l’Etat. Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société nationale immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans l'immobilier résidentiel. Eux qui se sont désengagés du sect 1990. Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux "zinzins", le projet de la SNI - construire 10.000 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un second est prévu pour la fin 2014. La revue de Presse KYLIA Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéric participeront notamment à l'effort national pour la construction de logements. Mathias Thépot | 25/07/2014, 11:24 filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages fiscaux conséquents accordés par l’Etat. Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans l'immobilier résidentiel. Eux qui se sont désengagés du secteur du logement depuis la fin des années Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux -nommé "Argos"- qui vise à collecter les fonds nécessaires pour 00 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un second est prévu pour la fin 2014. 7 Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéric participeront notamment à l'effort 25/07/2014, 11:24 - 566 mots Une filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans eur du logement depuis la fin des années Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux qui vise à collecter les fonds nécessaires pour 00 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un
  • 8. La revue de Presse KYLIA 8 Les promoteurs s'impatientaient Même si les objectifs initiaux ne sont qu'à moitié remplis, la SNI a jugé nécessaire d'acter une première étape pour que les promoteurs qui s'impatientent puissent lancer les premières opérations de construction. Initialement, le fonds du projet Argos, finalement nommé fonds de logement intermédiaire (FLI), devait être doté d'une capacité d'investissement de 1,7 milliard d'euros, dont 850 millions de fonds propres. Pour l'instant Le FLI dispose d'engagements concrets "pour un montant total de 515 millions d'euros en capitaux propres, correspondant à une capacité d'investissement de 860 millions", indique la SNI dans un communiqué. Le FLI financera la construction de logements neufs "répondant aux dernières normes environnementales, à loyers maîtrisés et situés en région parisienne et dans les grandes agglomérations françaises où un déficit d'offre pour les classes moyennes est constaté depuis plusieurs années", y est-il également indiqué. BNP Paribas Cardif et Aviva abondent le fonds Quels investisseurs institutionnels ont finalement abondé le fonds FLI ? La SNI pour un tiers, ainsi que "la CNP Assurances, BNP Paribas Cardif, Aviva France, le Groupe Malakoff Médéric, EDF Invest, l'Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique (ERAFP) représenté par AEW et la Société Mutuelle d'Assurance du Bâtiment et des Travaux Publics (SMABTP)", indique la SNI. Pour convaincre ces investisseurs institutionnels, les pouvoirs publics ont sorti l'artillerie lourde : il est convenu dans l'article 55 de la loi de finances 2014 de leur faire bénéficier d'un taux de TVA réduit à 10% pour la construction de logements intermédiaires ainsi que de les exonérer de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) dans la limite de 20 ans. Des plafonds de loyers fixés sur le Duflot Dans la thèse d'investissement du projet, il est indiqué que ces avantages permettront aux investisseurs de dégager un revenu locatif brut (rapport entre le loyer global -parking compris- et le coût d'acquisition toutes taxes comprises) "d'environ 5% et dans tous les cas supérieur à 4,8%". Il y est également mentionné que "le fonds vise un taux de rentabilité interne de 7% à 20 ans sur la bas d'un endettement d'environ 50% de l'actif et d'une croissance annuelle moyenne des prix de l'immobilier de 1,05% sur 20 ans". Il faut ajouter à cela les perspectives de plus-value lors de la revente grâce au différentiel entre le prix d'acquisition et le prix de marché. Ces conditions favorables
  • 9. La revue de Presse KYLIA 9 permettent de compenser le plafonnement des loyers qui seront calqués sur ceux du dispositif existant d'aide fiscal à d'investissement locatif, dit "Duflot". Source : LaTribune.fr
  • 10. La revue de Presse KYLIA 10 Immobilier: le secteur encadré Le 27/07/2014 Le décret précisant la composition et le rôle du Conseil national de la transaction et de la gestion immobilières (CNTGI), qui va encadrer l'activité des professionnels du secteur comme prévu par la loi Alur sur le logement, est paru dimanche au Journal officiel (J.O.). Créé par l'article 24 de la loi pour l'Accès au logement et un urbanisme rénové(Alur) du 24 mars 2014, ce Conseil "a pour mission de veiller au maintien et à la promotion des principes de moralité, de probité et de compétences nécessaires au bon accomplissement des activités régies par la loi du 2 janvier 1970, dite loi Hoguet", précise le décret. Il aura un "rôle de proposition" et devra être "consulté pour avis sur l'ensemble des projets de textes législatifs ou réglementaires relatifs à l'exercice des activités des professionnels de l'immobilier". Son premier avis doit porter sur l'encadrement des tarifs des honoraires de location, que la loi Alur prévoit de plafonner. Le but est de rééquilibrer la répartition des frais de location entre locataires et bailleurs: dans les faits, ils sont essentiellement à la charge du locataire, et s'élèvent couramment à un mois de loyer dans la capitale. Cécile Duflot, ex-ministre du Logement à l'origine de la loi Alur jusqu'à son départ du gouvernement, avait pour ambition de diviser par deux les honoraires de location à Paris, pour redonner du pouvoir d'achat aux locataires. Ce CNTGI comprendra 12 membres: 7 représentants des professionnels et 5 représentants des consommateurs choisis parmi des associations agréées oeuvrant dans le domaine du logement, précise le décret. Source : LeFigaro.fr
  • 11. La revue de Presse KYLIA 11 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE Le client : de plus en plus pressé Le 21/7/2014 Si elle souhaite un service efficace et rapide, la clientèle n'en reste pas moins exigeante et n'est pas prête à renier l'aspect social et structuré du repas. © Thinkstock Les actifs se servent désormais de leur pause comme d'une variable modulable selon leur charge de travail. Les actifs n'hésitent pas à rogner sur leur temps de pause le midi en raison de leur rythme de vie, toujours plus effréné, du fait notamment d'un éloignement plus important entre leur domicile et leur lieu de travail. Plutôt que de finir plus tard le soir, ils se servent de leur pause comme d'une variable modulable selon leur charge de travail. Le client n'a plus le temps d'attendre, préférant logiquement consacrer sa pause du midi à manger plutôt qu'à faire la queue. Il s'attend à être servi quasiment sans
  • 12. La revue de Presse KYLIA 12 délai et souhaite voir le produit commandé le plus rapidement possible sur sa table. Le restaurateur doit repenser son mode de distribution pour en augmenter la fluidité, il doit donc faire preuve d'adaptation. Ce besoin de rapidité est nécessaire aussi bien dans la vente au comptoir (VAC) que dans le service à table (SAT). • Les bornes de commande et paiement à distance Chez McDonald's, des bornes de commande permettent de gagner du temps et une meilleure gestion des flux au comptoir. Plus récemment, l'enseigne a mis en place un système de commande et de paiement à distance via un site internet (www.gomcdo.fr) et une application pour smartphone. Le client passe et règle directement sa commande en ligne. Il ne lui reste plus qu'à se rendre sur place pour la récupérer à un comptoir spécial. Ce système réduit le temps d'attente et augmente la fluidité des flux de clientèle. • Tablettes tactiles sur les tables et services de précommande Quelques établissements, pour l'instant peu nombreux, ont opté pour des tablettes tactiles placées sur les tables. Elles offrent la possibilité aux clients de faire leur choix tout en étant assis et permettent de réduire les besoins en personnel. D'autres techniques comme le service de précommande, les coins de salle réservés à une clientèle pressée et les menus express le midi sont autant de solutions pour répondre à ce besoin de rapidité. Le client français reste toutefois exigeant et n'est pas prêt à tout sacrifier. En effet, contrairement aux Anglo-Saxons, il reste attaché aux valeurs liées au repas, notamment les aspects sociaux et structurels, ne le limitant ainsi à son seul caractère fonctionnel. Si dans certains pays le temps accordé au repas est vu comme une limite à celui consacré aux autres activités, en France, il est perçu comme nécessaire à la vie en société, la notion de plaisir en étant souvent le corollaire. Les attentes et besoins de la clientèle diffèrent selon le moment de consommation. On peut distinguer les déjeuners en semaine, considérés comme des repas de nécessité où les critères de temps et de budget sont essentiels, des repas dits festifs, où le plaisir et la convivialité priment. Le midi, les clients les plus pressés sont les jeunes et les actifs. Friands de self-service, de vente au comptoir et de fast- food, ils privilégient les aliments faciles et rapides à consommer tels que les sandwichs, pizzas et plats cuisinés. Le restaurateur doit faire évoluer et adapter son offre et les modes de distribution en
  • 13. La revue de Presse KYLIA 13 fonction des besoins de cette clientèle. Il ne faut surtout pas négliger la qualité des produits et du service sous prétexte de rapidité. La notion de confort, chère aux clients français, doit également être prise en compte, car même s'ils courent après le temps, ils restent intransigeants quant aux prestations proposées dans leur ensemble. Source : LhotellerieRestauration.fr
  • 14. La revue de Presse KYLIA 14 Les chiffres du Bio : des progrès à réaliser en restauration commerciale Le 21/7/2014 Élisabeth Mercier, directrice générale de l'Agence Bio et Diego Garcia, administrateur, ont présenté, jeudi 17 juillet, les chiffres du Bio en France. Un marché à 4,5 milliards d'euros. © Agence Bio Le marché bio est en pleine croissance selon Élisabeth Mercier, directrice générale de l'Agence Bio et Diego Garcia, administrateur. Ils ont présenté, ce jeudi 17 juillet, les chiffres du Bio en France : un marché à 4,5 milliards d'euros. La progression de la consommation bio est spectaculaire : + 9 % en 2013 par rapport à 2012. Les français déclarent à 54 % être intéressés par le bio en restauration commerciale, à 53 % pour la restauration d'entreprise et 68 % des parents d'élèves pour la restauration scolaire. La restauration collective fortement impliquée Le secteur scolaire est le plus engagé dans cette démarche puisque 79 % des établissements y proposent des produits bios, la restauration d'entreprise, à 55 % et le secteur de la santé et du social, avec seulement 27 %, est en retard. Mais ces chiffres devraient évoluer rapidement puisque
  • 15. La revue de Presse KYLIA 15 Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, s'est engagé à donner des moyens au secteur de la santé pour développer le bio dans les hôpitaux et maisons de retraite. Et qu'un plan "Ambition Bio 2017" visant à favoriser le développement de l'agriculture Bio se met en place. La restauration collective, en grande partie sous l'impulsion des élus et des convives, s'est engagée dans cette voie. Entre 2009 et 2013, les achats de produits bios y ont été quasiment doublés en passant de 92 millions d'euros à 172 millions d'euros. En 2013, 60% des restaurants collectifs ont servi du bio à leurs convives. Pour son développement, au départ, l'introduction s'est faite de façon évènementielle : un repas bio de temps en temps. Maintenant, en fonction de l'offre locale, des produits et ingrédients bios sont proposés de façon récurrente dans 51 % des cas avec pour 28 % des cas, des menus entièrement bios. La fréquence de l'offre de produits bios est de 60 % au moins une fois par mois, 40 % au moins une fois par semaine et 16 % tous les jours (soit 6000 établissements). La progression est moins significative en restauration commerciale et de ce fait n'a pas encore été chiffrée. Le bio local et de saison Pour être durable, cette évolution doit, dans la mesure du possible, reposer sur un approvisionnement local et de saison. Et là encore les chiffres sont positifs. Les surfaces certifiées en bio ont augmenté de 9 % en 2013, et atteignent près d'un million d'hectare (10 % des surfaces cultivées). Ce qui place la France au 3ème rang en Europe, derrière l'Espagne et l'Italie mais devant l'Allemagne. De même, les filières s'organisent puisqu'en 2014, il y a en France 26 500 producteurs et 12 400 opérateurs pour la transformation et la distribution. La gamme très étendue des produits proposés est l'une des plus diversifiée en Europe. Grâce à cela, 83 % des établissements qui servent du bio privilégient l'origine France et 79 % le local. Le surcoût matière éventuel de l'introduction du bio est, pour les 2/3 des restaurants, inférieur à 20 % et généralement moindre grâce à des partenariats locaux et un approvisionnement en pleine saison. Le vin dynamise le bio en restauration commerciale Si les produits bios les plus consommés sont les fruits, les légumes et les produits laitiers, en restauration commerciale c'est le vin. Actuellement les restaurants commerciaux n'ont pas encore pris le virage du bio. C'est dommage car 75 % des français en consomment régulièrement et la plupart se déclarent prêts à en consommer plus. Si un restaurateur décide de s'engager dans le bio, l'agence bio propose une classification pour en faire état à ses clients. Un cahier des charges permet de définir le niveau d'implication. Il existe trois cas :
  • 16. La revue de Presse KYLIA 16 • cas 1 : ce n'est que du déclaratif, le restaurant qui sert des produits ou ingrédients bios notifie son activité à l'agence bio ce qui lui permet de figurer dans l'annuaire officiel. À ce jour, 126 restaurants ont fait cette démarche ; • cas 2 : le restaurant fait certifier quelques plats ou menus, 31 restaurants entrent dans ce cas ; • cas 3 : le restaurant est certifié 100% bio (en fait il y a une tolérance à 95% puisque certains produits ne sont pas disponibles en bio). C'est le cas de 64 restaurants. Depuis le 1er octobre 2012, les établissements souhaitant faire apparaitre la mention "bio" doivent respecter un cahier des charges. Source : LhotellerieRestauration.fr
  • 17. La revue de Presse KYLIA 17 Les grands centres commerciaux prospèrent Le 24/7/2014 A fin mai, le chiffre d’affaires des commerçants a progressé de 3,4 % dans les centres commerciaux européens de Klépierre et de 3,3 % dans ceux d’Unibail-Rodamco. Le point d’activité semestriel du leader européen des centres commerciaux, Unibail-Rodamco, a testé la résistance à la conjoncture des centres commerciaux de grande taille. Le chiffre d’affaires des commerçants locataires a progressé, en Europe hors Pays-Bas, de 3,6 % à la fin mai par rapport à la même période en 2013 (hors cessions et acquisitions de centres, mais en incluant les extensions de centres existants) et même de 3,9 % pour les centres enregistrant plus de 6 millions de visites par an. Evidemment, la faillite de Virgin, si on la prend en compte, atténue cette progression. Mais elle ressort encore à 3,3 % chez Unibail en Europe et un peu plus (+ 3,4 %) chez son concurrent Klépierre. Soit davantage que les indices de consommation nationaux des différents pays européens. Même bonne santé pour les ventes des commerçants de l’hexagone : + 3,4 % chez Unibail (mais hors faillite de Virgin) et +2,2 % en France et en Belgique chez Klépierre dont les chiffres, contrairement à Unibail, intègrent la faillite de Virgin (et où les ventes sont stables si on exclut les extensions). Attirer les foules La progression des ventes est directement liée à celle de la fréquentation, en augmentation chez Unibail de 3,1 % à la fin mai après une année 2013 stable, à + 0,2 %. Unibail ne recule devant rien pour attirer les foules. « Nous avons installé en juin six portails du jeu vidéo Ingress et nous avons déjà enregistré 24.000 connexions de jeu en un mois dans ces six centres européens, explique ainsi Christophe Cuvillier, président du directoire. Ingress sera adapté à Android en juillet, cela va avoir un clair effet sur notre fréquentation… » Evidemment, c’est un peu anecdotique (pour l’instant en tout cas) mais assez révélateur des initiatives déployées, qui comprennent aussi, pêle-mêle, des accords pour attirer de nouvelles enseignes (Le Pain Quotidien va s’installer pour la première fois dans deux centres commerciaux : ceux d’Unibail aux Halles et à Polygone Riviera), des applications pour smartphones (3,2 millions téléchargées) et « sur Facebook, où chaque centre a sa page, nous avons 4,9 millions de fans soit + 50 % en un an », poursuit le dirigeant. Certains centres semblant avoir des débuts laborieux montent en puissance, comme le centre parisien de So Ouest, assure-t-il : « Après 7,5 millions de visiteurs pour sa première année, en 2013, on espère passer la barre des 8 millions cette année », notamment grâce au succès
  • 18. La revue de Presse KYLIA 18 de son hypermarché Leclerc, un des moins chers d’Ile-de-France. Il n’y a pas que Facebook qui peut séduire… Les loyers perçus au premier semestre par les deux grandes foncières ont grimpé, tant pour Klépierre (+ 3 % à périmètre constant) que pour Unibail (+ 2,6 %). Le leader européen a ainsi encaissé au total 719 millions, dont 590 millions au titre des centres commerciaux. Source : LesEchos.fr
  • 19. La revue de Presse KYLIA 19 A propos de Kylia KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1 er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18