S4 revue de presse kylia - semaine du 20 au 26 janvier 2020
Revue de presse kylia semaine 15
1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du1 au 7 Avril 2013
LES ARTICLES DE LA SEMAINE
Immobilier : le prix moyen d'une maison
individuelle est de 205.000 euros
Le 8/4/2013
Les aménageurs dénoncent les prix trop élevés des maisons dans les
lotissements. Ils reprochent aux nouveaux quartiers de se limiter à des
logements collectifs qui coûtent trop cher.
SNAL
La revue de Presse KYLIA
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2. Le bilan annuel du syndicat national des aménageurs lotisseurs (Snal), dont les responsables ont été
reçu vendredi au ministère du Logement, montre une évolution inquiétante du marché du logement
neuf depuis six ans. En France, acheter une parcelle et y faire construire une maison de 105 mètres
carrés coûte en moyenne 205.000 euros (dont 85.000 euros pour la parcelle), soit 1.950 euros le m2
garage inclus, souligne le Snal en citant les statistiques ministérielles. Pour une maison de promoteur
en secteur périurbain, il faut compter 3.000 euros le m2, soit un budget de 320.000 euros pour une
maison de 105 m2 et de 262.000 euros pour un quatre pièces plus petit (86 m2). Compte tenu d'un
revenu médian de 2.400 euros mensuels pour un ménage français (jusqu'à 3.500 euros pour la classe
moyenne), « avec 25% d'apport personnel, cela aboutit à un budget de 180.000 à 250.000 euros,
insuffisant pour ce type de logement », conclut le Snal au vu des quotités de prêt des banques. Par
ailleurs, si 80 % des Français disent vouloir vivre dans une maison, l'habitat individuel ne représente
que « 50% du marché des logements neufs », souligne le Snal.
Aménagement mixte
Pourtant, ces problèmes pourraient être résolus, et donc le marché débloqué souligne le syndicat, si
la manière de concevoir les nouveaux quartiers changeait, tout en maintenant la densité actuelle
d'environ 40 logements par hectare. La solution préconisée par les aménageurs lotisseurs est de
revoir la conception de ces nouveaux quartiers en privilégiant des zones d'aménagement mixtes plutôt
que le 100 % logements collectifs. « Il suffit de faire des immeubles un peu plus hauts (à 5 ou 6
étages) sur des parcelles plus petites, et les entourer de maisons » en individuel aménagé et non en
individuel groupé de promoteurs, commente le Snal. Cela abaisserait le coût des logements et
correspondrait davantage à l'envie des ménages qui, de ce fait, ne s'éloigneraient pas en zone rurale
pour construire en individuel diffus.
« L'individuel diffus se fait sur une parcelle moyenne de 1.200 m2, contre 450 à 550 m2 pour
l'individuel aménagé selon les régions, et au total il consomme quatre fois plus de terres ! », poursuit
le Snal. Depuis six ans, la part de l'individuel en diffus s'est développée au détriment de l'individuel
aménagé de zone périurbaine. L'an dernier, elle représentait respectivement 9.800 hectares et 2.480
hectares . « Le Snal travaille actuellement avec le Grand Lyon pour réintroduire des maisons dans le
plan local d'urbanisme intercommunal car le prix des logements a explosé avec la politique de 100%
logements collectifs », soulignent les aménageurs. Il en est de même à Angers avec un nouveau PLU
et des zones d'aménagement mixte qui commencent à sortir de terre. « Le bilan est très positif, pour
une densité de logements à l'hectare constante », constatent les aménageurs.
Ces derniers réclament parallèlement un prêt à taux zéro plus (PTZ+) plus généreux, leurs clients
étant essentiellement des premiers acheteurs ne disposant que de 10% maximum d'apport personnel.
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3. De fait, les ventes souffrent. Cette année, le Snal prévoit une nouvelle baisse de 10% des ventes de
terrains aménagés (-11% en 2012) et la perte de 4.300 emplois dans le secteur.
Source : LesEchos.fr
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4. Le détecteur de fumée : une obligation encore
méconnue
Le 10/4/2013
Les Français ne sont toujours pas prêts, à un peu plus de 2 ans de la date butoir, à installer
chez eux un détecteur autonome avertisseur de fumée.
Les Français ne sont toujours pas prêts, à un peu plus de 2 ans de la date butoir (8 mars 2015), pour installer
dans chaque logement un détecteur autonome avertisseur de fumée. Franck Desprez/AP/SIPA
Selon le Ministère de l’Egalité des Territoires et du Logement, chaque année en France, les incendies
d'habitation sont à l'origine de 800 décès et 10 000 blessés. Or, 10 % à peine des logements sont
équipés de détecteurs de fumées, selon les informations dévoilées lors du colloque dédié aux
professionnels de l'habitat et de la distribution, organisé par la Fédération Française du Matériel
d'Incendie (FFMI), le Groupement professionnel de la sécurité incendie domestique (GIFSID), et
AFNOR Certification et Calyxis (Pôle d'expertise du risque). « Il y a vraiment urgence à informer et
sensibiliser de façon pédagogique les Français. Aucune campagne nationale de sensibilisation sur les
détecteurs de fumée alors que le décret, les rendant obligatoires, a été publié il y a presque 2 ans,
déjà ! s'étonne Alexandre Chaverot, PDG d'Avidsen. Il y a près de 3 ans, une campagne de
sensibilisation, suite à l'adoption de la loi du 8 mars 2010, avait eu pour effet une rupture de stock
dans les magasins. Ce qui risque à nouveau d'arriver si les pouvoirs publics tardent à communiquer et
si tout le monde attend la dernière minute pour s'équiper ». Grâce à Shane Lyons, directeur
commercial France Ei Electronics, voici nos 3 conseils indispensables avant de s'équiper :
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5. Attention à ne pas acheter n'importe quel détecteur de fumée
Régulièrement, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des
fraudes (DGCCRF) pointe des matériels non-conformes et dangereux. Les détecteurs de fumée
appropriés affichent le logo de la marque NF. Cela signifie qu'ils sont conformes, en plus de la norme
européenne EN 14 604, à la marque NF DAAF. Cette marque est délivrée par AFNOR Certification à
l'issue de contrôles supplémentaires réguliers : elle constitue donc une garantie d'efficacité et de
fiabilité pour le consommateur.
Au moins un DAAF doit être installé dans le logement
Ce dernier doit être placé à moins de 3 mètres d’une chambre afin de respecter la bonne entente (85
décibels) du signal d’alarme en cas d’alerte. Pour éviter un déclenchement intempestif de l’alarme, le
détecteur doit être le plus éloigné possible des vapeurs de cuisine et de la salle de bain, et solidement
fixé au plafond. Ensuite, le détecteur avertisseur de fumée doit être régulièrement entretenu et testé.
Un entretien réalisé par un professionnel n’est nullement nécessaire dès lors que le détecteur est
nettoyé correctement (poussière…). Un changement de la pile alimentant le dispositif est nécessaire
tous les ans ou l’occupant peut opter pour une pile ayant une durée de vie de 10 ans sans
remplacement.
N’installer que des détecteurs de modèle optique
Il existe en effet deux types de détecteurs de fumée : le détecteur ionique (utilisé dans certains pays
comme les Etats-Unis et l’Angleterre, mais interdit en France) et le modèle optique, seul type de
détecteur autorisé en France (tous les DAAF de la norme NF sont optiques). Ils sont les plus récents
et les mieux adaptés aux incendies domestiques car ils réagissent aux incendies à progression lente
qui peuvent couver pendant de nombreuses heures avant de s’enflammer (feux provoqués par une
cigarette…).
Dans les pays déjà équipés de détecteurs de fumée domestiques, le nombre de sinistres mortels a
baissé de manière spectaculaire (plus de 50 % en Grande-Bretagne par exemple). L'équipement de
tous logements avec des appareils fiables est donc un enjeu majeur pour la sécurité des français
.E.J.-B.
Source : LeNouvelObs.com
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6. Immobilier : les acquéreurs ne veulent pas dépenser
plus de 13000 €/m² à Paris
Le 10/4/2013
Selon le site d’annonces Wall-Market.com, au-delà de 13 000 €/m², et dans quelques quartiers
seulement, les acheteurs immobiliers renoncent à investir.
Selon le site d’annonces Wall-Market.com, au-delà de 13 000 €/m², et dans quelques quartiers
seulement, les acheteurs immobiliers renoncent à investir. Wall-Market.com
Jusqu’où les acquéreurs sont-ils prêts à aller pour acheter à Paris ? C’est ce qu’a voulu savoir le site
d’annonces immobilières Wall-Market.com en interrogeant plus de 160 agences immobilières à Paris,
toutes enseignes confondues. En immobilier aussi, il existe un seuil psychologique que les acquéreurs
ne veulent plus franchir. Globalement, les, acheteurs sont conscients du niveau de prix des
arrondissements. Ainsi, le seuil psychologique le plus élevé, à 13 000 €/m², correspond à
l’arrondissement le plus cher, le 6ème. Là, selon les derniers chiffres publiés par la Chambre des
notaires de Paris, le prix médian par mètre carré s’élevait à 12 780 €/m² au 4ème trimestre 2012. Il a
reculé de – 2,9 % par rapport au 3ème trimestre 2012, où il s’élevait à 13 520 €/m². De même dans le
7ème arrondissement : la barrière atteint 12 000 €/m², tandis que le prix médian, en recul de – 4,8 %
était de 11 740 €/m² au 4ème trimestre 2012, contre 12 170 €/m² au 3ème trimestre.
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7. A l’opposé, pas question pour les acquéreurs de dépenser plus de 7 000 €/m² dans les 19ème et
20ème arrondissements, les moins chers de la Capitale. D’ailleurs selon les Notaires, les prix y étaient
respectivement de 6 660 €/m² et 6 900 €/m² au 4ème trimestre 2012. Seul le 20ème avait franchi ce
seuil, à 7 120 €/m² au 3ème trimestre 2012. Dans les autres arrondissements, le budget maximal des
acquéreurs s’accordent avec le niveau médian des transactions constatées par les Notaires. Les
seuils oscillent de 8 000 €/m²pour les 12ème et 13ème arrondissements à 10 000 €/m² pour les 1er,
2ème, 3ème, 4ème, 5ème et 8ème arrondissements, ainsi que les quartiers des 16ème et 17ème
situés côté place de l’Etoile. En revanche, les seuils baissent au fur et à mesure que l’on s’éloigne du
centre de Paris. Ainsi, les zones proches du périphérique des 14ème, 15ème et 16ème
arrondissements plafonnent à 8 500 €/m², contre 10 000 €/m² au nord des arrondissements.
V.G.
Source : LeNouvelObs.com
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8. La demande de crédits immobiliers continue de
baisser
Le 11/4/2013
Plus de la moitié des banques interrogées par la Banque de France ont
observé en mars une baisse de la demande de crédits à l'habitat de la part des
ménages.
Pour 52% des banques interrogés, la demande de crédit à l'habitat a "diminué quelque peu" en mars.
REUTERS/Mal Langsdon
Le marché immobilier ne repart toujours pas. La demande de crédit immobilier des ménages français
a de nouveau connu une baisse en mars, selon l'enquête mensuelle réalisée par la Banque de France
auprès des banques.
Pour 52% des établissements interrogés, la demande de crédit à l'habitat a "diminué quelque peu" en
mars. Elle est restée "à peu près inchangée" pour 32,7% d'entre elles. Une portion minoritaire indique
néanmoins qu'elle a "augmenté quelque peu" (13,2%), voire "augmenté sensiblement" (2,1%). Les
réponses sont pondérées en fonction du poids de chaque banque dans le volume des crédits
accordés.
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9. "La proportion des banques de l'échantillon signalant une baisse de la demande de crédits des
ménages s'accroît en mars. Cette orientation est imputée au recul de la confiance des
consommateurs", souligne la Banque de France. Les critères d'octroi ont été durcis par 9,2% des
banques, les autres indiquant qu'ils n'ont "pratiquement pas changé".
Source : L’Expansion.com
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11. A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :
• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.
• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.
• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18
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