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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
                     Du 8 au 14 Octobre 2012




               LES ARTICLES DE LA SEMAINE
Taxe sur l’immobilier : Arnaud Montebourg suscite la
polémique
Le 8/10/2012




@MAP




                      La revue de Presse KYLIA
                                                   1
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg a indiqué ce dimanche vouloir
taxer les secteurs de l’immobilier et de la banque, pour financer les baisses de charges des
entreprises. Les propositions du ministre ont suscité immédiatement des réactions chez les
professionnels de l’immobilier. Explications.


Interrogé dans le cadre d'une émission Europe1/iTélé/Le Parisien Aujourd'hui en France ce dimanche
sur la question de la compétitivité des entreprises françaises, qui doit faire l'objet début novembre d'un
rapport très attendu de l'ancien président d'EADS, Louis Gallois, le ministre du Redressement
productif, Arnaud Montebourg, a défendu une diminution des « charges ou cotisations sociales pesant
sur les entreprises, en contrepartie de l'investissement des entreprises ».


Or, la question d’un financement de ce dernier mécanisme pose question, le ministre ne souhaitant ni
recourir à la TVA, ni à la CSG « parce que les familles ne peuvent pas y échapper, et donc ce sont
une perte de pouvoir d’achat ».


Le ministre a donc proposé d'utiliser la « fiscalité écologique ». L’idée ? Créer une « taxe carbone
extérieure », qui toucherait les produits importés générant des émissions de CO2.


Arnaud Montebourg a aussi émis l'idée d'«aller chercher les secteurs abrités de l’économie, les
secteurs qui font beaucoup d’argent sans finalement trop se fatiguer », comme le secteur bancaire,
qu’il considère comme « peu concurrentiel, et finalement très profitable », mais aussi l’immobilier.


Toutefois, le Gouvernement a assuré en début de semaine que le schéma de financement n'était pas
encore arrêté. A noter que selon des informations parue dans la presse, le Gouvernement étudierait
une hausse de la CSG pour financer partiellement cette aide à la compétitivité qui pourrait avoisiner
les 40 Md€.


La Fnaim met en garde le Gouvernement
Dans la foulée, cette proposition a fait vivement réagir la Fnaim, qui, par la voix de son président,
Jean-François Buet, s’est dite «inquiète des propositions émises par Arnaud Montebourg». Le
président de la Fédération a rappelé que « ce secteur regroupe déjà à lui seul 30.000 entreprises et
représente plus de 200.000 emplois, sans compter les emplois induits ». Or, « une fiscalité
supplémentaire sur ce secteur engendrerait irrémédiablement une baisse importante de l’activité avec
une incidence immédiate sur l’emploi »,a poursuivi Jean-François Buet.


Source : Batiactu.com




                                       La revue de Presse KYLIA
                                                                                                        2
La taxe foncière a flambé depuis cinq ans
Le 10/10/2012

La taxe foncière sur les logements a augmenté de 21 % en moyenne nationale entre 2006 et fin
2011, soit trois fois plus que l'inflation et l'indice de référence des loyers.




Bloomberg


Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, avait suscité un tollé dimanche chez les
professionnels en proposant, en échange d'une baisse des charges des entreprises, d'alourdir la
fiscalité de l'immobilier. Les collectivités locales, elles, ne s'en sont pas privées ces dernières années.
La taxe foncière sur les propriétés bâties (qui va aux départements et aux communes) a ainsi
augmenté de 21 % en moyenne nationale entre 2006 et fin 2011, soit trois fois plus que l'inflation, que
l'indice de référence des loyers ou encore que la revalorisation des retraites du régime général, selon
une étude de l'Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi).




                                        La revue de Presse KYLIA
                                                                                                         3
Les logements étant des biens non délocalisables, ils sont donc faciles à taxer. Résultat : « L'impôt
foncier pèse de plus en plus sur le budget des ménages propriétaires, allant jusqu'à représenter
parfois l'équivalent de trois mois de loyer, de salaire ou de retraite », commente l'Unpi, qui représente
les petits bailleurs privés. A fin 2011, le taux moyen national de taxe foncière atteignait 35,65 % (hors
taxes additionnelles pour équipement et enlèvement des ordures ménagères).


Quasiment un an de loyer


L'assiette de la taxe foncière est la valeur locative, c'est-à-dire l'estimation par les communes du loyer
annuel de l'habitation concernée. Le taux proprement dit ne suffit donc pas à juger du poids de la taxe.
« Aujourd'hui, certains propriétaires, qu'ils soient bailleurs ou occupants, finissent par verser à l'Etat
quasiment l'équivalent d'un loyer annuel, quand on additionne les diverses charges : la taxe foncière
(35% de la valeur locative soit quatre mois de loyer), la taxe d'habitation, la TVA sur les travaux
obligatoires d'entretien et de mise aux normes, etc. », s'insurge Jean Perrin, président de l'Unpi.


La hausse rapide de la taxe foncière reflète les besoins financiers croissants des départements, qui
ont des charges liées à la décentralisation, et des communes, dont les recettes liées aux droits de
mutation fondent avec la chute du nombre de transactions immobilières. Par ailleurs, « augmenter la
taxe d'habitation est politiquement bien plus difficile, donc on touche à la taxe foncière, qui n'affecte
que les propriétaires, remarque Jean Perrin. Depuis cinq ans, les taxes foncières augmentent deux
fois plus vite que la taxe d'habitation ».


Hausses supérieures à 30 %


Parmi les 50 plus grandes villes de France, c'est Paris qui détient la palme de la plus forte hausse de
la taxe foncière entre 2006 et fin 2011 (+68%), du fait de l'introduction d'une taxe départementale en
2009. Dans trois autres villes, la taxe foncière a augmenté de plus de 30% : à Argenteuil (+ 34,79 %),
Nantes (+ 30,64 %) et Saint-Denis en Seine-Saint-Denis (+ 30,15 %). Certaines grandes villes ont en
revanche connu depuis cinq ans des hausses de taxe inférieures à la moyenne, comme Toulouse (+
18,42 %), Marseille (+ 15,34 %), Lyon (+ 15,11 %), Strasbourg et Bordeaux (+14% chacune). Les
hausses les plus faibles sont à Aix-en-Provence (+ 10,44 %), Reims (+ 10,49 %), Nîmes (+ 11,34 %)
et Orléans (+ 11,98 %).


Mais l'évolution doit être jugée en fonction du taux de taxe existant. Ainsi, Nîmes et Orléans n'ont pas
grand mérite à modérer leur hausse : leurs taux de taxe foncière figurent à la fin de 2011 parmi les
plus élevés (respectivement 52,9 % et 45,6 %). Et si la taxe a explosé à Paris, elle reste une des plus
basses de France (13,5 % fin 2011). A Aix-en-Provence, en revanche, où la hausse est la plus faible,
le taux de la taxe de 2011 reste bas (32,69 % pour une moyenne nationale de 35,65 %).



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Sur les 50 communes les plus peuplées de France, le taux de taxe foncière s'élève, en moyenne, à
39,70 %, soit quatre points de plus que la moyenne nationale. Amiens a le taux de taxe foncière le
plus élevé en 2011 (54,5%). Grenoble arrive en deuxième position (54%), suivie de Caen (53%) et
Angers (52,9%). De l'autre côté du spectre, le taux le plus bas en 2011 est à Courbevoie (12,1%).
Dans trois autres villes franciliennes, le taux de taxe foncière est également inférieur à 20 % : Paris
(13,5%), Boulogne-Billancourt (14,4%), et Nanterre (18,8%).


France entière, la palme 2011 de la plus forte taxe foncière est détenue par Fontanes-de-Sault, dans
l'Aude (98,8% !). A l'inverse, les taux de taxe foncière les plus faibles ont été constatés à Neuilly-sur-
Seine dans les Hauts-de-Seine (9,98 %), et à Thiverval-Grignon dans les Yvelines (10,48 %).


Source : LesEchos.fr




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                                                                                                        5
Immobilier: une taxe pour les ventes au-delà du
million d'euros?
Le 10/10/2012


Un amendement au budget 2013 qui va dans ce sens a été déposé par trois députés
socialistes. Avec pour objectif de trouver de nouveaux fonds pour lutter contre l'habitat
indigne.




Trois députés socialistes veulent taxer les biens immobiliers vendus plus d'un million d'euros. (AFP)


Le député PS Mathieu Hanotin (Seine-Saint-Denis) veut taxer les ventes immobilières de luxe,
supérieures à un million d'euros, pour augmenter les ressources affectées à la lutte contre l'habitat
indigne, dans le cadre du projet de budget 2013, a-t-il indiqué mercredi 10 octobre à l'AFP.


Avec deux de ses collègues socialistes, Régis Juanico (Loire) et Audrey Linkenheld (Nord), ce jeune
député souhaite, via un amendement, taxer les acheteurs des biens immobiliers supérieurs à un
million d'euros, sous forme de contribution exceptionnelle aux droits de mutation.


Le produit de cette taxe serait affecté pour moitié à l'ANRU (Agence nationale pour la rénovation
urbaine) et pour moitié à l'Anah (amélioration de l'habitat privé) afin d'apporter "des ressources




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nouvelles pour financer une politique urgente". Il existe environ 600.000 logements insalubres en
France.


"Il s'agit de taxer de la rente", a expliqué Mathieu Hanotin. Cette contribution des plus fortunés
"représenterait 7 à 8.000 personnes et pourrait rapporter plusieurs millions d'euros", a précisé ce vice-
président du conseil général de Seine-Saint-Denis.


Une taxe de 1% à 10%


Cette taxe "porterait en grande partie sur des personnes profitant des infrastructures de notre pays,
dotées de très importantes ressources et qui ne payent pas d’impôts directs en France": pour les
biens supérieurs à 5 millions d'euros, la moitié des acquéreurs ne vivent pas en France et 85% des
acheteurs de biens supérieurs à 10 millions d'euros ne sont pas Français, selon les auteurs de
l'amendement.


Selon le dispositif envisagé, les biens vendus entre 1 et 2 millions d'euros se verraient taxer à hauteur
de 1%, ceux vendus entre 3 à 4 millions à hauteur de 2% et la taxe irait jusqu'à 10% pour les ventes
supérieures à 10 millions d'euros.


"Il est envisageable qu'on observe un tassement du marché vers le bas mais ce serait de toute
manière une bonne chose si cette taxe pouvait contribuer à faire diminuer ou au moins à freiner
l'expansion de ce qu'il faut bien qualifier de bulle immobilière", écrivent les trois députés PS.


Cet amendement sera présenté dans le cadre du projet de loi de Finances 2013, qui est examiné
mercredi en commission des Finances et débattu en séance à compter du 16 octobre.


Source : Challenges.fr




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Immobilier : un crédit toujours possible à 60 ans
Le 11/10/2012


Afin de compléter leurs revenus certains investissent à la retraite dans l'immobilier locatif.
Quelles sont les conditions d’emprunt ?


Les banques sont frileuses... mais pas quand les emprunteurs présentent de solides garanties. C'est
justement le cas des investisseurs et l'âge n'est plus un obstacle. Certes le coût de l'assurance fait un
peu grimper la facture, mais rien de prohibitif (voir tableau ci-dessous).


Jusqu'à 200.000 euros, une déclaration de bonne santé suffit. Pour un montant plus important, les
formalités médicales seront plus étendues précise le courtier en crédit Cafpi. Il est même possible de
financer l'opération jusqu'à 110 % l'idéal étant un apport couvrant aux moins les frais de garantie et de
dossier.




Source : CAFPI


Source :LesEchos.fr




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                                                                                                       8
Le       programme                    de       rénovation                 des         logements
énergétivores peine à démarrer
Le 11/10/2012

L'Agence nationale de l'habitat a financé l'isolation thermique de 6.336 logements. On est loin
du rythme fixé par le Grenelle, mais l'implication des élus a fortement progressé.


La tâche est ardue, assurer la rénovation thermique de 300.000 logements habités par des
propriétaires démunis d'ici à 2017, mais les structures sont en place. L'Agence nationale de l'habitat
(Anah) a annoncé hier que les communes françaises sont en totalité couvertes par un contrat local ou
un protocole permettant aux habitants de demander des aides.


Le programme Habiter mieux, destiné à identifier, puis à aider les propriétaires-occupants modestes,
a permis depuis le début de l'année la rénovation de 6.336 logements sur toute la France (13.027
depuis son démarrage en 2011). Traditionnellement, les organismes de logements sociaux sont
habitués à négocier des mécanismes d'aide avec les pouvoirs publics. Mais les propriétaires
occupants aux ressources modestes (1.200 euros par mois pour un ménage de deux personnes en
moyenne aidées par l'Anah) ne savent pas, eux, comment s'y prendre.


La faiblesse des résultats traduit le temps qu'il a fallu pour mettre les collectivités locales autour de la
table aux côtés de l'Agence. En Midi-Pyrénées, par exemple, la région octroie dorénavant un éco-
chèque de 1.500 euros pour chaque rénovation. Le Limousin a choisi quant à lui de financer les
diagnostics énergétiques et aide les travaux, mais uniquement s'ils assurent un gain de 40 %
d'efficacité énergétique.


Trouver des candidats


« Le secteur de l'habitat représente 34 % de la consommation énergétique régionale, dont 25 %
uniquement par la consommation de l'habitat individuel. De plus en plus, de nos concitoyens n'ont le
choix qu'entre avoir froid ou se ruiner en chauffage, c'est intolérable », martèle Jacques Auxiette,
                                                                                      e
président des Pays de la Loire. La région a fêté en mai dernier son 3.000                 bénéficiaire d'aide
régionale aux économies d'énergie chez les particuliers. Elle peut aller jusqu'à 9.000 euros pour les
plus pauvres.


Les élus ont également appris à chasser ensemble. L'Allier accorde une aide si les communautés de
communes participent elles aussi. D'autres ont enfin choisi de cibler à hauteur de 1.000 euros les très




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modestes comme dans le Loir-et-Cher. Reste à trouver les candidats. Dans les zones rurales, par
exemple, les Côtes-d'Armor et l'Anah se sont dotées d'une camionnette itinérante « Au bon
logement » qui se déplace sur les marchés pour aller au contact de la population. A Nancy, la ville a
appris à croiser les fichiers de GDF avec les cartes des logements anciens les plus gourmands en
énergie.


Source : LesEchos.fr




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                                                                                                  10
Logements sociaux : le projet de loi adopté dans la
douleur
Le 11/10/2012


Le texte, qui prévoit la construction de 110.000 logements d'ici 2016, a été l'objet d'âpres
négociations au Sénat avant d'être adopté par l'Assemblée.




Le projet de loi a été porté par Cécile Duflot. (MOUSSE-POOL/SIPA)


Le projet de loi sur le logement social a été définitivement adopté mercredi 10 octobre, via un ultime
vote de l'Assemblée nationale. Porté par la ministre du Logement Cécile Duflot, ce texte prévoit la
cession à bas prix, voire gratuite, de terrains publics pour la construction de logements sociaux et
l'augmentation du taux minimal d'habitat social dans les communes.


Sans surprise, les partis de gauche ont voté ce texte jugé prioritaire par le gouvernement tandis que
les centristes de l'UDI et l'UMP ont voté contre.


La veille, l'approbation du Sénat n'avait pu être obtenue qu'après d'âpres négociations en coulisse
avec les radicaux (le Rassemblement démocratique et social européen, RDSE) qui menaçait de
s'abstenir.




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Ces derniers étaient en effet vent debout contre un amendement écologiste voté en première lecture
par les députés, qui instaure un taux minimum obligatoire de 10% de logements sociaux dans les
communes de 1.500 à 3.500 habitants faisant partie d'une agglomération de 50.000 habitants hors Ile-
de-France.


Un "grand machin administratif inapplicable" ?


La nouvelle loi, préparée par la ministre écologiste Cécile Duflot, devrait permettre la construction de
110.000 logements sur des terrains publics, dont la moitié en Ile-de-France, d'ici 2016.


Elle prévoit une décote des terrains de l'Etat en faveur du logement social qui peut aller jusqu'à 100%.
Ainsi qu'un durcissement de la loi SRU (Solidarité et Rénovation urbaine) avec le relèvement de 20 à
25% du taux obligatoire communal de logements sociaux dans les communes de plus de 3.500
habitants qui devra être réalisé d'ici 2025. De même, il est prévu une multiplication par cinq des
pénalités.


Un texte vivement critiqué par François de Mazières (apparenté UMP) : "Dans le catalogue des
grands machins administratifs inapplicables, votre loi figurera certainement en bonne place !", s'est-il
exclamé.


Comme les sénateurs du RDSE la veille, il a dénoncé l'obligation de construire au moins 10%
de logements sociaux pour les communes de 1.500 à 3.500 habitants situées dans une agglomération
de plus de 50.000 habitants. "Une mesure présentée en séance de nuit, sans consultation des
associations de maires, sans étude d'impact", a-t-il affirmé.


Le centriste Jean-Christophe Fromantin (UDI) a pour sa part "regretté que tous les leviers du
logement social n'aient pas été pris en compte, notamment celui d'une gestion dynamique du parc
HLM qui aurait pu favoriser l'accession à la propriété en accélérant le mouvement de ventes de ce
parc de logements".


"Au travail, madame la ministre !"


L'écologiste Michèle Bonneton a elle dit "voter avec enthousiasme" le texte de Cécile Duflot. "Il était
temps de rompre avec la politique du logement menée depuis dix ans", a-t-elle déclaré. De même, la
socialiste Annick Lepetit a salué "un souffle nouveau pour le logement" qui "va permettre d'augmenter
la mixité sociale et territoriale". "C'est une première étape qui pose les bases d'une politique
volontariste", a-t-elle souligné.




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André Chassaigne, au nom des élus Front de gauche, a pour sa part mis en avant un soutien
beaucoup plus critique. Il a insisté sur "l'apport" des parlementaires du Front de gauche qui ont
"musclé" le texte, notamment en faisant voter l'obligation, pour les communes faisant l'objet de constat
de carence, de construire un minimum de 30% d'habitats sociaux.


De même, a-t-il souligné, les amendements visant à la mise en oeuvre de la taxation du logement
vacant ou sa réquisition. "30 à 40.000 logements pourraient ainsi être réquisitionnés. A l'approche de
l'hiver, c'est appréciable", a fait valoir l'élu du Puy-de-Dôme avant d'ajouter : "Au travail, madame la
ministre !" et de lui demander : "Mettrez-vous en oeuvre la réquisition des logements vides que
rendent possibles nos amendements?


Source : LeNouvelObs.com




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Pour l'immobilier, la solution de la donation
Le 12/10/2012


Comment léguer vos biens en douceur et à moindres frais.


C'est bien souvent lorsqu'ils arrivent à l'âge de la retraite que les parents commencent à se
préoccuper de la transmission de leur patrimoine immobilier. Avec un double objectif : s'y prendre à
l'avance pour préserver l'équilibre de la famille, d'une part. Réduire le coût de la transmission, d'autre
part. « La fiscalité encourage à transmettre ses biens le plus tôt possible. Mais avec la problématique
de l'allongement de la durée de vie, cela nécessite d'être prudent », prévient d'emblée Xavier
Boutiron, notaire chez Cheuvreux Notaires.


Uniquement la nue-propriété


La solution ? Plutôt que de consentir une donation en pleine propriété à ses enfants et de perdre la
propriété des biens, on peut ne leur donner que la nue-propriété et se réserver l'usufruit.
Concrètement, si la donation porte sur une résidence principale ou secondaire, cela permet de
continuer à y habiter. Si elle concerne un logement donné en location, cela permet de continuer à
percevoir les loyers. Revers de la médaille ? « Le démembrement de propriété restreint le droit de
vente de l'usufruitier qui ne pourra pas vendre le bien sans l'accord des nus-propriétaires. Cela peut
aussi poser des problèmes s'il faut faire des grosses réparations et au final cela risque de compliquer
les relations entre parents et enfants », souligne Xavier Boutiron. Autre inconvénient majeur :
l'usufruitier reste imposable sur la pleine propriété du bien.


Une fiscalité avantageuse


Mais, en contrepartie, cette opération est très intéressante car elle permet de réduire significativement
la base de calcul des droits de donation : ils ne sont calculés que sur la valeur de la nue-propriété, par
définition plus faible que celle de la pleine propriété. Cette valeur est déterminée à partir d'un barème
qui dépend de l'âge du donateur au jour de la donation (voir ci-dessus). Exemple : un père âgé de 62
ans donne par donation-partage la nue-propriété d'un appartement d'une valeur de 300.000 euros à
ses deux enfants ; les droits de donation seront calculés sur 180.000 euros (60 % de 300.000 euros).
Or, compte tenu de l'abattement de 100.000 euros applicable entre parents et enfants (deux fois
100.000 euros), la donation n'est pas taxable. Et au décès de leur père, les enfants vont récupérer la
pleine propriété du bien sans droit de succession supplémentaire à payer sur la valeur de l'usufruit.




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Prévoir une réversion d'usufruit


Dans le cas d'une donation avec réserve d'usufruit consentie aux enfants, y compris une donation
partage, il est prudent de prévoir une réversion d'usufruit au profit du conjoint survivant pour lui
permettre de conserver la jouissance des biens donnés jusqu'à son décès. « Fiscalement aussi, cette
opération est intéressante car la réversion au profit du conjoint ou partenaire n'est pas taxée », conclut
Xavier Boutiron.


Source : LesEchos.fr




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                                                                                                       15
Loyers : l'indice de référence fléchit légèrement au
troisième trimestre
Le 12/10/2012


L'indice de référence des loyers (IRL), utilisé pour les révisions annuelles des loyers
d'habitation, a augmenté de 2,15 % en rythme annuel au 3ème trimestre 2012. En léger repli par
rapport à la première partie de l'année.




AFP


Même minime, la nouvelle réjouira sans doute les locataires. Publié ce vendredi matin par l'Insee,
l'indice de référence des loyers atteint 123,55 au troisième trimestre. Ce qui correspond à une légère
décrue en rythme annuel par rapport aux trimestres précédents. . Sur un an l'augmentation sur les
douze derniers mois atteint en effet 2,15 %.au troisième trimestre se rapprochant ainsi du rythme qui
était le sien à la fin de 2011.




                                      La revue de Presse KYLIA
                                                                                                   16
Au cours du premier semestre de 2012 en effet, dans le sillage de l'inflation, le rythme de hausse de
l'indice des loyers avait accéléré, culminant à 2,24 %.


Une évolution qui semble conforte la récente étude de l'observatoire Clameur qui estimait début
septembre qu'au final l'augmentation des loyers des nouveaux baux dans le parc immobilier privé
devrait rester inférieure à l'inflation sur un an. Elle ne devrait pas, selon cette étude, dépasser 1,5%
sur l'ensemble de 2012.


Source : LesEchos.fr




                                       La revue de Presse KYLIA
                                                                                                     17
L'immobilier fait les choux gras de la Ville de Paris

Le 12/10/2012


La capitale devrait encaisser 1,1 milliard d'euros de droits de mutation en 2012.




PARIS- La Ville de Paris prévoit d'encaisser 1,094 milliard d'euros au titre des droits de mutation (taxes sur les transactions
immobilières) en 2012, un nouveau record. REUTERS/Mal Langsdon


Les prix de l'immobilier n'en finissent pas de grimper à Paris. De quoi réjouir la Ville qui prévoit
d'encaisser 1,094 milliard d'euros au titre des droits de mutation (taxes sur les transactions
immobilières) en 2012, un nouveau record, a affirmé jeudi le maire adjoint en charge du Budget,
Bernard Gaudillère. Ces droits avaient pour la première fois légèrement dépassé le milliard d'euros en
2011.


Les élus UMP du Conseil de Paris ont proposé jeudi d'utiliser la moitié de ce pactole pour les prêter à
la Société du Grand Paris pour l'aider à construire le Grand Paris Express. Dans un voeu qu'il
soumettra au vote des élus du Conseil de Paris la semaine prochaine, le groupe UMPPA (Union pour
une majorité de progrès à Paris et apparentés) rappelle que le projet de loi de programmation
pluriannuelle des finances publiques ne prévoit pour l'instant aucune dotation financière pour la SGP,
qui a besoin d'un milliard d'euros à partir de 2015 pour lever des emprunts.




                                               La revue de Presse KYLIA
                                                                                                                           18
Cette proposition n'est "pas sérieuse, pas travaillée", a réagi la première adjointe du maire de Paris,
Anne Hidalgo. "L'essentiel des droits de mutation a une fonction très précise depuis 2001, c'est de
financer nos investissements (...) Si nous rompons avec cette politique, l'endettement va exploser", a
de son côté expliqué Bernard Gaudillère.


Source : L’Expansion.com




                                      La revue de Presse KYLIA
                                                                                                    19
A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :

• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.

• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.

• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !


Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39




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Revue de presse de la semaine 41 2012

  • 1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 8 au 14 Octobre 2012 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Taxe sur l’immobilier : Arnaud Montebourg suscite la polémique Le 8/10/2012 @MAP La revue de Presse KYLIA 1
  • 2. Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg a indiqué ce dimanche vouloir taxer les secteurs de l’immobilier et de la banque, pour financer les baisses de charges des entreprises. Les propositions du ministre ont suscité immédiatement des réactions chez les professionnels de l’immobilier. Explications. Interrogé dans le cadre d'une émission Europe1/iTélé/Le Parisien Aujourd'hui en France ce dimanche sur la question de la compétitivité des entreprises françaises, qui doit faire l'objet début novembre d'un rapport très attendu de l'ancien président d'EADS, Louis Gallois, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a défendu une diminution des « charges ou cotisations sociales pesant sur les entreprises, en contrepartie de l'investissement des entreprises ». Or, la question d’un financement de ce dernier mécanisme pose question, le ministre ne souhaitant ni recourir à la TVA, ni à la CSG « parce que les familles ne peuvent pas y échapper, et donc ce sont une perte de pouvoir d’achat ». Le ministre a donc proposé d'utiliser la « fiscalité écologique ». L’idée ? Créer une « taxe carbone extérieure », qui toucherait les produits importés générant des émissions de CO2. Arnaud Montebourg a aussi émis l'idée d'«aller chercher les secteurs abrités de l’économie, les secteurs qui font beaucoup d’argent sans finalement trop se fatiguer », comme le secteur bancaire, qu’il considère comme « peu concurrentiel, et finalement très profitable », mais aussi l’immobilier. Toutefois, le Gouvernement a assuré en début de semaine que le schéma de financement n'était pas encore arrêté. A noter que selon des informations parue dans la presse, le Gouvernement étudierait une hausse de la CSG pour financer partiellement cette aide à la compétitivité qui pourrait avoisiner les 40 Md€. La Fnaim met en garde le Gouvernement Dans la foulée, cette proposition a fait vivement réagir la Fnaim, qui, par la voix de son président, Jean-François Buet, s’est dite «inquiète des propositions émises par Arnaud Montebourg». Le président de la Fédération a rappelé que « ce secteur regroupe déjà à lui seul 30.000 entreprises et représente plus de 200.000 emplois, sans compter les emplois induits ». Or, « une fiscalité supplémentaire sur ce secteur engendrerait irrémédiablement une baisse importante de l’activité avec une incidence immédiate sur l’emploi »,a poursuivi Jean-François Buet. Source : Batiactu.com La revue de Presse KYLIA 2
  • 3. La taxe foncière a flambé depuis cinq ans Le 10/10/2012 La taxe foncière sur les logements a augmenté de 21 % en moyenne nationale entre 2006 et fin 2011, soit trois fois plus que l'inflation et l'indice de référence des loyers. Bloomberg Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, avait suscité un tollé dimanche chez les professionnels en proposant, en échange d'une baisse des charges des entreprises, d'alourdir la fiscalité de l'immobilier. Les collectivités locales, elles, ne s'en sont pas privées ces dernières années. La taxe foncière sur les propriétés bâties (qui va aux départements et aux communes) a ainsi augmenté de 21 % en moyenne nationale entre 2006 et fin 2011, soit trois fois plus que l'inflation, que l'indice de référence des loyers ou encore que la revalorisation des retraites du régime général, selon une étude de l'Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi). La revue de Presse KYLIA 3
  • 4. Les logements étant des biens non délocalisables, ils sont donc faciles à taxer. Résultat : « L'impôt foncier pèse de plus en plus sur le budget des ménages propriétaires, allant jusqu'à représenter parfois l'équivalent de trois mois de loyer, de salaire ou de retraite », commente l'Unpi, qui représente les petits bailleurs privés. A fin 2011, le taux moyen national de taxe foncière atteignait 35,65 % (hors taxes additionnelles pour équipement et enlèvement des ordures ménagères). Quasiment un an de loyer L'assiette de la taxe foncière est la valeur locative, c'est-à-dire l'estimation par les communes du loyer annuel de l'habitation concernée. Le taux proprement dit ne suffit donc pas à juger du poids de la taxe. « Aujourd'hui, certains propriétaires, qu'ils soient bailleurs ou occupants, finissent par verser à l'Etat quasiment l'équivalent d'un loyer annuel, quand on additionne les diverses charges : la taxe foncière (35% de la valeur locative soit quatre mois de loyer), la taxe d'habitation, la TVA sur les travaux obligatoires d'entretien et de mise aux normes, etc. », s'insurge Jean Perrin, président de l'Unpi. La hausse rapide de la taxe foncière reflète les besoins financiers croissants des départements, qui ont des charges liées à la décentralisation, et des communes, dont les recettes liées aux droits de mutation fondent avec la chute du nombre de transactions immobilières. Par ailleurs, « augmenter la taxe d'habitation est politiquement bien plus difficile, donc on touche à la taxe foncière, qui n'affecte que les propriétaires, remarque Jean Perrin. Depuis cinq ans, les taxes foncières augmentent deux fois plus vite que la taxe d'habitation ». Hausses supérieures à 30 % Parmi les 50 plus grandes villes de France, c'est Paris qui détient la palme de la plus forte hausse de la taxe foncière entre 2006 et fin 2011 (+68%), du fait de l'introduction d'une taxe départementale en 2009. Dans trois autres villes, la taxe foncière a augmenté de plus de 30% : à Argenteuil (+ 34,79 %), Nantes (+ 30,64 %) et Saint-Denis en Seine-Saint-Denis (+ 30,15 %). Certaines grandes villes ont en revanche connu depuis cinq ans des hausses de taxe inférieures à la moyenne, comme Toulouse (+ 18,42 %), Marseille (+ 15,34 %), Lyon (+ 15,11 %), Strasbourg et Bordeaux (+14% chacune). Les hausses les plus faibles sont à Aix-en-Provence (+ 10,44 %), Reims (+ 10,49 %), Nîmes (+ 11,34 %) et Orléans (+ 11,98 %). Mais l'évolution doit être jugée en fonction du taux de taxe existant. Ainsi, Nîmes et Orléans n'ont pas grand mérite à modérer leur hausse : leurs taux de taxe foncière figurent à la fin de 2011 parmi les plus élevés (respectivement 52,9 % et 45,6 %). Et si la taxe a explosé à Paris, elle reste une des plus basses de France (13,5 % fin 2011). A Aix-en-Provence, en revanche, où la hausse est la plus faible, le taux de la taxe de 2011 reste bas (32,69 % pour une moyenne nationale de 35,65 %). La revue de Presse KYLIA 4
  • 5. Sur les 50 communes les plus peuplées de France, le taux de taxe foncière s'élève, en moyenne, à 39,70 %, soit quatre points de plus que la moyenne nationale. Amiens a le taux de taxe foncière le plus élevé en 2011 (54,5%). Grenoble arrive en deuxième position (54%), suivie de Caen (53%) et Angers (52,9%). De l'autre côté du spectre, le taux le plus bas en 2011 est à Courbevoie (12,1%). Dans trois autres villes franciliennes, le taux de taxe foncière est également inférieur à 20 % : Paris (13,5%), Boulogne-Billancourt (14,4%), et Nanterre (18,8%). France entière, la palme 2011 de la plus forte taxe foncière est détenue par Fontanes-de-Sault, dans l'Aude (98,8% !). A l'inverse, les taux de taxe foncière les plus faibles ont été constatés à Neuilly-sur- Seine dans les Hauts-de-Seine (9,98 %), et à Thiverval-Grignon dans les Yvelines (10,48 %). Source : LesEchos.fr La revue de Presse KYLIA 5
  • 6. Immobilier: une taxe pour les ventes au-delà du million d'euros? Le 10/10/2012 Un amendement au budget 2013 qui va dans ce sens a été déposé par trois députés socialistes. Avec pour objectif de trouver de nouveaux fonds pour lutter contre l'habitat indigne. Trois députés socialistes veulent taxer les biens immobiliers vendus plus d'un million d'euros. (AFP) Le député PS Mathieu Hanotin (Seine-Saint-Denis) veut taxer les ventes immobilières de luxe, supérieures à un million d'euros, pour augmenter les ressources affectées à la lutte contre l'habitat indigne, dans le cadre du projet de budget 2013, a-t-il indiqué mercredi 10 octobre à l'AFP. Avec deux de ses collègues socialistes, Régis Juanico (Loire) et Audrey Linkenheld (Nord), ce jeune député souhaite, via un amendement, taxer les acheteurs des biens immobiliers supérieurs à un million d'euros, sous forme de contribution exceptionnelle aux droits de mutation. Le produit de cette taxe serait affecté pour moitié à l'ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) et pour moitié à l'Anah (amélioration de l'habitat privé) afin d'apporter "des ressources La revue de Presse KYLIA 6
  • 7. nouvelles pour financer une politique urgente". Il existe environ 600.000 logements insalubres en France. "Il s'agit de taxer de la rente", a expliqué Mathieu Hanotin. Cette contribution des plus fortunés "représenterait 7 à 8.000 personnes et pourrait rapporter plusieurs millions d'euros", a précisé ce vice- président du conseil général de Seine-Saint-Denis. Une taxe de 1% à 10% Cette taxe "porterait en grande partie sur des personnes profitant des infrastructures de notre pays, dotées de très importantes ressources et qui ne payent pas d’impôts directs en France": pour les biens supérieurs à 5 millions d'euros, la moitié des acquéreurs ne vivent pas en France et 85% des acheteurs de biens supérieurs à 10 millions d'euros ne sont pas Français, selon les auteurs de l'amendement. Selon le dispositif envisagé, les biens vendus entre 1 et 2 millions d'euros se verraient taxer à hauteur de 1%, ceux vendus entre 3 à 4 millions à hauteur de 2% et la taxe irait jusqu'à 10% pour les ventes supérieures à 10 millions d'euros. "Il est envisageable qu'on observe un tassement du marché vers le bas mais ce serait de toute manière une bonne chose si cette taxe pouvait contribuer à faire diminuer ou au moins à freiner l'expansion de ce qu'il faut bien qualifier de bulle immobilière", écrivent les trois députés PS. Cet amendement sera présenté dans le cadre du projet de loi de Finances 2013, qui est examiné mercredi en commission des Finances et débattu en séance à compter du 16 octobre. Source : Challenges.fr La revue de Presse KYLIA 7
  • 8. Immobilier : un crédit toujours possible à 60 ans Le 11/10/2012 Afin de compléter leurs revenus certains investissent à la retraite dans l'immobilier locatif. Quelles sont les conditions d’emprunt ? Les banques sont frileuses... mais pas quand les emprunteurs présentent de solides garanties. C'est justement le cas des investisseurs et l'âge n'est plus un obstacle. Certes le coût de l'assurance fait un peu grimper la facture, mais rien de prohibitif (voir tableau ci-dessous). Jusqu'à 200.000 euros, une déclaration de bonne santé suffit. Pour un montant plus important, les formalités médicales seront plus étendues précise le courtier en crédit Cafpi. Il est même possible de financer l'opération jusqu'à 110 % l'idéal étant un apport couvrant aux moins les frais de garantie et de dossier. Source : CAFPI Source :LesEchos.fr La revue de Presse KYLIA 8
  • 9. Le programme de rénovation des logements énergétivores peine à démarrer Le 11/10/2012 L'Agence nationale de l'habitat a financé l'isolation thermique de 6.336 logements. On est loin du rythme fixé par le Grenelle, mais l'implication des élus a fortement progressé. La tâche est ardue, assurer la rénovation thermique de 300.000 logements habités par des propriétaires démunis d'ici à 2017, mais les structures sont en place. L'Agence nationale de l'habitat (Anah) a annoncé hier que les communes françaises sont en totalité couvertes par un contrat local ou un protocole permettant aux habitants de demander des aides. Le programme Habiter mieux, destiné à identifier, puis à aider les propriétaires-occupants modestes, a permis depuis le début de l'année la rénovation de 6.336 logements sur toute la France (13.027 depuis son démarrage en 2011). Traditionnellement, les organismes de logements sociaux sont habitués à négocier des mécanismes d'aide avec les pouvoirs publics. Mais les propriétaires occupants aux ressources modestes (1.200 euros par mois pour un ménage de deux personnes en moyenne aidées par l'Anah) ne savent pas, eux, comment s'y prendre. La faiblesse des résultats traduit le temps qu'il a fallu pour mettre les collectivités locales autour de la table aux côtés de l'Agence. En Midi-Pyrénées, par exemple, la région octroie dorénavant un éco- chèque de 1.500 euros pour chaque rénovation. Le Limousin a choisi quant à lui de financer les diagnostics énergétiques et aide les travaux, mais uniquement s'ils assurent un gain de 40 % d'efficacité énergétique. Trouver des candidats « Le secteur de l'habitat représente 34 % de la consommation énergétique régionale, dont 25 % uniquement par la consommation de l'habitat individuel. De plus en plus, de nos concitoyens n'ont le choix qu'entre avoir froid ou se ruiner en chauffage, c'est intolérable », martèle Jacques Auxiette, e président des Pays de la Loire. La région a fêté en mai dernier son 3.000 bénéficiaire d'aide régionale aux économies d'énergie chez les particuliers. Elle peut aller jusqu'à 9.000 euros pour les plus pauvres. Les élus ont également appris à chasser ensemble. L'Allier accorde une aide si les communautés de communes participent elles aussi. D'autres ont enfin choisi de cibler à hauteur de 1.000 euros les très La revue de Presse KYLIA 9
  • 10. modestes comme dans le Loir-et-Cher. Reste à trouver les candidats. Dans les zones rurales, par exemple, les Côtes-d'Armor et l'Anah se sont dotées d'une camionnette itinérante « Au bon logement » qui se déplace sur les marchés pour aller au contact de la population. A Nancy, la ville a appris à croiser les fichiers de GDF avec les cartes des logements anciens les plus gourmands en énergie. Source : LesEchos.fr La revue de Presse KYLIA 10
  • 11. Logements sociaux : le projet de loi adopté dans la douleur Le 11/10/2012 Le texte, qui prévoit la construction de 110.000 logements d'ici 2016, a été l'objet d'âpres négociations au Sénat avant d'être adopté par l'Assemblée. Le projet de loi a été porté par Cécile Duflot. (MOUSSE-POOL/SIPA) Le projet de loi sur le logement social a été définitivement adopté mercredi 10 octobre, via un ultime vote de l'Assemblée nationale. Porté par la ministre du Logement Cécile Duflot, ce texte prévoit la cession à bas prix, voire gratuite, de terrains publics pour la construction de logements sociaux et l'augmentation du taux minimal d'habitat social dans les communes. Sans surprise, les partis de gauche ont voté ce texte jugé prioritaire par le gouvernement tandis que les centristes de l'UDI et l'UMP ont voté contre. La veille, l'approbation du Sénat n'avait pu être obtenue qu'après d'âpres négociations en coulisse avec les radicaux (le Rassemblement démocratique et social européen, RDSE) qui menaçait de s'abstenir. La revue de Presse KYLIA 11
  • 12. Ces derniers étaient en effet vent debout contre un amendement écologiste voté en première lecture par les députés, qui instaure un taux minimum obligatoire de 10% de logements sociaux dans les communes de 1.500 à 3.500 habitants faisant partie d'une agglomération de 50.000 habitants hors Ile- de-France. Un "grand machin administratif inapplicable" ? La nouvelle loi, préparée par la ministre écologiste Cécile Duflot, devrait permettre la construction de 110.000 logements sur des terrains publics, dont la moitié en Ile-de-France, d'ici 2016. Elle prévoit une décote des terrains de l'Etat en faveur du logement social qui peut aller jusqu'à 100%. Ainsi qu'un durcissement de la loi SRU (Solidarité et Rénovation urbaine) avec le relèvement de 20 à 25% du taux obligatoire communal de logements sociaux dans les communes de plus de 3.500 habitants qui devra être réalisé d'ici 2025. De même, il est prévu une multiplication par cinq des pénalités. Un texte vivement critiqué par François de Mazières (apparenté UMP) : "Dans le catalogue des grands machins administratifs inapplicables, votre loi figurera certainement en bonne place !", s'est-il exclamé. Comme les sénateurs du RDSE la veille, il a dénoncé l'obligation de construire au moins 10% de logements sociaux pour les communes de 1.500 à 3.500 habitants situées dans une agglomération de plus de 50.000 habitants. "Une mesure présentée en séance de nuit, sans consultation des associations de maires, sans étude d'impact", a-t-il affirmé. Le centriste Jean-Christophe Fromantin (UDI) a pour sa part "regretté que tous les leviers du logement social n'aient pas été pris en compte, notamment celui d'une gestion dynamique du parc HLM qui aurait pu favoriser l'accession à la propriété en accélérant le mouvement de ventes de ce parc de logements". "Au travail, madame la ministre !" L'écologiste Michèle Bonneton a elle dit "voter avec enthousiasme" le texte de Cécile Duflot. "Il était temps de rompre avec la politique du logement menée depuis dix ans", a-t-elle déclaré. De même, la socialiste Annick Lepetit a salué "un souffle nouveau pour le logement" qui "va permettre d'augmenter la mixité sociale et territoriale". "C'est une première étape qui pose les bases d'une politique volontariste", a-t-elle souligné. La revue de Presse KYLIA 12
  • 13. André Chassaigne, au nom des élus Front de gauche, a pour sa part mis en avant un soutien beaucoup plus critique. Il a insisté sur "l'apport" des parlementaires du Front de gauche qui ont "musclé" le texte, notamment en faisant voter l'obligation, pour les communes faisant l'objet de constat de carence, de construire un minimum de 30% d'habitats sociaux. De même, a-t-il souligné, les amendements visant à la mise en oeuvre de la taxation du logement vacant ou sa réquisition. "30 à 40.000 logements pourraient ainsi être réquisitionnés. A l'approche de l'hiver, c'est appréciable", a fait valoir l'élu du Puy-de-Dôme avant d'ajouter : "Au travail, madame la ministre !" et de lui demander : "Mettrez-vous en oeuvre la réquisition des logements vides que rendent possibles nos amendements? Source : LeNouvelObs.com La revue de Presse KYLIA 13
  • 14. Pour l'immobilier, la solution de la donation Le 12/10/2012 Comment léguer vos biens en douceur et à moindres frais. C'est bien souvent lorsqu'ils arrivent à l'âge de la retraite que les parents commencent à se préoccuper de la transmission de leur patrimoine immobilier. Avec un double objectif : s'y prendre à l'avance pour préserver l'équilibre de la famille, d'une part. Réduire le coût de la transmission, d'autre part. « La fiscalité encourage à transmettre ses biens le plus tôt possible. Mais avec la problématique de l'allongement de la durée de vie, cela nécessite d'être prudent », prévient d'emblée Xavier Boutiron, notaire chez Cheuvreux Notaires. Uniquement la nue-propriété La solution ? Plutôt que de consentir une donation en pleine propriété à ses enfants et de perdre la propriété des biens, on peut ne leur donner que la nue-propriété et se réserver l'usufruit. Concrètement, si la donation porte sur une résidence principale ou secondaire, cela permet de continuer à y habiter. Si elle concerne un logement donné en location, cela permet de continuer à percevoir les loyers. Revers de la médaille ? « Le démembrement de propriété restreint le droit de vente de l'usufruitier qui ne pourra pas vendre le bien sans l'accord des nus-propriétaires. Cela peut aussi poser des problèmes s'il faut faire des grosses réparations et au final cela risque de compliquer les relations entre parents et enfants », souligne Xavier Boutiron. Autre inconvénient majeur : l'usufruitier reste imposable sur la pleine propriété du bien. Une fiscalité avantageuse Mais, en contrepartie, cette opération est très intéressante car elle permet de réduire significativement la base de calcul des droits de donation : ils ne sont calculés que sur la valeur de la nue-propriété, par définition plus faible que celle de la pleine propriété. Cette valeur est déterminée à partir d'un barème qui dépend de l'âge du donateur au jour de la donation (voir ci-dessus). Exemple : un père âgé de 62 ans donne par donation-partage la nue-propriété d'un appartement d'une valeur de 300.000 euros à ses deux enfants ; les droits de donation seront calculés sur 180.000 euros (60 % de 300.000 euros). Or, compte tenu de l'abattement de 100.000 euros applicable entre parents et enfants (deux fois 100.000 euros), la donation n'est pas taxable. Et au décès de leur père, les enfants vont récupérer la pleine propriété du bien sans droit de succession supplémentaire à payer sur la valeur de l'usufruit. La revue de Presse KYLIA 14
  • 15. Prévoir une réversion d'usufruit Dans le cas d'une donation avec réserve d'usufruit consentie aux enfants, y compris une donation partage, il est prudent de prévoir une réversion d'usufruit au profit du conjoint survivant pour lui permettre de conserver la jouissance des biens donnés jusqu'à son décès. « Fiscalement aussi, cette opération est intéressante car la réversion au profit du conjoint ou partenaire n'est pas taxée », conclut Xavier Boutiron. Source : LesEchos.fr La revue de Presse KYLIA 15
  • 16. Loyers : l'indice de référence fléchit légèrement au troisième trimestre Le 12/10/2012 L'indice de référence des loyers (IRL), utilisé pour les révisions annuelles des loyers d'habitation, a augmenté de 2,15 % en rythme annuel au 3ème trimestre 2012. En léger repli par rapport à la première partie de l'année. AFP Même minime, la nouvelle réjouira sans doute les locataires. Publié ce vendredi matin par l'Insee, l'indice de référence des loyers atteint 123,55 au troisième trimestre. Ce qui correspond à une légère décrue en rythme annuel par rapport aux trimestres précédents. . Sur un an l'augmentation sur les douze derniers mois atteint en effet 2,15 %.au troisième trimestre se rapprochant ainsi du rythme qui était le sien à la fin de 2011. La revue de Presse KYLIA 16
  • 17. Au cours du premier semestre de 2012 en effet, dans le sillage de l'inflation, le rythme de hausse de l'indice des loyers avait accéléré, culminant à 2,24 %. Une évolution qui semble conforte la récente étude de l'observatoire Clameur qui estimait début septembre qu'au final l'augmentation des loyers des nouveaux baux dans le parc immobilier privé devrait rester inférieure à l'inflation sur un an. Elle ne devrait pas, selon cette étude, dépasser 1,5% sur l'ensemble de 2012. Source : LesEchos.fr La revue de Presse KYLIA 17
  • 18. L'immobilier fait les choux gras de la Ville de Paris Le 12/10/2012 La capitale devrait encaisser 1,1 milliard d'euros de droits de mutation en 2012. PARIS- La Ville de Paris prévoit d'encaisser 1,094 milliard d'euros au titre des droits de mutation (taxes sur les transactions immobilières) en 2012, un nouveau record. REUTERS/Mal Langsdon Les prix de l'immobilier n'en finissent pas de grimper à Paris. De quoi réjouir la Ville qui prévoit d'encaisser 1,094 milliard d'euros au titre des droits de mutation (taxes sur les transactions immobilières) en 2012, un nouveau record, a affirmé jeudi le maire adjoint en charge du Budget, Bernard Gaudillère. Ces droits avaient pour la première fois légèrement dépassé le milliard d'euros en 2011. Les élus UMP du Conseil de Paris ont proposé jeudi d'utiliser la moitié de ce pactole pour les prêter à la Société du Grand Paris pour l'aider à construire le Grand Paris Express. Dans un voeu qu'il soumettra au vote des élus du Conseil de Paris la semaine prochaine, le groupe UMPPA (Union pour une majorité de progrès à Paris et apparentés) rappelle que le projet de loi de programmation pluriannuelle des finances publiques ne prévoit pour l'instant aucune dotation financière pour la SGP, qui a besoin d'un milliard d'euros à partir de 2015 pour lever des emprunts. La revue de Presse KYLIA 18
  • 19. Cette proposition n'est "pas sérieuse, pas travaillée", a réagi la première adjointe du maire de Paris, Anne Hidalgo. "L'essentiel des droits de mutation a une fonction très précise depuis 2001, c'est de financer nos investissements (...) Si nous rompons avec cette politique, l'endettement va exploser", a de son côté expliqué Bernard Gaudillère. Source : L’Expansion.com La revue de Presse KYLIA 19
  • 20. A propos de KYLIA KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39 La revue de Presse KYLIA 20