BistrO mars 2012 : Le dialogue territorial - Concertation et médiation sur le...
Bistro septembre 2012- Les quartiers précaires par Aurore Mansion et Virginie Rachmuhl
1. Date - Lieu
Bâtir des villes pour tous
en Afrique
1. Pourquoi agir dans les quartiers précaires?
2. Leçons de quatre opérations au Rwanda,
Sénégal, Maroc, Mauritanie
3. Comment agir dans les quartiers précaires
8. Date - Lieu
Quatre exemples
d’opérations urbaines
1. Leçons tirées de l’expérience
2. Des points communs
9. Au Rwanda : amélioration de l’existant
9
Rendre visible et rendre Nourrir des arguments
compte des conditions pour négocier avec les
de vie dans les quartiers autorités des approches
« douces »
Pas de réelle
Une opération isolée
participation des
qui n’a pas influé sur
habitants
les politiques publiques
10. Au Sénégal : amélioration de
l’existant/relogement
10
Indemnisation et Prise en charge de la
réinstallation des situation des locataires
occupants
Un accompagnement à
la régularisation
foncière
Une opération qui a Des retards qui
couté cher. Quid de la questionnent l’avenir de
réplicabilité ? l’opération
11. Au Maroc: restructuration sur place et
résorption
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Un opérateur public
Le dispositif du tiers-
chargé de la maitrise
associé
d’ouvrage sociale
Des infrastructures qui
ne vivent pas Des familles complexes
12. En Mauritanie :
restructuration/normalisation
12
Quiétude sociale
Pas de prise en charge Des familles
des locataires potentiellement
éligibles exclues
Une indemnisation pas
adaptée Service minimum en
terme d’information
L’absence de mesures
post-installation Etalement urbain et
quid de la réplicabilité
13. Caractéristiques structurantes
La primauté des objectifs politiques
13
Des opérations à caractère sécuritaire, économique et
politique
Mais pas de politique urbaine
Des opérations isolées (Kigali), juxtaposées (Nouakchott),
agrégées (Maroc). Pas de politique d’habitat, foncier, etc.
La Banque mondiale : un acteur clé
Un rôle moteur, un cadre de référence, des limites en
pratique
La faiblesse des dimensions sociales et locales
Prééminence de l’État, faible participation des habitants, un
social subordonné au technique