La WhistleBOX simplifie et sécurise le lien entre lanceur d'alertes et journaliste. Ce serveur est basé sur un mini-ordinateur RaspBerry PI, le réseau TOR et le chiffrement gnuGPG. Cette présentation permet de comprendre le principe.
2. Enquête sur les décharges
Trois niveaux pour les sources :
Contacter les journalistes par mail
Donner aux lanceur d’alertes la possibilité de transmettre des documents
anonymement.
Le courrier postal
5. Une précarisation
croissante des
journalistes
Et des moyens plus faibles pour les
investigations au longs cours Rapport de l’observatoire
des métiers de la presse
Rapport Afdas 2013
7. Les serveurs sécurisés
La SecureDrop
- créée par Aaron Swartz
pour le New Yorker
Globaleaks
- créé par une fondation italienne et des
développeur de TOR
8. INCONVÉNIENTS :
•Nécessite une infrastructure, une entreprise, un
rattachement financier ( nom de domaine, serveurs )
•nécessite un(e) administrateur(trice) système
AVANTAGES :
•Très performants, bénéficie d’une communauté
d’experts.
•Soutenu par de nombreux médias aux US et en
Europe
11. La fiabilité
Basé sur un système
d’exploitation Linux :
Raspbian.
Une communauté
grandissante d’utilisateurs
depuis la création de la
Raspberry PI
Des logiciels dédiés à cet outil
pédagogique.
12. La sécurité
Le document est transmis dans un canal chiffré
Le document est enregistré et chiffré
L’anonymat est garanti de bout en bout par le réseau TOR.
14. Oui, mais..
La technicité n’enlève rien aux risques que prend
le lanceur d’alerte…
… et le journaliste.
Le lanceur d’alerte : La France protège très mal les lanceurs
d’alerte. Celui-ci doit prouver que son encadrement l’a
menacé en cas de diffusion d’une information d’intérêt
général.
Le journaliste doit révéler ses sources ses sources dans le cas
d’un risque de sécurité nationale. ( Faut-il encore attendre
une loi sur la protection des sources ? )