Catlogue de l'exposition de Thierry Tian So Po: Inextricable
Dossier pedagogique horizon
1. exposition du 28 octobre au 4 décembre 2011
Dossier pédagogique
Saison
oct. 2011
juin 2012
ww.fondation-clement.org
Habitation Clément
Le François - Martinique
Tél. : 05 96 54 75 51
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2. Ce dossier est destiné aux enseignants du premier degré qui souhaitent
préparer la visite avec leur classe et prolonger la réflexion par une
exploitation pédagogique autour de quelques œuvres et la mise en place de
pratiques artistiques adaptées. Les pistes pédagogiques en relation avec les
programmes scolaires permettent d’approfondir des thématiques issues des
propositions des artistes.
à travers le choix de six œuvres, il permet d’aborder les procédés de
l’expression et de la création contemporaine : moyens techniques et outils
visuels du dessin, de la peinture, de la mise en scène, de la photographie, de
la vidéo, de l’installation…
Les objectifs ciblés
• Permettre aux élèves d’être au contact avec les œuvres
• Découvrir les institutions culturelles et artistiques
• Construire une culture artistique personnelle fondée sur des œuvres de
référence
• Accéder progressivement au rang « d’amateurs éclairés »
• Faire le lien avec les programmes scolaires
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3. Présentation
Horizons insulaires
n L’exposition
Un regard sur les cultures insulaires :
Iles Canaries, Cap Vert, Madère, les Açores, Cuba, Porto Rico, République
dominicaine, Réunion, Martinique, Guadeloupe et la Guyane (très proche de la
culture francophone de ces îles des Caraïbes).
L’exposition « Horizons insulaires » est un projet de littérature et d’art
contemporains centré sur les territoires insulaires. Elle rassemble les créations de
12 artistes contemporains originaires de ces territoires qui nous livrent leur vision
particulière des îles, du monde et de la culture. Elle a été inaugurée en mai 2010
aux Iles Canaries et achève son périple insulaire à la Martinique. Un recueil littéraire
comprenant une sélection de 12 écrivains et de 12 autres artistes remarquables de
chaque territoire est édité dans le contexte de l’exposition et vient enrichir le dialogue.
n La problématique
Son propos est de questionner du point de vue de la construction de l’identité,
la complexité et la diversité de ces espaces géographiques, de témoigner de la
richesse de la création esthétique et littéraire contemporaine dans les territoires
îliens.
n Les artistes
Teresa Arozena (îles Canaries) Ricardo Barbeito (Madère) Maria José Cavaco (Açores)
Joëlle Ferly (Guadeloupe) Tchalé Figueira (Cap-Vert) Gregorio Gonzalez (Canaries)
Thierry Hoarau (Réunion) Belkis Ramirez (République dominicaine) Sandra Ramos
(Cuba) Roseman Robinot (Guyane) Shirley Rufin (Martinique) Julio Suàrez (Porto Rico)
n Les œuvres
Le visiteur peut découvrir, cheminer, parcourir un espace jalonné des différentes
propositions de ces artistes : dessin, peinture, photographie, installation, vidéo.
...« Horizons insulaires est une invitation pour le spectateur à parcourir, traverser,
découvrir et pourquoi pas imaginer et reconstruire de nouveaux horizons insulaires.
Découvrir et reconstruire l’endroit où ces douze artistes contemporains situent leur
vision particulière des îles, du monde et de la culture ». Ainsi chacun est invité à
visiter mais aussi à participer à l’exposition. Il s’agit de « respirer les œuvres »,
d’être face à elles et de rentrer en dialogue avec elles.
D’après un texte d’Orlando Britto Jinorio Commissaire d’exposition
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5. Visite de l’exposition par les enseignants avant d’y amener les élèves (voir les
avant modalités de visite à la fin du dossier)
Approfondissement du titre « Horizons insulaires »
(Formulation d’hypothèses : En fonction du titre, que va-t-on trouver dans cette
exposition ?)
La spécificité d’un lieu culturel (lieu d’exposition, musée, lieu patrimonial,
fondation) ainsi que la question de la mise en valeur, la conservation des œuvres,
l’exposition, la scénographie)
Rappel des comportements adaptés au lieu.
Pendant la visite : 2 temps
pendant
Première rencontre avec les œuvres
Appropriation individuelle, cheminement libre à travers l’exposition :
OBSERVER DéCOUVRIR ENTENDRE
Moments de silence attentif : laisser le temps, pas ou peu d’échanges.
Deuxième parcours guidés à travers les propositions de six artistes
Promenade dans les horizons insulaires de Ricardo Barbeito, Joëlle Ferly,
Tchalé Figueira, Belkis Ramirez, Sandra Ramos, Roseman Robinot.
Observation guidée par l’enseignant, questionnement, échanges, mise en commun
des perceptions.
Ce deuxième parcours peut s’accompagner d’activités in situ pour renforcer la
perception des œuvres
• Lister des mots comme méthode de prélèvement d’impressions
• Trouver un titre pour chaque œuvre
• Faire des croquis pour matérialiser des fragments d’une œuvre ou des
instants de la rencontre, prendre des photos.
Les élèves
• S’expriment sur les œuvres
après
• échangent
• Questionnent
• Gardent trace de cette rencontre
• Réinvestissent en classe
Connaissent :
• Le titre de l’exposition
• Les moyens d’expression (dessin, peinture, photographie, installation…)
• Le thème abordé
• Mettent en mémoire les éléments rapportés (cahier de culture)
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7. Ricardo Barbeito (Madère)
né en 1979 à Madère
Il vit et travaille à Lisbonne
Une lumière bleue traverse et éclaire les lames d’une persienne entrouverte.
Dans la partie supérieure, on aperçoit une vision fragmentée de la mer, de
l’écume, des vagues, d’une végétation agitée par le vent.
Au centre, dans la répétition de la boucle de cette vidéo, on peut lire la phrase
qui donne le titre à son œuvre Hà mar y mar, Hà ir e voltar (à la mer et la mer,
aller et retour).
Une autre projection nous montre en gros plan les mains d’une dame qui brode
et brode lentement, dans une boucle sans fin. Derrière, le son de la mer nous
berce dans un mouvement continu d’aller-retour.
L’artiste aborde la problématique du temps qui passe, l’écoulement de la vie
insulaire dans une boucle sans fin, rythmé par le tempo de l’aller et retour
continu de l’océan.
n Pistes
Observation et lecture de l’œuvre
Que représente l’œuvre ? Que raconte–t-elle ?
Quels sont les procédés utilisés par l’artiste ?
Les images, les sons, l’utilisation de l’écrit dans
l’image
n Pratiques artistiques
Exploration d’un moyen d’expression, la vidéo
installation : création d’images, réalisation de
diaporamas, sonorisation.
Détournement des procédés de l’artiste : pein-
dre sur des persiennes, sur des photos…
n Thèmes abordés
La notion de temps, le passage du temps, la
question de l’insularité
n Mises en réseau
Photographies de Patricia Baffin
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9. Joëlle Ferly (Guadeloupe)
né en Guadeloupe, 1970
vit et travail en Guadeloupe
Cette œuvre, composée de quatres écrans présente un espace visuel et auditif
produit à partir du croisement continu d’images et de phonèmes. Cette com-
position chorégraphique et sonore, par la vitesse de la circulation des sons,
l’apparition et la superposition de lettres, de syllabes et de mots, nous pousse
au paroxysme visuel et génère de l’anxiété.
n Pistes
Quelle est la composition de l’œuvre ?
Comment sont disposés les écrans ?
L’organisation de l’espace visuel et sonore
(circulation des images et des sons)
Les éléments de composition numérique :
lettres, mots, signes, figures, formes
Effets sur le spectateur (sensations, émotions)
n Pratiques artistiques
Jouer avec les signes et symboles du monde
informatique : agrandir, déformer, multiplier,
accumuler
Créer un répertoire des signes, se les
approprier, les humaniser
Création de diaporamas animés
Travail autour du titre
n Thèmes abordés
Le territoire virtuel de l’informatique,
l’aliénation à l’ordinateur, la société
contemporaine
n Mise en réseau
Signes et symboles dans l’art
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11. Tchalé Figueira (Cap-Vert)
né en 1953 au Cap-Vert
vit et travaille à São Vicente
Cette série de peintures récentes de l’artiste est basée sur son univers mytho-
logique personnel, sur son vécu et sur le regard particulier qu’il porte sur sa
culture. Ces peintures se réfèrent à des symboles et à des rituels de Saint-Vin-
cent et en général de la culture du Cap-Vert.
Quatre toiles de grand format, directement cloutées au mur définissent un
espace mythologique aux profondes racines ancestrales sous forme de tapis
primitifs-contemporains. Des êtres étranges aux formes végétales, humaines et
animales, sont révélés dans un espace rituel au mouvement continu. Ces sortes
de « blackboards » contemporains sont issues d’un espace culturel insulaire
africain qui se débat entre l’horizon de la modernité et le respect de la préser-
vation de ses coutumes ancestrales.
n Pistes
Observation et lecture de l’œuvre
Format et nature de l’œuvre
Nature du support (idée de tapis, d’ardoises)
Techniques, outils, matériaux, textures
La ligne qui structure et signifie, le contraste
blanc/noir
Gestes de l’artiste
Mise en relation avec les autres moyens
d’expression des artistes de l’exposition.
Eléments du décor qui renvoient à la
représentation mythologique : formes, figures,
végétaux, êtres humains ou animaux.
La place du spectateur par rapport à l’œuvre :
comparer avec la place et le rôle du spectateur
dans les vidéo installations.
n Pratiques artistiques
Expérimentations diverses à partir des supports,
outils et procédés de l’artiste (fonds noirs,
dessins à la craie blanche et couleur)
Utilisation de la ligne, du trait pour figurer
Réaliser de grandes ardoises graphiques
n Thèmes abordés
L’univers du conte et de la mythologie populaire
n Mises en réseau
Les contes créoles, la mythologie amérindienne
œuvres de Henri Guédon, Victor Anicet, Ben,
Jean-Michel Basquiat
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13. Belkis Ramirez (République dominicaine)
née en 1957 à Santiago Rodríguez, République dominicaine
vit et travaille en République dominicaine et New York
La mise en scène de cette artiste nous présente une île, cercle rouge sur la-
quelle repose un lit de velours noir. Sur ce lit reposent deux figures face à
face et de profil, une masculine et une féminine. Un espace neutre les sépare.
Autour, un enchevêtrement de fils barbelés. Cette œuvre réunit un ensemble
de symboles et de références sur les questions d’insularité, les relations humai-
nes, les relations hommes/femmes.
n Pistes
Observation et lecture de l’oeuvre
Quels sont les matériaux, les couleurs, les
procédés utilisés par l’artiste ?
Quelle est la composition de l’œuvre ?
Les personnages, leur emplacement dans
l’œuvre, leur position
La mise en scène de ces divers éléments dans
un espace particulier (ici au sol), installation
circulaire
Contraste et symbolique des couleurs rouge et
noire
n Pratiques artistiques
Réalisation d’installations au sol
Les contrastes de couleur (rouge/noir)
Mise en scène des deux personnages en
changeant le contexte et le format de
l’installation
écrire des histoires à partir de ces mises en
scène
n Thèmes abordés
Les relations humaines, les relations hommes/
femmes, la question de l’insularité et des
relations avec le monde extérieur, l’isolement
n Mises en réseau
Tony Capellan « Mar Caribe »
Installations de René Louise
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15. Sandra Ramos (Cuba)
née en 1969 à la Havane
vit et travaille à La Havane
Deux téléviseurs présentent des courts-métrages d’animation.
à travers ces vidéos qui sont destinées à être vues individuellement, l’artiste
nous présente le rapport de son île, Cuba, avec le monde et celui du monde
avec cette île.
Une petite fille, Sandra, apparaît dans tous les courts-métrages qui sont autant
de poèmes visuels abordant les thèmes de la solitude, de l’isolement, des
multiples centres d’univers, de la survie, de la liberté, de l’espoir et de la
poésie.
Derrière l’innocence apparente de cette enfant qui fait tout pour vivre et
se positionner dans son contexte historique, politique et social, ce sont les
tensions et les contradictions d’autres endroits et peuples du monde qui se
manifestent. Ainsi, cette enfant est une métaphore de la société civile et une
réalité incontestable d’avenir et d’espoir.
n Pistes
Observation et lecture de l’œuvre
Quels sont les éléments qui composent l’œuvre,
comment sont-ils disposés ?
Inventaire des éléments du décor, les figures,
les vêtements, les objets, pour chaque
animation.
Le contexte auquel renvoient ces divers
éléments.
Que nous raconte l’artiste?
n Pratiques artistiques
Utilisation de la photographie, du dessin pour
réaliser des images séquentielles
Création de bandes dessinées
Réinterprétation, recréation de chaque vidéo
Transposition sous une autre forme d’expression
(mise en scène sous forme d’installation par exemple)
écriture de récits, de poèmes
Composer des poèmes visuels
Traduire en visuels des poésies connues en se
les appropriant
Liaison avec les compétences des TICE
n Thèmes abordés
L’isolement, la solitude, les problèmes de
société, l’espoir
n Mises en réseau
La BD
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17. Roseman Robinot (Guyane)
née à Rivière-Salée, Martinique, 1944
vit et travaille à Rémire-Mont-Joly, Guyane
Cette installation murale est un chant poétique de l’artiste dédié au passage
entre la vie et la mort. Elle évoque le lent processus continu de transformation
qu’est la vie. 42 figurines identiques enveloppées de blanc, comme emmaillo-
tées, nous renvoient à la manière dont sont représentés les corps sans vie dans
de nombreuses cultures et peuples du monde. Elles nous renvoient en même
temps l’image de nouveaux êtres, de nouveaux bébés enveloppés dans des cou-
ches qui attendent doucement une nouvelle vie.
Au centre de la mise en scène, un petit cadre rectangulaire en bois, vide, ouvre
la composition triangulaire qui pose la question centrale du mystère de la vie
et de la mort.
Dans la partie inférieure, deux tissus brodés de lettres noires ferment cette
composition centrale avec les mots de la langue guyanaise « dêdê » e « libi »,
c’est-à-dire « mort » et « vie ».
n Pistes
Observation et lecture de l’oeuvre
Comparer cette forme d’installation (murale)
avec l’installation de Belkis Ramirez
Quels sont les éléments qui composent cette
œuvre ?
Les matériaux, les couleurs
L’organisation dans l’espace
L’utilisation de l’écrit et du dessin
n Pratiques artistiques
Les installations (mise en boîte, collections,
accumulations d’objets divers…)
Emmaillotage, emballage
n Thèmes abordés
Le processus de transformation de la vie, les
rites funéraires dans les cultures et les peuples
du monde, la métamorphose
n Mise en réseau
Les emballages de Christo
Alex Burke « The spirit of Caribeen »
Les installations de Annette Messager
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18. Liens avec les programmes
Thierry Hoarau (Réunion)
21N55E, 2010.
installation vidéo
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19. CYCLE 2 (CP et CE1)
Cycle 2 Pratiques artistiques et histoire des arts : Première rencontre sensible avec les œuvres,
découverte de lieux patrimoniaux et d’exposition ; pratiques diversifiées d’expression
(peinture, dessin, photo numérique, vidéo, réalisations d’images fixes ou mobiles)
Français : développement des capacités d’expression par les pratiques artistiques et les
références culturelles (décrire, comparer en utilisant un vocabulaire approprié, exprimer
ses émotions, ses sensations, ses préférences et ses goûts).
Découverte du monde : Repérage dans l’espace et dans le temps ; espaces familiers,
espaces lointains ; littérature et arts visuels comme moyens privilégiés pour les
appréhender.
Culture humaniste : découverte d’éléments culturels d’autres pays ; distinguer quelques
grandes catégories de la création artistique ; connaissance des œuvres visuelles étudiées ;
définition simple de quelques métiers artistiques.
CYCLE 3 (CE2, CM1 et CM2)
Cycle 3
Pratiques artistiques et histoire des arts : Le XXème siècle et notre époque ; Connaissance
des œuvres de référence appartenant au patrimoine ou à l’art contemporain ; fréquentation
d’œuvres de plus en plus complexes et variées ;
Culture humaniste : Diversité et évolution des civilisations, des sociétés, des territoires, des
faits religieux et des arts ; fréquentation d’œuvres littéraires ; formation de la personne et
du citoyen.
Histoire et géographie : Les temps modernes (découvertes et premiers empires coloniaux,
traite des noirs et esclavage) ; le XIXème siècle (temps des progrès techniques, colonies,
émigration) ; le XXème siècle et notre époque (révolution scientifique et technologique,
société de consommation, construction européenne) ; les réalités géographiques locales ;
le territoire français dans le cadre européen ; la France dans le monde
Français : Expression orale et écrite ; acquisition et structuration du vocabulaire ;
constitution d’une culture littéraire commune
n Vocabulaire
Horizon : Ligne imaginaire circulaire dont l’observateur Platicien : Plutôt que peintres, sculpteurs ou
est le centre et ou le ciel et la terre ou la mer semblent dessinateurs, beaucoup d’artistes contemporains se
se rejoindre ; perspective d’avenir définissent comme des plasticiens. Autrement dit,
ils considèrent que leurs œuvres ne se limitent plus
Insulaire : Relatif à une île, aux îles à une forme donnée (peintures ou sculptures ou
photographies…). Ils sont des créateurs qui peuvent
Art contemporain : Art d’aujourd’hui, art actuel, art utiliser toutes les ressources des arts plastiques,
vivant…De manière générale, on peut dire que c’est l’art successivement ou en même temps.
réalisé à l’époque ou nous vivons, et qui apporte des
idées ou des formes nouvelles par rapport à l’art ancien. Commissaire d’exposition :
Art des années 1970 à nos jours Le commissaire d’exposition détermine le choix du/
des artiste/s, la problématique ou la thématique de
Installation : L’installation est une des formes de l’exposition, la mise en espace des œuvres dans le lieu
création favorite des artistes contemporains. Il accueillant le projet ainsi que leur restitution auprès des
s’agit d’une œuvre composée de matériaux divers publics sous toutes formes de diffusion.
(objets, vidéos, sons…), mise en scène dans un espace
particulier. Le spectateur peut déambuler autour et Scénographie :
parfois à l’intérieur des installations. Il arrive même La scénographie est l’art de la conception d’un espace
qu’il soit invité à participer. On parle alors d’œuvre qui met en tension le corps -l’espace -le temps, en
interactive. fonction d’un projet dramatique. On peut la définir
comme étant le « graphisme de la scène » au service
Vidéo : Les artistes surréalistes ont très vite utilisé d’une dramaturgie ou comme une « écriture scénique »
le cinéma dans leurs œuvres. Mais l’apparition du qui agit sur l’action dramatique et donne du sens à
super-huit dans les années 1960 et de la vidéo dans les l’œuvre.
années 1980 a donné de nouvelles idées aux artistes
contemporains. Nombreux sont ceux qui l’utilisent dans
leurs installations. Certains en font même leur support
privilégié.
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20. éducation culturelle et
artistique à l’école
3 objectifs
• permettre à tous les élèves de se constituer une
culture personnelle riche et cohérente tout au long
de leur parcours scolaire,
• développer et renforcer leur pratique artistique,
• favoriser un contact direct avec les artistes, les
œuvres et les lieux d’art et de culture.
Saison
oct. 2011
juin 2012
Conception graphique : Hexode - photo de couverture Orlando Britto Jinorio
www.fondation-clement.org
Habitation Clément
Le François - Martinique
Tél. : 05 96 54 75 51
Horizons insulaires
Commissaire : Orlando Britto Jinorio Visite tous les jours de 9h à 17h30
Scénographie : Steeve Bauras
éclairage : Valéry Pétris Renseignements et inscriptions
Menuiserie : CAA Régine Bonnaire
Peinture : Serge Pain 06 96 22 85 88
Graphisme : Hexode 05 96 54 75 47
Signalétique : Dazibao régine.bonnaire@gbh.fr
Montage : Jean-Pierre Marine assisté de
Jean -Etienne Careto, Ronald Cyrille (IRAVM), Dossier réalisé par :
Sylvie Lheureux (IRAVM) et des équipes Martine Potoczny et Marlène Laure,
techniques de la Fondation Clément. conseillères pédagogiques en arts visuel
Jessy Pichegrain, inspectrice de l’éducation
Nationale chargée du dossier Pratiques
artistiques et histoire des arts dans le 1er Degré.
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