1. Octroi de crédits aux entreprises |
Evolution récente
Août 2013
www.financementdesentreprises.be
2. Les banques belges ont injecté 92,5 milliards EUR
dans l’économie belge
Depuis 2007
Les banques en Belgique procurent davantage de
financement à l’économie que la moyenne de la zone euro
Crédit aux ménages
+44,4 mia (+31,87%)
Crédit aux
entreprises
+23,5 mia (+24,2%)
Crédit aux autorités
+24,6 mia (+35,72%)
=
Croissance du crédit
total
+92,5 mia (+30,3%)
397,6
mia EUR
Volume total de l’encours
de crédits juin 2013
3. Volume des crédits aux entreprises
Volume des crédits aux entreprises
Chiffres de Febelfin
= BNB + crédits
d’engagement +
indépendants /
professions libérales
Chiffres BNB
= encours des crédits
bancaires utilisés par
les sociétés non
financières belges
4. Crédit bancaire aux entreprises et
développement de l’économie
Index : décembre 2005 = 100
150
140
130
120
110
100
90
Crédit bancaire aux sociétés non financières belges
Source : Calculs Febelfin sur la base de données BNB
PIB belge
5. Source : Calculs Febelfin sur la base de données BNB
6/1/2013
4/1/2013
2/1/2013
12/1/2012
10/1/2012
8/1/2012
6/1/2012
4/1/2012
2/1/2012
12/1/2011
10/1/2011
8/1/2011
6/1/2011
4/1/2011
2/1/2011
12/1/2010
10/1/2010
8/1/2010
6/1/2010
4/1/2010
2/1/2010
12/1/2009
29
10/1/2009
30
8/1/2009
6/1/2009
4/1/2009
2/1/2009
12/1/2008
10/1/2008
8/1/2008
6/1/2008
4/1/2008
2/1/2008
Situation
avant la
crise
financière
12/1/2007
34
10/1/2007
8/1/2007
6/1/2007
4/1/2007
2/1/2007
12/1/2006
10/1/2006
8/1/2006
6/1/2006
32
4/1/2006
33
2/1/2006
(en %)
12/1/2005
Crédit bancaire aux entreprises belges et
développement de l’économie
Volume des crédits aux entreprises (€ milliards)
PNB (montants nominaux, € milliards)
35
Crise financière:
croissance oxygène
pour l’’économie
31
Fin crise financière :
stabilisation relation
à un niveau élevé
28
27
26
25
6. Evolution des crédits utilisés
selon la taille des entreprises
Part dans le volume total des
crédits utilisés (juin 2013)
Grandes entreprises
25,2%
Petites
entreprises
49,4%
74,8% de l’encours total des
crédits vont aux PME
Moyennes entreprises
25,4%
Type
d’entreprises
avril
2012
juin
2012
décembr
e 2012
juin
2013
juin 2013 par
rapport à juin
2012
Evolution
Petites
55.524
55.900
55.919
55.917
+0,0%
Stabilisation
Moyennes
26.913
27.126
27.562
28.731
+5,9%
Croissance
Grandes
29.382
31.011
28.407
28.452
-8,3%
Diminution
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
La différence entre le montant total de l’encours de crédits réparti selon la taille des entreprises et le montant total de l’encours de crédits tient à la
différence de sources. Les données relatives au montant total de l’encours de crédits sont basées sur le reporting comptable mensuel détaillé des
banques, tandis que la ventilation selon la taille de l’entreprise est basée sur les données de la centrale des risques de crédit (Centrale du Crédit aux
Entreprises - CCE).
7. Evolution des crédits utilisés
par Région
Part dans le volume total des
crédits utilisés (juin 2013)
Région de BruxellesCapitale 17,5%
Région
wallonne 19,7%
Région
Région flamande
62,8%
avril
2012
juin
2012
décembre
2012
juin
2013
juin 2013 par
rapport à juin
2012
Evolution
Région
flamande
75.904
76.363
75.813
76.640
+0,4%
Légère
croissance
Région
wallonne
23.112
23.720
24.136
24.089
+1,6%
Légère
croissance
Région de
BruxellesCapitale
20.100
21.718
20.820
21.310
-1,9%
Légère
diminution
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
8. Part dans le volume total
des crédits utilisés (juin 2013)
Crédits aux entreprises par
durée du crédit = 71% crédits
à M/LT
CT 29,2%
M/LT 70,8%
Date
Crédit à CT
Crédit à M/LT
En mio EUR
En % du total
En mio EUR
En % du total
12.2007
37.394
38,5
59.676
61,5
12.2008
40.355
37,9
66.092
62,1
12.2009
34.120
32,1
72.233
67,9
12.2010
-7,0%
12.2011
35.414
31,4
77.194
68,6
36.476
31,5
79.329
68,5
12.2012
34.497
29,5
82.484
70,5
08.2013
34. 761
29,2
84.473
70,8
+41,6%
Source : Calculs Febelfin sur la base de données BNB
A titre complémentaire : court terme = durée initiale jusqu’à un an compris; moyen à long terme = durée initiale plus d’un an
9. Le degré d’utilisation sur le long
terme ne change guère : il y a
donc une marge de manœuvre
pour l’utilisation des crédits
Degré d’utilisation
%
90
84,2%
85
80
75
70
69,6%
67,1%
65
60
55
52,1%
50
45
Petites entreprises
Moyennes entreprises
Grandes entreprises
Total
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
10. La baisse de la demande
de crédit mène à …
Baisse de la demande de
crédit imputable au contexte
économique difficile
Source : Chiffres Febelfin – Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises (chiffres actuels)
11. … une baisse de la
production
Baisse de la production de crédit
principalement imputable à la
diminution des demandes
de crédit
Source : Chiffres Febelfin – Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises (chiffres actuels)
12. Le degré de refus est traditionnellement peu
élevé en Belgique
La persistance de la crise a un impact négatif sur la qualité des demandes
de crédit et donc aussi sur les décisions de crédit
120
117.7
115
113.24
111.6
110
108.9
110
105.55
105
101.4
100
95
90
2008
2009
2010
2011
2012
2012 Q2
2013 Q2
Source : Chiffres Febelfin – Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises (chiffres actuels)
(N.B. : indice 100 = moyenne des 8 premiers mois de 2008 = période de référence). Ce graphique rend l'évolution du
degré de refus par rapport à cette période de référence.
13. La Belgique fait mieux que la plupart des pays
voisins / la moyenne de la zone Euro
•
•
Entre octobre 2012 et mars 2013, 82% des demandes de crédit ont abouti à l’octroi
d’un crédit.
Moins de refus que dans le reste de l’UE
100
90
66% des demandes de crédit de PME ont
été intégralement approuvées.
11% des demandeurs ont reçu l’essentiel
du montant de crédit souhaité.
5% des demandeurs ont reçu une partie
du crédit demandé.
6% des candidats n’ont pas introduit leur
demande.
Dans 12% des cas, le crédit a été refusé
=> une évaluation correcte des risques
sous-jacents reste nécessaire
80
Non connu
70
60
Demandé et refusé
50
40
Demandé et refusé pour
cause de coût trop élevé
30
Demandé et en partie
accordé
20
Demandé et, pour
l’essentiel, accordé
10
Zone Euro
FI
PT
AT
NE
IT
FR
ES
GR
IE
DE
BE
0
Demandé et intégralement
accordé
Source : Febelfin sur la base de données de la BCE : ”Data of he SME access
to finance survey”
14. La Belgique ne durcit pas davantage ses conditions
de crédit au contraire de la zone euro
Banques
Résultats BLS juillet 2013
Les conditions de crédit se sont
améliorées au Q2 2013
La stabilisation devrait se poursuivre
au Q3 2013
15. Léger durcissement des conditions d’octroi de crédit
Entreprises
Résultats enquête BNB auprès des entreprises au cours du Q2 2013
Détérioration des conditions d’octroi de crédit : détérioration des
conditions liées aux taux d’intérêt et un durcissement des autres conditions
non monétaires d'octroi de crédits.
16. Évolution des dossiers de crédit introduits par
les entreprises par catégorie de risques
Nombre de demandes de crédits de PME
Catégorie
de risques
(1)
PME
Part dans le
total des
Evolution (en
demandes de crédit %)
(en %)
2011
Risque
faible
Risque
moyen
Risque
élevé
Risque très
élevé
No Score
dont moyennes entreprises
2012
2012 / 2011
dont petites entreprises
Part dans le
total des
Evolution (en
demandes de crédit %)
(en %)
2011
2012
2012 / 2011
Part dans le
total des
demandes de
crédit
(en %)
2011
2012
Evolution (en
%)
2012 / 2011
55,5
50,6
-15,2
56,0
50,6
-14,5
55,3
50,6
-15,6
27,9
30,7
2,7
31,3
35,4
7,3
25,9
27,9
-0,7
7,9
10,1
18,6
6,7
8,0
13,2
8,6
11,4
21,0
1,4
1,5
0,5
1,1
1,2
-0,9
1,5
1,7
1,0
7,3
7,1
-9,7
4,9
4,8
-7,0
8,7
8,5
-10,6
Source: Enquête interne de Febelfin auprès des 4 grandes banques (1) Les catégories de risque sont établies sur la base de la Probability of Default (PD):
* Faible (de 0% à environ 0,8%)
* Moyenne (d’environ 0,8% à environ 4%)
* Elevée (d’environ 4% à environ 21%)
* Très élevée (d’environ 21% à 100%)
17. Taux d’intérêt concurrentiels
Depuis 2008, tendance à la baisse
des taux d’intérêt jusqu’à un niveau
plancher historique
Situation insupportable
Moyenne annuelle
2007
2008
2009
2010
2011
2012
Jan – Juillet
2013
5,03%
5,32%
3,73%
3,20%
4,41%
3,07%
2,93%
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
18. Octroi de crédit à l’économie belge
Offre concurrentielle, faibles taux en réponse aux
besoins (BNB, septembre 2012)
Evolution croissance
Taux d’intérêt moyen
19. Factoring : le volume a plus que doublé en cinq ans
Le secteur financier fait un effort pour le financement à CT
25,000
Factoring : évolution du turnover (en milliards d'EUR)
20,000
15,000
10,000
5,000
0
1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem.
2007
2007
2008
2008
2009
2009
2010
2010
2011
2011
2012
2012
2013
Montant des factures en millions d'euros, confiées aux sociétés de factoring les plus
importantes
Source : Chiffres Febelfin (chiffres actuels)
20. Le leasing reste une importante source de
financement pour les starters et les petites
entreprises
Evolution de la production de leasing
(en millions d'EUR)
1,400
1,300
1,200
1,100
1,000
900
800
700
600
500
400
300
200
100
0
2ème trim 2010
2ème trim 2011
leasing immobilier
Source : Chiffres Febelfin (chiffres actuels)
2ème trim 2012
leasing mobilier
2ème trim 2013
21. Le leasing est une importante source de
financement supplémentaire pour les entreprises
belges (e.a. pour les entreprises débutantes)
Entreprises qui
recourent au
leasing
• Une entreprise sur quatre en Belgique
Raisons pour
lesquelles elles
optent pour le
leasing
•
•
•
•
Financement 100% des actifs
Flexibilité du contrat
Transparence des remboursements
Accès aisé
Source : Etude de la Vlerick Business School réalisée à la demande de l’ABL (février 2012)
Hinweis der Redaktion
Ter info: maart 2012 zijn de laatst beschikbare gegevens zoals gepubliceerd door het CKO (centrale kredieten ondernemingen)Info over looptijd van de kredietenEen van de elementen die men bijkomend zouden kunnen meegeven aan de NV-A (naast onze vaststelling van daarnet, dat de toename van het bancaire kredietvolume sedert 2007 voor 70 % naar de Belgische privésector is gegaan), is dat de banken de jongste jaren in steeds sterkere mate hun taak van tijdsduurtransformatie op zich hebben genomen, m.a.w. het omzetten van kortlopende deposito’s in langlopende kredieten. Langs de kant van de deposito’s zijn de gemiddelde looptijden (duration) ingekort, en langs de kant van de kredieten zijn de gemiddelde looptijden toegenomen. Naast het pure volume-verschijnsel (dus toename van het uitstaande kredietvolume), is er dus ook een belangrijk compositie-verschijnsel geweest, en m.i. is dat tot nog toe onderbelicht gebleven. Wat de kredieten aangaat is de looptijdverlenging inzake de hypotheekleningen evident, te meer daar de lage rentestanden de voorkeur voor de vaste tarieven hebben verstrekt (+ de herfinancieringen met overstap op vaste tarieven). Maar ook in het vlak van de bankkredieten aan Belgische niet-financiële ondernemingen is de verschuiving van krediet op korte termijn naar krediet op lange termijn heel opmerkelijk. Onderstaande cijfers verduidelijken dat : Van einde 2006 tot eind juni 2012 is het uitstaand bedrag van de kredieten op korte termijn aan Belgische ondernemingen gegroeid van 32,5 miljard EUR tot 36,7 miljard EUR, dat was : + 4,2 miljard EUR, of + 13,0 %. Over dezelfde periode is de omloop van de kredieten op lange termijn aan Belgische ondernemingen toegenomen van 52,8 miljard EUR tot 81,7 miljard EUR, dat was : + 28,9 miljard EUR, of + 54,7 %. Eind juni 2012 vertegenwoordigden de kredieten op lange termijn in de totale omloop van de bankkredieten aan Belgische ondernemingen 69,0 %, en de kredieten op korte termijn 31,0 %. Einde 2006 was het aandeel van de kredieten op lange termijn 61,9 %, en dat van de kredieten op korte termijn 38,1 %. Deze verschuiving in de termijnsamenstelling van de kredietportefeuille van de banken (en overigens ook langs de kant van de deposito’s, maar dan richting korte termijn), is heel zeker moeilijker in te schatten en te begrijpen door de buitenwereld. Maar het is niettemin een objectieve vaststelling inzake de inspanning die de banken de voorbije jaren hebben gedaan om de economie te ondersteunen. Uiteraard heeft in deze ontwikkeling ook het verloop van de intresttarieven meegespeeld (waardoor de spaarders liquiditeiten verkiezen, terwijl de kredietnemers hun schuldenposities willen ‘consolideren’), maar het is wel een uitdaging voor de banken om deze ‘uiteengroei’ van de duration van respectievelijk deposito’s en kredieten met elkaar te verzoenen (belangrijk onderdeel van risicobeheer). In het licht van de nieuwe liquiditeitsregels is die uitdaging nog evidenter, en treedt tegelijk ook het belang op de voorgrond van het statuut/regime van het gereglementeerde spaardeposito (die reglementair beschouwd worden als stabiele funding; maar het is ook belangrijk dat die spaardeposito’s eveneens in de praktijk maximaal stabiel zouden zijn; vandaar tevens het belang van het debat over de getrouwheidspremie, e.a.).
Ter info: maart 2012 zijn de laatst beschikbare gegevens zoals gepubliceerd door het CKO (centrale kredieten ondernemingen)
Bedragtotaaluitstaandkredietvolumeonderverdeeldnaarduurtijdkredieten( bron NBB op basis van boekhoudstatenbanken) : Maart 2012 : 36.389 (KT) + 80.594 (LT) = 116.983Bedragtotaaluitstaandkredietvolume (cijfers NBB, maart 2012) : 116.982 mio EUR ( bron NBB op basis van boekhoudstatenbanken)Opgelet : middellang tot langetermijnkredietenzijnkredieten van meerdanéénjaarDit is de indeling die de NBB volgt.
Ter info: maart 2012 zijn de laatst beschikbare gegevens zoals gepubliceerd door het CKO (centrale kredieten ondernemingen)
La demande de créditdépend de plusieursfacteurs : TauxConjoncture /revenudisponibleConfiance des entrepreneursSource : Etude surl’importance des dépôtsd’épargne pour l’octroi de crédit en Belgique - Prof. Nancy Huyghebaert
Met uitzondering van de maand december lag de weigeringsgraad in het vierde trimester lager dan in het overeenstemmende trimester van 2010.De banken blijven dus bereid om krediet te verstrekken, wat ook tot uiting komt in de stijging van het kredietbedrag dat in de loop van het vierde trimester werd verstrekt. In het afgelopen jaar is het bedrag aan nieuwe kredieten (productie) ieder trimester sterker toegenomen dan de evolutie van het bedrag van de kredietaanvragen.
Noot 1 : Level I nbb 8 oktober 2012 TraditioneelkredietbeleidInzake traditioneel kredietbeleid is de NBB niet ongelukkig met het feit dat inzake commercial Real Estate en hypothecair krediet een zekere verstrakking aan de orde is. Met betrekking tot kredietverlening aan ondernemingen wordt echter gevraagd om niet te streng te zijn. Wat de vraag naar zekerheden aan ondernemingen betreft, mag inderdaad niet uit het oog worden verloren dat historisch gezien het gevaar voor verkeerd aflopende bedrijfskredieten in België vrij beperkt blijft.
Tauxd’intérêteffectifssur nouveaux créditsbancaires aux sociétés non-financièrs : la Belgiquecomparée à la moyenne de la zone euro (en %, situation juillet 2012)Catégorie de créditBelgique Moyenne zone euroMontantjusqu’à 250.000 EUR, taux variable et périodeinitiale de fixation du tauxjusqu’à 3 mois 2,27 4,86Montantjusqu’à 250.000 EUR, périodeinitiale de fixation du taux de 3 moisjusqu’à 1 an 3,12 5,17Montant de 250.000 EUR jusqu’à 1 million EUR, taux variable et périodeinitiale de fixation du tauxjusqu’à 3 mois 2,09 2,99Montant de 250.000 EUR jusqu’à 1 million EUR, périodeinitiale de fixation du taux de 3 moisjusqu’à 1 an 2,89 4,29Montantsupérieur à 1 million EUR, taux variable et périodeinitiale de fixation du tauxjusqu’à 3 mois 1,51 2,24Montantsupérieur à 1 million EUR, périodeinitiale de fixation du taux de 3 moisjusqu’à 1 an 2,16 3,30Montantjusqu’à 1 million EUR, taux variable et périodeinitiale de fixation du tauxjusqu’à 1 an 2,20 4,12Montantsupérieur à 1 million EUR, taux variable et périodeinitiale de fixation du tauxjusqu’à 1 an 1,58 2,40(Source : BNB)
GRAFIEK 1 : EvolutiegroeiSources: NBB, ECB. (1) Resident banks to residents. Data including securitised loans: for Belgium over the entire period, for the euro area from January 2010 onwards GRAFIEK 2 : GemiddeldeinterestvoetSources: NBB, Thomson Reuters Datastream. (1) MFI interest rates on new loans to non− financial corporations, up to an amount of 1 million, over 5 years initial rate fixation. (2) MFI interest rates on new loans to households, for house purchases, over 10 years initial rate fixation. (3) Data over the full sample available for: Austria, Belgium, Germany, Spain, Finland, France, Italy and Netherlands.
Gemiddeldproductie volume op jaarbasis : rond 4 mia € (extra financiering op jaarbasisvoor starters en kleineondernemingen)Quid uitstaand volume ?
Maatregelenvermijden die leasingproductkunnenondermijnenVoorbeelden:Thin cap regelingdd. 21/09/2012 BNP Paribas Leasing Solutions heeft de vraag m.b.t. de definitie van financiële sector in de Memorie van Toelichting bij de nieuwe thin cap-regelgeving gesteld aan de ruling commissie in het kader van een specifiek dossier. Het antwoord van de ruling commissie wordt verwacht over een maand. Er zal worden gewacht op het antwoord van de ruling commissie vooraleer een parlementaire vraag hierover te stellen. AanpassingBelgischeregelgevingaan arrest EU hofdatfinanciële leasing herkwalificeertalseen ‘levering van goederen’ ipv levering van diensten.In een recent arrest heeft het Europees Hof Van Justitie zich gebogen over de vraag of een financiële lease voor BTW doeleinden niet als een levering van goederen moet beschouwd worden i.p.v. een levering van diensten. Die vraag werd bevestigend beantwoord.Hoe groot is de kans dat in België financiële lease zal worden geherkwalificeerd als een levering van goederen ? Aan Febelfin zal worden gevraagd om dit door de fiscalisten te laten onderzoeken : arrest becommentariëren + inschatting van het risico van herkwalificatie. Bij dat onderzoek dienen zeker te worden betrokken : Tini Alifinerakis (BNP P Fortis), Vincent Windels (KBC), Wilfried Goris (ING) en Gino Hofman (Belfius Lease). De bedoeling is dat argumenten worden voorbereid om snel te kunnen reageren. NootUitvoorafgaandoverleg met kabinett Peeters blijktdatookzijgeenprobleemzien met leasing en datditeenwaardevol instrument is.