6. FICHE TECHNIQUE
Grand Format
En salle
Durée du spectacle : 1h30 sans entracte
Montage : 2 services de 4h
Démontage : 1h30
Régie lumière autonome.
Espace minimum : Profondeur 3m /ouverture
4m / hauteur 2m50
Noir salle indispensable
Tarif : 2.000€ net (2 artistes, 1 technicien
déco), dégressif dès la 2ème
représentation.
Le lieu mettra à disposition :
3 tables de taille moyenne.
1 ou 2 portants pour les Costumes
Dans les lieux équipés : 2 PC 500 W à la
face.
Eclairage salle indépendant.
Une dizaine de rallonges électriques
de 5 à 10 m
2 rouleaux de « gaffeur »
Un Système son pour passer un CD dans la
salle avant le spectacle.
Des bouteilles d’eau
Repas pris en charge par le lieu ou
défraiements tarif syndical en vigueur pour
les 2 artistes et le technicien.
En province Défraiements pour les 2 artistes
+ le technicien X le nombre de jours
nécessaires.
Une visite technique préalable du lieu est
souhaitée ainsi qu’un technicien pour le
chargement et le déchargement du décor.
Petit format
En bibliothèque, maison de quartier,
Association de Femmes, etc.
Durée du spectacle : 45 minutes
Montage : 2h/ démontage : 1h30
Régie lumière autonome
Noir salle indispensable
Tarif : 800€ net (2 artistes) dégressif dès la
2ème
représentation
Le lieu mettra à disposition :
2 tables de taille moyenne.
1 portant pour les Costumes
Dans les lieux équipés : 2 PC 500 W à la
face.
Eclairage salle indépendant.
Un Système son pour passer un CD dans la
salle avant le spectacle.
Des bouteilles d’eau
Cie 06.22.94.56.82
Perso : 06.06.98.06.02
Technique : 06.26.66.97.30
abdf@aboutdeficelle.com
www.aboutdeficelle.com
7. 4
LE SPECTACLE
Jeu, mise en espace et costumes : Dominique Deschaintres
Musique et chant : Joëlle Nacmias
Scénographie : Olivier H’Small
Conseils avisés (jeu, textes, accessoires): Karina Chéres, Kloé Small, Agata Small et Gilles
Roche.
Couturière : Claudine Rocher.
Création lumières : Marc Flichy et Olivier Small
Lorsque la comédienne joue seule, ce sont huit femmes qui entrent en scène.
Avec beaucoup de verve et d’humour, malgré la vie qui ne les a pas ménagées, elles
viennent, tour à tour, raconter leur histoire, dire leur quotidien, se livrer au public comme
à un confident, se donner en exemple plus qu’en spectacle. Et les hommes en prennent
pour leur « grade » ! Car elles disent la violence sociale, la perte des repères traditionnels
et le machisme de nos différentes cultures, qu’elles soient chrétiennes ou musulmanes,
occidentales ou orientales.
Il s’agit de paroles de résistance. Chacune de ces femmes résiste avec sa rage, son
innocence, son humour, sa gouaille et sa force de vie.
L’accompagnement musical par la chanteuse Joëlle Nacmias amplifie l’universalité
de ces confidences de femmes. Interprétés dans des langues venues d’ailleurs, ces chants
multiplient à l’infini ces voix de femmes dans ce qu’elles ont de plus intime.
Ces confidences, ces cris de douleur, d’indignation, ces cris de vie, Dominique
Deschaintres les partage avec les spectateurs dans le plaisir du jeu, de l’amour et de la
révolte.
A suivre sur scène...
Un grand merci à Joël Dragutin, Mauro Coceano, Claude Pellat, Hélène et Laurent du
Storyboat, à Merouane (restaurant « Un Goût d’Ailleurs »), Myriam et Allison Haugmard,
au Comité de Quartier du Vieux Conflans et à celui de Conflans-Chennevières, à toute
l’équipe de la MJC de Conflans et à celle du Théâtre 95, à l’Association Lez’Arts de
Frouville, , Rouben et Victor Lopez, Martine Limargues, Jacky Bernard, Léo Abraham,
Jean-Marie Fonteny, François Roumengou, Gwen Le Gac (Ferdinand), José Guérin de
RGB, Hervé Pierre de la Comédie Française, et à la Maison de l’Europe et de l’Orient, ainsi
qu’à tous nos fidèles spectateurs …qui chacun(e) à sa façon, nous ont soutenues et
accueillies, dans notre démarche artistique, et nous ont permis de mettre ce spectacle au
monde.
8. 5
POURQUOI MONTER CES HUIT CONFIDENCES ?
Cette création est la prolongation
d’une belle expérience théâtrale que j’ai faite
il y a une trentaine d’années maintenant. Je
travaillais à l’époque avec une compagnie
théâtrale implantée en Alsace : « le théâtre
du Troc ».
Nous étions presque tous issus de
l’école supérieure d’art dramatique de
Strasbourg et nous avions fait le terrible et
incroyable test de l’influence des costumes
sur le comportement des comédiens, grâce à
l’un de nos professeurs : Claude Petit Pierre,
comédien, metteur en scène, à l’époque
Directeur de l’école, et lui aussi, formé à
l’Ecole Nationale de Strasbourg. Ce maître
des techniques stanislavskiennes, possédait
également une grande connaissance des
transes et autres chamanismes. Il nous a fait
endosser différents costumes que nous
avions trouvés dans la réserve du TNS et des
friperies et « miraculeusement » nous avons
accouché les uns et les autres d’une grande
variété de personnages.
Les années ont passé et nous avons
voulu prolonger cette expérience, restée
gravée dans nos mémoires et nos corps, en
nous servant de cette technique pour la
mettre au service d’un propos théâtral. Nous
avons donc collecté toutes sortes de
manteaux, jupes, robes, chapeaux,
chaussures, etc. et nous avons construit
sous leur influence une multitude de
personnages. Parallèlement, nous avons
cherché dans la presse, des articles que nous
avons mis en paroles dans la bouche de nos
différents personnages. Un spectacle a été
créé au théâtre National de Strasbourg :
« Haut les Mains Peau de Lapin ».
Ensuite, Hervé Pierre, Jacques Wenger et
Michel Maurer, ont créé un autre
spectacle suivant le même processus :
« Victor s’en mêle », Quant à moi, je suis un
peu restée sur ma faim!
Photo Jean-Baptiste Brésard
9. 6
ENTRE RIRE, CRUAUTE, ET EMOTION
Dans ses monologues de femmes, textes plein
de joyeuse gouaille et de lucidité coupante,
Barzou Abdourazzoqov installe ses beaux
personnages retenus dans un lieu de passage,
au milieu de nulle part.
Au fil de leurs confidences, le particulier
devient universel.
En vrac et tout à trac, chacune de ces
femmes qu’elle soit apparatchik, fille de joie,
femme au foyer, brillante étudiante,
mendiante , prof de fac, «mater dolorosa»
ou raconteuse d’histoires, délivre sa vie
intime.
L’une court après un fruit avec un
nom à coucher dehors ; une autre accueille
son gendre avec un thermos de vodka dans
l’espoir qu’il ne batte plus sa femme, une
autre encore est la victime d’un viol
collectif. Toutes, sont les petites pièces
subtiles d’un cruel puzzle. On oscille entre la
banalité et la douleur d’un quotidien qu’elles
nous livrent avec franchise, humour et
dignité.
Photo Jean-Baptiste Brésard
10. 7
DIGNITE-HUMOUR-RESISTANCE
Lorsque j’ai découvert « Huit
Monologues de Femmes » de Barzou
Abdourazzoqov - après l’avoir lu et relu, fait
dire par les comédien(ne)s de mes Ateliers
Théâtre - j’ai eu la certitude que ces
confidences de femmes du Tadjikistan,
empreintes d’une cruelle acidité et d’humour
noir, seraient un magnifique tremplin, pour
les faire jouer par une comédienne désireuse
de changer de personnage. En nous,
sommeillent une quantité de gens, une
quantité incroyable de possibles. Ce que
nous sommes, mais aussi ce que nous aurions
pu devenir, être…
« Je suis plusieurs… »
J’ai donc décidé de monter une
adaptation de ces textes, en utilisant ce
procédé « de l’influence du costume sur
l’acteur ». Certes, « L’habit ne fait pas le
moine, ». Entre l’être et le paraître il y a
parfois un gouffre.
Sommes-nous au Tadjikistan ? Près
d’une centrale nucléaire ? Dans un pays de
l’Est, là où aujourd’hui, des mosquées
émergent sur les ruines de l’ère industrielle?
Dans un centre d’hébergement pour femmes
en difficulté ? Dans une cité, tout près de
chez nous ?
Ce sont des paroles de résistance car
chacune de ces femmes lutte avec sa rage,
son innocence, son humour, sa gouaille et sa
force de vie. Ces paroles, ces personnages
féminins font un pied de nez à un monde
masculin, un monde de guerre, un monde où
la loi du plus fort gagne, un monde désespéré
où un milliard d’individus meurent, où
différents intégrismes s’opposent, un monde
où la vie d’un être humain n’a plus aucune
valeur, un monde où une femme peut être
violée par ses frères honteux, un monde où la
barbarie, le racisme, la xénophobie écrasent
l’espoir, la culture et la civilisation. On ne
peut rester indifférents à cette montée des
nationalismes fascisants en Europe et
ailleurs, à ces régimes totalitaires ou
religieux qui veulent exterminer, tuer toute
forme d’humanisme.
Et pourtant quel bonheur de
rencontrer l’autre, l’étranger qui dans sa
différence nous ouvre à d’autres formes de
pensée, de culture et de partage.
Ces monologues, ces cris de douleur,
d’indignation, ces cris de vie, je souhaite
vous les faire partager dans le plaisir du jeu,
de l’amour et de la révolte.
A suivre sur scène…….
Dominique Deschaintres.
Photo Allison Haugmard
11. 8
Barzou Abdourazzoqov
Barzou Abdourazzoqov, né en
1959 au Tadjikistan, est le fils
d’un couple d’acteurs célèbres.
Enfant de la balle, il étudie la
mise en scène à Douchanbe, la
capitale, puis à Moscou. En
1991, il crée un Atelier théâtral et réalise sa
première mise en scène. Puis d’autres suivent à
Tachkent, en Ouzbékistan. Il crée un « Othello »
qui l’emmène en tournée aux USA puis revient au
Tadjikistan où il devient directeur artistique du
Théâtre National de Khoudjand, une cité
industrielle sur la route de la soie. Il vient à
l’écriture en revisitant « les Fourberies de
Scapin » à la manière Tadjik puis en 2003 avec « 8
monologues de femmes » qui remporte un franc
succès populaire dans tout le
Tadjkistan.
Dominique Deschaintres
Comédienne, Clownesse,
Metteur en scène et
Auteur (membre de la
SACD). A 16 ans elle
débute par le Théâtre
Amateur à Colombes et
Neuilly puis au Conservatoire de Levallois.
Formation aux Cours Dullin (Pierre Valde,
Charles Charras, Christian Dente, Monique
Hermant, Yves Kerboul) puis reçue au
concours de l’Ecole Nationale de Strasbourg
(Groupe XVI) sous la direction de Jean-
Pierre Vincent et Claude Petit Pierre
(1974/1977). Comédienne au sein de diverses
structures ou Cies (Théâtre National de
Strasbourg, Théâtre de l’Est Parisien,
Théâtre de l’Oppossum, Frersmol & Kie,
Théâtre du Troc, etc.) Elle a joué sous la
direction de ou avec Jean Dautremay, Jean-
Pierre Vincent, Christian Peythieu, Jean-
Louis Hourdin, Arlette Chosson, Kepa
Anushastegui, Rafaël Rodriguez, Marc
Jolivet, Hervé Pierre, Martine Schambacher,
Zoé Maistre, le Clown Smol, François
Chattot, Gilles Olen, Philippe Altayrac,
Caroline Chaniolleau,
Didier Thibault, Marc Profichet et le Clown
et Scénographe Olivier H’Small.
Actuellement porteuse des projets
artistiques de la Compagnie A BOUT DE
FICELLE et responsable de ses Ateliers
Théâtre depuis 1994, elle a conçu et mis en
scène, plus de 40 créations dont le Théâtre
Ambulant Chopalovitch, Peploum (spectacle
de Rue), Le Voyage des Saltimbanques
(diptyque sur l’histoire du théâtre), A
l’Italienne (Toto, Eduardo de Filippo,
Pirandello), Ubu-Rue d’après Alfred Jarry et
Dans La Peau d’Un Acteur d’après Simon
Callow… Elle a interprété : Lorca,
Shakespeare, Toto, Karl Valentin, Michel
Deutsch, Dario Fo, Tchékhov, Eduardo de
Filippo, Gorki, Rétif de la Bretonne, Bertolt
Brecht…Elle tourne actuellement dans 2
spectacles de la Compagnie : Trompe l’œil &
Cache Misère (Karl Valentin) et Marchands
d’Oublis, (spectacle théâtral et forain) créé
au CDN du TDB dans le cadre du « Festival
Théâtre en Mai » …
Joëlle Nacmias
Chanteuse et guitariste, elle
a commencé à chanter en
public à Aix en Provence
dans les années 80.
Elle se produit sur scène en
concert avec différents
groupes dont Encima Band (salsa y samba),
Etna, avec lequel elle a enregistré 2 CD
(musiques des Balkans et de Méditerranée),
« Mozzarella Family Connection ». Elle
chante aussi en solo…
Pour le Théâtre : Création musicale de la
pièce "Miracles au Chargan" de Lioubomir
Simovitch, avec Mauro Coceano, mise en
scène de Nathalie Chemelny. Cie Moitié
Raison Moitié Folie, Scène Nationale de
Cavaillon. Avec la Cie A Bout de Ficelle :
Photo Allison Haugmard
12. 9
collabore à la musique de deux spectacles :
« Le Théâtre Ambulant Chopalovitch » de
Lioubomir Simovitch et « Marchands
D’Oublis » création au CDN de Dijon
Festival Théâtre en Mai TDB. Pour
Borderline, la présence et la voix de Joëlle
Nacmias, sont un bel accompagnement au
voyage dans le cœur de ces huit femmes. Ces
huit confidences demeurent aussi
singulières qu’universelles, et les mélodies
chantées par Joëlle Nacmias multiplient à
l’infini les langues et les voix de ces femmes
qui se livrent au public avec force, simplicité,
douleur et humour. Ces chants venus
d’ailleurs nous touchent par leur nostalgie,
leur simplicité et leur joie et nous
communiquent le bonheur et la douleur
d’être née femme
Elle est également praticienne de Shiatsu et
Do In
La Compagnie et ses membres
Née de la rencontre de Dominique
Deschaintres et d’Olivier H’Small, clown
plasticien et enfant de la balle, A Bout de
Ficelle, compagnie théâtrale atypique,
regroupe des artistes venus d’horizons
divers qui cherchent à inventer des forme
originales de spectacles à la fois comiques,
engagés et pluridisciplinaires.
Mêlant les univers du théâtre, du cirque,
du music- hall et du voyage, les spectacles
d’A Bout de Ficelle sont accessibles à
tous, sans limite d’âge, ni barrière de
langue.
Face à un monde audiovisuel où la rencontre acteur /spectateur devient rarissime, la compagnie
A Bout de Ficelle affirme la spécificité du spectacle vivant, charnel et éphémère, dans un
rapport privilégié entre l’acteur- auteur et son public.
A Bout de Ficelle a tourné ses spectacles un peu partout en France, en Europe et même en
Afrique. Dans des petites ou des grands théâtres, sous des chapiteaux, dans des rues, des
villages, des gymnases, des usines, des écoles, des hôpitaux, des maisons de la culture, des
centres et des déserts culturels, des grands ensembles, des supermarchés, des péniches, des «
galères », des foires, des carnavals, des fêtes et de nombreux festivals…
Photo Claudine Rocher
13. 10
PAROLES DE SPECTACTEUR
Bonjour,
les applaudissements n'étaient pas de pure convenance ce 29 octobre pour Borderline, ils étaient chargés de ferveur,
et je fus de ceux-là. La performance d'acteur consistant à endosser différents personnages aurait pu être simplement
démonstrative, elle ne le fut pas. La charge émotive s'est emparée du spectateur, le laissant un peu sur le cul à la fin.
Tout était dans la justesse, sans l'ostentation qui aurait pu mettre à terre le propos. C'était une surprise de voir ce
spectacle si différent des précédents et j avoue ma reconnaissance d'avoir osé cela. Le texte est assez étonnant et
mériterait sans doute plus de notoriété. J'ai été séduit aussi par Joëlle qui maitrise totalement la situation et les
langues. Quelle voix chaude, beaucoup de l'émotion est aussi passée par sa voix.
Bravo.
Roland Lemeur 4 Novembre 2013.
Je viens de recevoir un petit mot d’une amie qui est allée voir ton spectacle hier soir. Je t’en transfert quelques
lignes : « Sur tes conseils, Jean et moi sommes allés voir hier soir la création de la compagnie A Bout de Ficelle au
Théâtre 95 ! Un voyage étonnant, plein d’émotion et d’humour au cœur d’histoires de femmes… par des femmes de
talent ! Le moment le plus fort pour moi, la résilience de cette femme violée et battue par sa famille suivie tout de
suite après par une chanson brésilienne… Waouh !! D’ailleurs, j’aurais terminé le spectacle par ce portrait. »
J’avais déjà très envie de voir Borderline, mais là, ma frustration est encore plus grande. Bravo à toutes les deux, et
donne moi tes futures dates de spectacle dès que tu le pourras pour que je puisse trouver un billet de train pas trop
cher.
Kyra Gomez, 31 Octobre 2013.
C’est vraiment un beau spectacle !
Myriam Haugmard, 31 Octobre 2013.
Merci à toi et à Joëlle pour cette belle interprétation, parfois amusante mais également très émouvante. Merci
également à Olivier pour ses talents de décorateurs, régisseur…(homme à tout faire) ! Ce fut un réel plaisir de
partager cette soirée avec vous.
Laurence Coville, mars 2014
Merci Dominique pour cette superbe soirée sur le Story-Boat ! Le choix de cette fabuleuse chanteuse fut très
pertinent ! Quelle harmonie entre vous deux !
Cécile Berthe, mars 2014.
14. 11
QUELQUES LIEUX
Spectacle crée en résidence en 2013 :
- au Théâtre 95, à Cergy-Pontoise
- au PTT (Petit Théâtre des Terrasses), MJC de Conflans Sainte-Honorine
Et joué :
- à la Maison de l’Europe et de l’Orient à Paris
- au Storyboat à Conflans Ste Honorine
- Au SAX d’Achères, dans le cadre du dispositif FLORA (femmes en difficulté),
- à la salle des fêtes de Frouville
- à la salle Georges Brassens de Menucourt dans le cadre de la Fête des Femmes
Reprise au printemps 2015.
Photo Jean-Baptiste Brésard
17. Développement durable & Récupération artistique
Un atelier de recyclage et de création artistique à partir
d’objets recyclés, récupérés, abandonnés: Appareils
électroniques, emballages plastiques, tuyaux, ampoules,
bouchons plastique, outils, selles, roues de vélo ou de
landau, fils électriques, piles, couverts, vieilles
chaussures, tissus, balais, serpillères, brosses à dents,
fers à repasser.
Un atelier pour tous,
auprès de publics divers et variés (enfants, ados,
adultes, personnes agées, personnes en situtation de
handicap, public en insertion...).
Possible en tous lieux
Festivals, salons, écoles, entreprises, MJC, centres
sociaux, associations environnementales, régie de
quartier, etc.
Déroulement
Les ateliers sont proposés par journée ou demi-journée
au minimum, et peuvent se présenter sous forme de
stage de plusieurs jours, d’une semaine ou plus. En
fonction du lieu et du nombre de personnes, des
tranches d’âges, OH SMALL formera lui même un ou
plusieurs groupes.
Objectif
L'objectif de l'atelier est la réalisation d'oeuvres
collectives et/ou individuelles. Possibilité de faire une
présentation finale sous forme d’exposition. Ce travail
collectif, fruit de la participation de chacun propose une
alternative artistique face aux conséquences de notre
surconsommation.
Un atelier,
où la récupération devient création,
où l’on redonne une autre vie à l’objet
inutile,
où ce qu’on jette retrouve une nouvelle
vie,
où chacun peut jouer à l’artiste sans se
prendre au sérieux,
où la technique est un outil et non une
fin en soi.
Développement durable & Récupération artistique
Un atelier de recyclage et de création artistique à partir d’objets
recyclés, récupérés, abandonnés: Appareils électroniques,
emballages plastiques, tuyaux, ampoules, bouchons plastique,
selles, roues de vélo ou de landau, piles, couverts, vieilles
chaussures, balais, serpillères, brosses à dents, fers à repasser.
Un atelier pour tous,
auprès de publics divers et variés (enfants, ados, adultes,
personnes agées, personnes en situation de handicap, public
en insertion...).
Possible en tous lieux
Festivals, salons, écoles, entreprises, MJC, centres sociaux,
associations environnementales, régie de quartier, etc.
Déroulement
Les ateliers sont proposés par journée ou demi-journée au
minimum, et peuvent se présenter sous forme de stage de
plusieurs jours, d’une semaine ou plus. En fonction du lieu et
du nombre de personnes, des tranches d’âges, OH SMALL
formera lui même un ou plusieurs groupes.
Objectif
L'objectif de l'atelier est la réalisation d'oeuvres collectives et/
ou individuelles. Possibilité de faire une présentation finale sous
forme d’exposition. Ce travail collectif, fruit de la participation
de chacun propose une alternative artistique face aux
conséquences de notre surconsommation.
L'ATELIER ,
où la récupération devient création,
où l’on redonne une autre vie à l’objet
inutile,
où ce qu’on jette retrouve une nouvelle
vie,
où chacun peut jouer à l’artiste sans se
prendre au sérieux,
où la technique est un outil et non une fin
en soi.
18. Quelques dates
Depuis 2004 : Salon de Mai
à Mesnil Le Roi, Biennale
d e l a M a r i o n n e t t e à
Andrésy, 16e salon de Mai
à Maisons Lafitte. Prix de
l’humour (2005). Jazzenville
à C o n fl a n s S a i n t e
H o n o r i n e , F ê t e d e
l’humanité au Bourget,
Ministère de la santé à
Paris, Théâtre en Mai -
Musée des Beaux Arts à
Dijon (2008), Ministère de
l’Environnement espagnol à
Va l s a i n e n E s p a g n e ,
Festival internacional
Titirimundi à Segovia en
Espagne (2009), La Calle
Indiscreta à Zaragoza en
Espagne, Quinzaine du
Développement Durable à
Eragny Sur Oise (2011),
Festival des cultures du
monde à Cergy, Bonne
Machine à Conflans Sainte
H o n o r i n e , L e s
Roul’automne à Cergy,
S e m a i n e d u
développement durable à
Courdimanche (2014).
L’ EXPOSITION
A partir d’objets donnés, jetés, oubliés ou
récupérés, OH’ SMALL, clown de son état,
crée et construit un univers visionnaire et
surréaliste mais toujours empreint d’une
cruelle nostalgie.
Ses sculptures-jouets qui représentent des
animaux, des musiciens ou des circassiens
sont simples et pleines d’astuces. Elles
provoquent un rire de reconnaissance et nous
permettent de porter un regard ironique sur
notre condition d’hyperconsommateurs.
C’est une forme d’art brut, drôle, cocasse et
chargé du sens d’une destinée éphémère.
19. Là parmi les fûts, les bidons, les bouteilles, les détritus et
emballages de toutes sortes, le clown périmé, mais
optimiste, va découvrir la poésie de l’accordéon et la
magie des poubelles et raconter des petites histoires
d’amour en fabriquant, bricolant et manipulant tout ce
qu’il trouve… Reconstruisant le monde à partir de ses
déchets, OH’ SMALL présente un show
«eclownlogique et pestaculaire» à ne pas jeter sur la
voix publique. Basura Cirkus, une fable clownesque
pour sensibiliser petits et grands aux problèmes de
l’environnement et un plaidoyer pour la défense des
espèces comiques en voie de disparition...
Olivier H’ SMALL est un clown qui joue dans
la rue et en salle depuis une trentaine
d’années. Plasticien et scénographe de
formation, il a eu envie d’allier la pratique du
clown à l’art de détourner et de transformer
les objets quotidiens. Dans Basura Cirkus
(cirque des poubelles), un clown américain et
vagabond se retrouve abandonné au milieu
d’une décharge interdite (bien que publique).
Spectacle crée en Mai 2009 dans le cadre du festival
international « Titirimundi » à Segovia (Espagne).
Ecriture, bricolage, décor et enluminage : Olivier H’SMALL
Mise en piste : Dominique DESCHAINTRES
Avec Gilles ROCHE (le flic), Chloé SMALL ( l’accordéoniste ),
Olivier H’SMALL ( le tramp ).
Clownerie écologique, caustique et biodégradable
Avec Chansons, objets animés et effets très spéciaux.
Un clown échappé d’un cirque américain se retrouve sur les
routes, là il se retrouve dans un espace « réservé aux
nomades ». Dans cette décharge à ciel ouvert, seul au
milieu des poubelles, il va récupérer, recycler, reconstruire et
bricoler des « sculptures-personnages » (princesse,
animaux, etc.…). Grâce à ces « objets jetés », il va devant
vous reconstruire un univers, en inventant de petites fables
dans lesquelles évolueront ces personnages nés dans la
décharge. La découverte d’une jeune et jolie accordéoniste
et d’un jongleur abandonné va transformer sa vie. Ensemble
en unissant leurs talents ils vont pouvoir vous présenter :
Une Fable Clownesque pour sensibiliser petits et grands aux
problèmes de l’environnement, des exclus et des nomades
et un plaidoyer pour la défense des « espèces comiques »
en voie de disparition…
L
E
S
P
E
C
T
A
C
L
E
20. La Compagnie A BOUT DE FICELLE
Née de la rencontre de Dominique Deschaintres comédienne formée à l’école du TNS et d’Olivier H’Small clown plasticien
enfant de la balle, A Bout de Ficelle, compagnie théâtrale atypique, regroupe des artistes venus d’horizons divers qui
cherchent à inventer une forme originale de spectacle à la fois comique et pluridisciplinaire.
Mêlant les univers du cirque, du théâtre et du music- hall, les spectacles d’A Bout de Ficelle sont accessibles à tous, sans
limite d’âge, ni barrière de langue.
Clowns au féminin et au masculin, les excentriques d’A Bout de Ficelle sont des pitres contemporains qui montrent et
démontent notre société. Irrespectueux et subversifs, aussi tendres que méchants, aussi provocateurs que dérisoires, ils
prennent le bien pour le mal et inversement.
OH’SMALL
est un clown qui joue dans les rues et en salle depuis une trentaine
d’années. Plasticien et scénographe de formation, il a eu envie d’allier la
pratique du clown à l’art de détourner et de transformer les objets
quotidiens.
En 1992, à la suite de l'interdiction des décharges à ciel ouvert, Olivier
H'Small a eu l'idée de créer un spectacle sur les espèces clownesques en
voie de disparition sur fond de décharge sauvage : le Poubelle Circus qui a
tourné un dizaine d'années en France et en Europe et qui a donné
naissance à Basura Cirkus en 2009. Et depuis, son travail clownesque,
plastique et scénographique, tourne autour de cette idée originale et
ambitieuse : Comment faire du beau et du drôle avec du laid et du triste ?
COMIK BAZART
est un concept «éclownlogique», pour petits et grands, déclinable en trois
volets qui proposent, de façon ludique, une sensibilisation aux enjeux du
développement durable et une réflexion burlesque sur l’environnement.
Olivier H’ Small vous propose donc sa formule «au menu» ou «à la carte»:
un spectacle interactif, une exposition évolutive et un atelier participatif.
Bon appétit!
A suivre . . .