FORMATION INA EXPERT 2014 : 2. La chaîne documentaire du document sonore inédit . Expérience de la phonothèque de la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme
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Le patrimoine numérique, de la production à la valorisationguest3c0ffc
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FORMATION INA EXPERT 2014 : 2. La chaîne documentaire du document sonore inédit . Expérience de la phonothèque de la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme
1. La
chaîne
documentaire
du
document
sonore
inédit
Expérience
de
la
phonothèque
de
la
Maison
méditerranéenne
des
sciences
de
l’homme
Véronique
Ginouvès,
Juin
2014
2.
3. Des éléments objectifs
- Un document unique : lorsqu’il est copié ce n’est
pas dans un but commercial, il ne se réfère à
aucune norme de fabrication.
- Un document fixé sur des supports variés
analogique ou numérique
- Les principaux informations qui le décrivent
sont fournies par celui(celle) ou ceux qui l’ont
enregistré : l’emballage de la boîte quand il y en
a, nommage du fichier, documents joints.
4. Définition de l’UNESCO : le
patrimoine audiovisuel
Le patrimoine audiovisuel comprend, sans que la liste soit limitative :
a) Les productions de son enregistré, productions radiophoniques, productions
cinématographiques, productions télévisuelles ou autres, comprenant des images en
mouvement et/ou des sons enregistrés, que ces productions soient ou non essentiellement
destinées à la communication au public ;
b) Les objets, les documents, les oeuvres et les éléments intangibles ayant un rapport avec
l'audiovisuel, qu'ils soient considérés d'un point de vue technique, industriel, culturel, historique
ou autre, notamment les documents se rapportant aux industries du film, de la télévision de la
radiodiffusion et de l'enregistrement du son tels que la documentation, les scénarios, les
photographies, affiches, les documents publicitaires, les manuscrits et les artefacts tels
qu'équipement technique et costumes ;(11)
c) Les concepts tels que la perpétuation de savoir-faire et d'environnements en voie de
disparition associés à la reproduction et à la présentation de ces documents.(12)
En conséquence, presque toutes, sinon toutes, les archives audiovisuelles devraient adapter
cette définition à leurs propres paramètres en définissant, par exemple, un cadre géographique
(le patrimoine d'un pays, d'une ville ou d'une région, etc.), temporel (le patrimoine des années
30 ou d'une autre époque) ou une spécialisation thématique (le patrimoine radiophonique avant
la télévision en tant que phénomène social).
5. Définition de l’UNESCO :
les archives audiovisuelles
L'absence d'une expression succincte, mondialement reconnaissable pour décrire le
concept d'archives audiovisuelles, à l'instar des mots "bibliothèque" ou "musée" qui
suscitent immédiatement la compréhension, est sans doute un handicap majeur. Le
juste terme, sans doute à inventer et qui pourrait être populairement admis, nous
libérerait de la pléthore d'appellations actuelle et de l'association équivoque des mots
audiovisuel et archive.
Les archives audiovisuelles sont des organisations, ou des services au sein
d'organisations, qui se consacrent à la collecte, à la gestion, à la conservation
et à la communication d'une collection de documents audiovisuels et du
patrimoine audiovisuel.
6. Au sein de l’administration française, Guy
Thuiller, premier théoricien de « l’archive
orale » avec trois grands axes :
• Inciter les historiens à utiliser « ce “capital”
symbolique et immatériel que l’on appelle expérience
ou mémoire en recueillant les souvenirs des
personnes âgées » ;
• Créer des collections sonores sur la mémoire
collective en accumulant des documents pour les
historiens futurs sans idée d’exploitation immédiate
• Imaginer « l’ingénierie » des archives orales en
décrivant la chaîne complète des opérations
nécessaires à la production de ces archives d’un
nouveau genre, fabriquées de toutes pièces pour le
bénéfice des historiens.
7. Définitions des archives nationales
Le terme archives orales est réservé aux
enregistrements contemporains, à caractère verbal,
effectués dans l’exercice courant et normal des
activités d’une personne morale ou physique : discours
ou entretiens radiodiffusés, allocutions, conférences,
audiences, plaidoiries, débats, films, documentaires,
émissions, actualités enregistrées, etc. (cf source
volontaire ou primaire)
Le terme témoignage oral est préconisé pour les
documents oraux provoqués a posteriori et conservés
en vue d’un usage patrimonial ou historique (cf sources
involontaires ou secondaires).
10. L’enregistrement sonore du terrain
conservés dans un centre d’archives :
quelles fonctions ?
- Produire du document comme l’écrit, l’audiovisuel ou l’iconographie
- Recueillir rapidement et de façon efficace une
information évite la prise de notes, source d’erreurs
- Fixer des données qui ne peuvent être recueillies
que sous forme orale pratiques linguistiques, vécu, affectif,
représentations du symboliques ou de l’imaginaire, sujets sensibles sur lesquels il
n’existe pas d’archives imprimées, pièces musicales qui n’ont jamais fait l’effet de
transcriptions
- Donner la parole aux anonymes
- Compléter des sources imprimées et photographiques
11. Enregistrement sonore, un
historique à prendre en compte
1877, en avril Charles Cros invente le Paléophone mais
en novembre, Thomas Alva Edison invente le Phonograph
1888, Émile Berliner fabrique le gramophone
1934, BASF et AEG Telefunken produisent une bande
magnétique plastique, le « Magnetophon » est lancé
1950, sortie du premier magnétophone grand public
1964, Philips met au point la cassette compacte
1983, lancement du disque compact
1987 lancement du DAT
1992, introduction du Minidisc (Sony) et du DCC (Philips)
À partir de 2000 généralisation des enregistreurs
numériques et du système direct-to-disc.
12. Chez les archivistes
La démarche impulsée par Thuillier/Aron-Schnapper
dégage un nouvel espace professionnel et un
nouveau métier dans le domaine historique, celui
d’archiviste-oral, à côté du conservateur d’archives
traditionnel et de l’historien
⇒ Caractère planifié, construit et volontariste des
archives orales provoquées
⇒ Ouverture de département d’archives orales dans
les services des archives départementales.
13. L’exemple de la Sécurité Sociale
Ces enquêtes ont permis d’engager une analyse
des pratiques de discours, d’un groupe
d’acteurs à l’autre, sur les systèmes de valeurs,
de motivations et de représentations présents
dans les différentes catégories professionnelles
interrogées, ainsi que sur le fonctionnement
interne concret d’une grande organisation
(pratiques et comportements, relations
interpersonnelles, conflits, clivages internes,
rapports de pouvoir).
14. Chez les ethnologues : un intérêt
récent pour « leurs » archives
-‐ Départ
d’une
première
généra6on
d’ethnologues
;
-‐ Désir
d’archives,
patrimonialisa6on
et
mémoire
;
-‐ Evolu6on
de
la
discipline
et
de
ses
objets
de
recherche
;
-‐ Fermeture
des
terrains
et
mondialisa6on.
hDp://africanistes.revues.org/2542
15. Un
intérêt
croissant
des
populaEon
enregistrées
pour
«
leurs
»
archives
Les
popula6ons
qui
ont
été
enregistrées
sur
le
terrain
souhaitent
retrouver
ces
documents
qui
rendent
compte
de
leur
histoire
et
leur
vie
culturelle,
leur
res6tuent
des
tradi6ons
oubliées
hDp://phonotheque.hypotheses.org/5077
16. L’inquiétude des chercheurs sur la
consultation de « leurs » archives
Lorsque
les
sociétés
étudiées
ont
évolué
brutalement,
le
chercheur
se
retrouve
en
posi6on
d’informateur
de
tradi6ons
qui,
au
moment
de
leur
collecte,
évoluaient
avec
le
temps.
Mais
ces
archives
ne
sont
pas
celles
des
sociétés
étudiées,
elles
sont
le
produit
d’un
projet,
d’une
rencontre.
Comment
les
matériaux
de
terrain
vont
être
consultés
et
interprétés
par
les
communautés
où
ils
ont
été
produits
?
Plutôt
qu’un
patrimoine
à
res6tuer,
ils
sont
vus
par
les
chercheurs
comme
des
objets
de
recherche,
des
informa6ons
à
partager.
hDp://ateliers.revues.org/2902
17. Un intérêt croissant
des professionnels de l’information pour les
matériaux de terrain
Les structures archivistiques traditionnelles
n’accueillent que depuis très récemment les matériaux
de terrain.
1972 La création de l’association Dastum est
intrinsèquement liée à un service d’archives sonores ;
1978 Création de l’Institut de l’histoire du temps
présent (IHTP) ;
1979 Création de l’association française des
détenteurs de documents sonores et audiovisuels :
http://afas.revues.org
18. Un intérêt croissant
des professionnels de l’information pour
les matériaux de terrain
1980 Entrée des archives orales aux archives
nationales en particulier sur l’impulsion de Chantal
de Tourtier-Bonnazzi, conservateur à la Section
Contemporaine des Archives nationales ;
1988 création de l’IMEC, Institut mémoires de
l'édition contemporaine : rassemble, préserve et
met en valeur des fonds d'archives consacrés aux
principales maisons d'édition, aux revues et aux
différents acteurs de la vie du livre et de la
création ;
19. Un intérêt croissant
des professionnels de l’information
pour les matériaux de terrain
2003, Rapport Cribier-Feller (LASMAS) :
Projet de conservation des données qualitatives
des sciences sociales recueillies en France
auprès de la « société civile »
2007 Claude Lévi-Strauss choisit de déposer
tous ses manuscrits et notes de terrain à la
BnF ;
2011 Création du TGIR Huma-Num et de
Consortia sur les archives des chercheurs.
21. Charte de qualité d’un
enregistrement de terrain
Le signalement :
• Fiche enquête : lieu et date de l’enquête,
préparation, langue utilisée, contexte, document
accompagnant l’enregistrement ;
• Fiche informateur : nom, prénom, sexe, date et lieu
de naissance, profession, langue maternelle, relation
avec l’informateur :
• Fiche enregistrement : séquences.
L’enregistrement audio : microphone et format utilisé,
transferts et sauvegarde des fichiers numériques.
22. La
chaîne
documentaire
Est
un
schéma
général
qui
décrit
les
opéra6ons
successives
qui
s’appliquent
à
un
document
dans
un
lieu
de
ressource
documentaire
hDp://www.adbs.fr/chaine-‐documentaire-‐16489.htm?RH=OUTILS_VOC
23. 3
chaînons,
2
fils
rouges,
1
quesEon
• Entrée
• Traitement
• SorEe
• Ques6ons
juridiques
et
éthiques
• Veille
d’informa6on
Quelle conservation sur le long terme ?
24. Un traitement documentaire pour la mise à disposition
de l’archive utilisation des métadonnées Dublin Core
Titre : Title Titre complet du document
Responsabilités:Creator Ceux qui ont élaboré le document
Droits :Rights Droits de propriété intellectuelleDroits de propriété
intellectuelle, Copyright, droits de propriété divers
Langue: Language
Date : Date AAAA-MM-JJ
Type de doc :Type sound
Format : Format Format physique du document
Localisation : Coverage
Qualité du son :
Résumé :Description
Descripteurs : Subject
Notice en lien : Relation
Source : Source La notice source
Identifiant : Identifier URI du fichier son
26. Conserver sur le long terme. Soutiens et
méthodes
Quels partenariats envisager et quand ? Pourquoi
faire et à quelles conditions ? Quels avantages ?
Quelles Contraintes ?
Quelles aides logistiques et financières ?
27. Quels moyens pour le partage des données ?
hypotheses.org : Plate-forme de publications de carnets de la
recherche
calames.abes.fr : Catalogue en ligne des archives et des manuscrits de
l'enseignement supérieur
archive.org : Digital library of Internet
medihal.archives-ouvertes.fr : Archive ouverte de photographies et
d'images scientifiques
Omeka : Plate forme de publication Web, libre et adhérent à l’Open
source.
30. Constituer une masse critique :
64 655 documents sonores
et audiovisuels sur Isidore
31. 2 335 sources de données numériques
regroupées en 93 collections
Pour donner accès 3 231 906 à ressources
Parmi elles, se trouvent 64 655 documents sonores ou audiovisuels
puisées dans
• Les archives du centre de recherche en ethnomusicologie
• Gallica
• Le portail MANIOC
• La phonothèque de la MMSH
• L’université ouverte des humanités
• …
Accès unifié aux données numériques de SHS
32.
33. Missions de la Phonothèque
• Collecte
• Conservation – Numérisation
• Analyse
• Consultation - Valorisation
34. La collecte
du document sonore inédit
Collecter, c’est choisir, sélectionner et trier
• notion de source scientifique
• notion de collection
• notion de droit
35. Conservation et
numérisation des données
Objectifs de la numérisation :
• Assurer une sauvegarde optimale et une
conservation pérenne des archives sonores ;
• Permettre aux chercheurs de mettre en forme leurs
archives sonores en vue d'une édition ;
• Développer les capacités de consultation et de
valorisation des archives sonores par l’utilisation
des nouvelles technologies tout en améliorant les
coûts de mise à disposition de l’information.
36. Le mouvement
des archives ouvertes
Né de la nécessité de faire communiquer entre
elles les bases d’archives (les rendre
interopérables).
Convention de Santa Fé en 1999
• Le libre accès aux résultats de la recherche
devient un postulat ;
• De nombreux pays et institutions adhèrent
formellement à ce principe.
37. Les bibliothèques sont là pour faciliter
l’accès à l’information
Les motivations pour
la création de ce mouvement
Perspective locale
Perspective globale
Les bibliothèques, comme les institutions,
sont là pour garantir l’accès à l’information
Source
38. Le protocole OAI-PMH : = un outil pour faire
parler entre eux les catalogues documentaires
L’ Open Archive Initiative
Protocol for Metadata
Harvesting (OAI-PMH) permet
d’échanger des métadonnées
entre services. Il est basé sur
les standards du Web.
Rendu public en 2001, il
définit des protocoles de
structuration et d’interrogation
communs pour
l’interopérabilité.
A lire pour en savoir plus :
http://
phonotheque.hypotheses.o
rg/tag/oai-pmh
39. Portail du patrimoine oral :
Intérêt du protocole OAI-PMH
• Faciliter l’échange et le partage de données
entre les différents centres d’archives sonores
mais aussi avec des bases de données
hétérogènes (son édité, texte ou image) sur
des domaines proches.
• Sortir de l’enfouissement du Web des
documents difficilement repérables et
valoriser les ressources numérisées.
40. Portail du patrimoine oral :
Intérêt du protocole OAI-PMH
• Centraliser les informations et fournir
un accès unique pour les recherches
tout en conservant l’identité de chaque
catalogue.
• Valoriser le document sonore inédit en
permettant que les catalogues de
phonothèques soient disponibles dans
dans des bases de données
internationales.
41. La vie du quartier du Panier de 1936 à l'après guerre
Cote : D51, D52 - N°41
Responsabilités : enquêteur Castell, Claudette ; enquêteur Coulomb, Nicole ; informateur
0043. Enregistré à Marseille, mai 1979
Mémoire de l'entre deux guerres des quartiers Saint Jean et Panier
Genre du doc : récit de vie
Localisation de l'original : MMSH - Phonothèque
Dépositaire : 1980-06 Coulomb, Nicole (CREHOP Centre de Recherches et d'Etudes sur
l'Histoire Orale, les ethnotextes et les Parlers régionaux). Contrat de dépôt , d’utilisation et de
diffusion signé le 18 mars 2002
Langue : français
Descript. tech. de l'original : 2 bdes
Durée : 1h10 min
Immigrée italienne, l'informatrice évoque les relations de voisinage qui existaient dans les vieux
quartiers de Marseille: Les voisins étaient de la famille. L'informatrice nous fait revivre le 14 juillet en
évoquant l'ambiance dans les rues du Panier, les jeux pour les enfants et les bals gratuits. C'est
l'occasion aussi de se remémorer le carnaval et les costumes en papier crépon. Suit une conversation
sur la guerre avec l'évacuation et la destruction du quartier de Saint-Jean, le ravitaillement, la
Résistance, la collaboration et les déportations. Elle évoque ensuite les bombardements italiens et
américains qui ont détruit les vieux quartiers de Marseille et les épidémies de peste avec la statue de
Belsunce qui siége devant la cathédrale. Le cinéma et les films de Charlie Chaplin ont marqué l'esprit
de l'informatrice. Elle nous parle aussi des pastorales en provençal jouées à Noël devant les enfants du
patronage et des marchands ambulants (laitier, aiguiseur de coûteux, vannier,...). L'enquête se termine
par une conversation sur le maire Tasso et l'incendie des Nouvelles Galeries.
42. Recueillir les bonnes pratiques pour
mieux diffuser les données
Rédaction collective d’un recueil de bonnes
pratiques sur les questions de droit et
d'éthiques pour la mise en ligne des
données en sciences humaines et sociales
Journées d’étude et ateliers d’écriture :
MSH Tours (septembre 2011) ; MMSH Aix-en-
Provence (novembre 2011) ; MSH Dijon (juin
2012) ; participation au THATCAMP Paris 2012 ;
MESH Lille (novembre 2012) ; INHA Paris (juillet
2013) ; ADESS, Bordeaux (décembre 2013) :
http://ethiquedroit.hypotheses.org
46. Les
valeurs
à
ne
jamais
oublier…
• L’intégrité
des
collec6ons
;
• La
contextualisa6on
systéma6que
des
archives
et
de
la
recherche
;
• Les
droits
des
informateurs
d’hier
et
d’aujourd’hui
;
• Les
droits
des
u6lisateurs
de
demain
;
• L’usage
des
standards
et
des
normes.
47. Contacts
Le blog : http://phonotheque.hypotheses.org
L’association des détenteurs de documents
sonores et audiovisuels : http://afas.revues.org
Le portail du patrimoine oral :
http://www.portaildupatrimoineoral.org
Liste de discussion :
archives-son-audiovisuel-request@listes.revues.org
Courriel : ginouves[@]mmsh.univ-aix.fr
49. Crédits photographiques et sonores
Bill Smith chercheur au KOAC avec un magnétophone à bandes portable, Université de l’Orégon, 1955. Pas de
restrictions de droits connues.
Dépôt du fonds sonores Marceau Gast à la phonothèque de la MMSH, Laure Principaud, janvier 2011.
Utilisation du tarare, André Rouvier, Barrême, Corinne Cassé, juillet 2012.
Etudiante conduisant un entretien (East End), 1946, sous la direction du professeur Tibor Barna. Archives de la LSE
(London school of economics),
Dessins de Corinne Cassé, bibliothécaire, Berre-L’Etang
Extraits sonores :
N°167, enquête de Jean-Pierre Belmon, 1984, Evocation des temps anciens aux Saintes-Maries-de-la-Mer
N° 2929, enquête de Jean-Pierre Francis Agostini, 2008, Un agriculteur retraité témoigne à propos de la vie dans le
hameau de Libre en Vallée de Roya des années 1930 à nos jours
N°527, enquête de Jean-Noël Pelen, 1994, La cueillette des olives
N°3200, enquête d’Olivier Féraud, 2008, Série d'appels aux poissons d'un marchand en dialecte de Puozzoli à
Naples
N°1826, enquête de Jean Mascaux, 1959, Chants et témoignages des lavandiers espagnols au Revest-du-Bion à la
fin des années cinquante
N°3067, enquête de Marceau Gast,
Méthodologie :
Descamps, Florence, L’historien, l’archiviste et le magnétophone : de la constitution de la source orale à son
exploitation. Paris, France: Ministère de l’économie des finances et de l’industrie, Comité pour l’histoire économique
et financière de la France, 2005. http://igpde.revues.org/104
Fédération des associations de musiques et danses traditionnelles (France). Commission Documentation,
Bénédicte Bonnemason, Véronique Ginouvès, et Véronique Pérennou. 2001. Guide d’analyse documentaire du son
inédit : pour la mise en place de banque de données. Saint-Jouin-de-Milly : Paris, France: Modal : AFAS
http://halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/97/93/99/PDF/2011_-_Guideanalysedocumentairedusoninedit.pdf