1. Aymeric Belloir
En route vers le Multi 50 et la Route du Rhum
Dossier de partenariat
Projet parrainé
par Alain Gautier !
2. LA VOILE
Une dynamique porteuse de sens
Pour la notoriété, la voile est l’un des rares sports, avec le
cyclisme, qui permette à l’annonceur de donner son nom à
une équipe. Le sponsoring est l’occasion de jouer avec les
codes de ce sport où dominent rêve et élégance, aventure et
dépassement de soi.
Pour leur communication interne ou externe, les entreprises
y puisent des symboles porteurs : management en équipe,
environnement, santé, performance, défi… En communication,
interne et commerciale, le feuilleton d’une course touche
collaborateurs et partenaires et contribue à les fédérer.
Beaucoup de sponsors utilisent leurs partenariat à des fins de
relations publiques «B to B» ou de ressources humaines. La mer
permet enfin de positionner la notoriété d’une marque en
délivrant un message à la fois écologique et technologique.
® 300 000 licenciés à la Fédération française de voile en
2013 (source FFV)
® 8 millions de pratiquants (source FFV 2013)
® 3ème sport le plus diffusé dans le JT *
® 70% des français de 15 ans et plus ont suivi au moins un
évènement voile au cours de l’année*
® Retour moyen sur investissement dans le sponsoring
voile variant d’un coefficient de 2,5 à 4,5 par an
(source Hickory Sport)
® L’amateur de voile appartient à la catégorie CSP+,
surreprésenté dans les foyers aisés et moyens supérieurs
*sources 2011 : Sport Data Center, Havas Sport,TNS Sofres,TNS Sport
3.
4. LES HOMMES
Aymeric BELLOIR
L’océan comme horizon
Sur la Terre
® 37 ans, marié, 3 enfants.
® Dirigeant de Exosail,société de services nautiques,assistance
et préparation, course et croisière.
Sur la Mer
® Victoire Mini Transat 2013
® Vice Champion de France 2013 Circuit Promotion Course au
large en solitaire
® Champion de France 2012 Circuit Promotion Course au large
en solitaire
® Victoire Les Sables Les Açores 2012
® Victoire Transgascogne 2011.
® 1 Transat AG2R.
® 3 Solitaires du Figaro (3ème
bizuth 2007).
® l’équivalent de 4 tours du monde en course et convoyage.
Alain Gautier, vainqueur du Vendée Globe 1992-1993 à propos de la
victoire d’Aymeric sur la Mini Transat 2013 :
«Aymeric a fait une très belle navigation,il a suivi une trajectoire rigoureuse.
Il donne l’impression d’avoir mené une course intelligente.Il ne roulait pas
sur l’or pour mener son projet, mais il l’a bien géré privilégiant la simplicité
pour préparer et optimiser son bateau. Sur l’eau, il a donné le ton dès le
début. Sa performance se mesure aussi à la manière selon laquelle il s’est
accroché à la tête de flotte des prototypes. Il termine avec une avance
très confortable sur ses concurrents qui bataillent dur. C’est une victoire
méritée, un grand coup de chapeau !»
5. ne l’as que si tu viens de l’olympisme.
Le Figaro, lui, t’apprend à naviguer en
flotte sous une pression constante, c’est
la problématique la plus importante.
Il faut savoir tenir cette pression sur
plusieurs jours. Tu apprends à gérer plein
de paramètres en même temps, tout
en changeant de configuration très
souvent suivant l’endroit où
tu navigues. Il te faut donc
de vrais roadbooks, très
précis et utilisables même
quand, avec la fatigue,
ton cerveau va tourner au
ralenti.
Mais en 2009, je sens que
le manque de moyens
m’empêche de franchir un
pallier de progression. Et je
repense au Mini.»
Comment se passe la
rencontre avec ce Nacira
que tu vas mener à la
victoire ?
«Je dois gagner ma vie
et un projet Mini peut
me permettre de continuer à travailler.
Corentin Douguet vient de lancer le
Nacira et je travaille dessus avec lui tout
en achetant le dixième construit.
Parallèlement je fais quelques
convoyages et travaille aussi avec le
TP52 Paprec. Je fais aussi du coaching.
J’offre le nom de mon Nacira à
l’association «Tout le monde chante
contre le cancer» et je fédère autour des
partenaires. Cela me permet de courir
un peu, avec des budgets modestes :
moins de 20 000 euros en 2011/2012 et
moins de 30 000 en 2013. C’est très peu.»
Tu cours peu, mais tu gagnes...
«On remporte l’Open demi-clé, mais le
vrai déclic c’est la Transgascogne 2011
dont je gagne les deux étapes.Performer
devient alors un véritable objectif, mais
je n’ai ni le budget ni le temps pour
m’aligner sur la Transat. En 2012, je
continue à travailler : en coaching, en
prise en mains du Nacira pour d’autres
ou encore à bord du trimaran ORMA
d’Alain Gautier, chez Sensation Océan.
Puis arrive 2013 et cette année de Transat
où je n’ai pas un sponsor assez
conséquent pour un grand
programme sportif. Alors,
je décide de ne m’aligner
que sur deux courses avant
la Transat : le Trophée
MAP et la Select 6,50. Du
coup, j’étais peu présent
et n’avais pas beaucoup
de pression. Tout le
monde parlait de Justine
(Mettraux, la Suissesse qui
finira 2e), seuls les initiés
pensaient que je pouvais
jouer le podium.»
L’avant-course a été
rocambolesque entre les
reports, la neutralisation
à Gijon, un convoyage
délicat vers Sada, puis la traversée sans
escale... comment as-tu vécu tout ça?
«Les reports sont forcément perturbants.
Quand on décolle enfin de Douarnenez,
j’ai des sentiments contradictoires : je
sors dans le trio de tête et je sens que je
suis dans le coup. Je suis très motivé, j’ai
confiance... mais je sais aussi qu’il faudra
se faire mal et j’ai la boule au ventre car
je considère que le passage du cap
Finisterre n’est pas possible ! On connaît
la suite : ils nous envoient sur Gijon.
Puis il y a le convoyage vers Sada qui
fait partie des navigations les plus dures
que j’ai eues à subir alors que j’ai plus de
100000millesaucompteurenconvoyage
(l’équivalent de trois tours du monde,
ndr)». Le passage des derniers caps
avant La Corogne est incroyablement
difficile : mer démontée, rafales à 50
AYMERIC
BELLOIR :
exploit en Mini,
avenir en Multi...
Vainqueur en série d’une Mini
Transat hors normes, le skipper
du Nacira 810 «Tout le monde
chante contre le cancer» a signé
un exploit sans précédent : 6e
au scratch ! Aymeric Belloir a
impressionné par une trajectoire
et une gestion impeccables.
Surtout, son histoire fait sens :
oui, on peut devenir un grand
marin en prenant les chemins de
traverse.
Rencontre.
Aymeric, avant cette grande victoire
on ne te connaissait que dans le milieu.
Présentation ?
«Je suis né à Nantes en 1978. Je vis à
Etel avec ma femme Gaëlle et nos deux
garçons. J’ai toujours navigué, mais
souvent en dehors des filières classiques.
Je viens à la fois du convoyage, des
sports de glisse et de la voile légère. J’ai
fait de l’Optimist en scolaire : en baie
de La Baule on tournait autour du Lada
Poch de Loïck Peyron. Je me souviens
parfaitement du départ du Vendée
Globe 1989 : j’avais 11 ans et ça me
faisait rêver. J’ai commencé l’habitable
avec le Trophée des Lycées, puis le Spi
Ouest, les entraînements d’hiver à La
Trinité...»
Les études ?
«Bac scientifique et Fac de sciences
mais je bifurque sur l’Institut Nautique de
Bretagne où j’apprends le métier de chef
de base. A 20 ans je passe mon diplôme
de skipper professionnel (le BPPV) et mon
Brevet d’Etat.
A l’issue de cette formation, je pars un
an autour du monde sur un Sun Magic
44 qu’on mène à trois. Une expérience
fantastique via l’Australie, l’Indonésie,
Singapour, la Thaïlande... Je traverse
l’Océan Indien, c’est ce voyage qui m’a
appris le large.
Arrivé à Santorin, je n’ai plus d’argent et
je dois travailler. Je me retrouve à louer
des bateaux à Saint Raphaël et c’est là
que j’ai l’opportunité d’être engagé sur
des convoyages. Je commence par la
Croatie, la Grèce, la Turquie, puis ce sera
beaucoup plus lointain : les Seychelles,
des transats vers les Caraïbes et même
vers Tahiti.
Je travaille en indépendant,en équipage
réduit voire en solitaire. Il m’arrive plein
d’aventures, toujours intéressantes,
parfois périlleuses.C’est très formateur.Je
commence à penser à la Mini.A chaque
convoyage je passe beaucoup de
temps à réfléchir au projet. L’idée d’une
transat en course me titille.»
Sauf que tu commences par le Figaro...
«Sur un convoyage,je rencontre Jacques
Palvadeau qui me permet de mettre le
pied dans le circuit Figaro.
Je cours trois saisons de 2007 à 2009
avec de supers souvenirs, dont celui
de la Transat AG2R 2008 avec Pierre
Dombre (aujourd’hui entraîneur au Pôle
Finistère). Je suis un autodidacte de la
course, c’était forcément très riche. Par
les convoyages, j’avais l’expérience
du manque de sommeil, de mes limites
personnelles et je savais faire avancer
vite un bateau, même si l’exigence
du réglage parfait et permanent, tu
6. noeuds. Nous sommes nombreux à faire
des pauses dans les baies au passage
du cap Ortegal. Enfin arrivés à Sada,
j’ai un mal de terre terrible, le café du
port est gîté à trente degrés. Mais j’ai
surtout un gros problème qui me fait très
concrètement envisager l’abandon.
J’ai une main très enflée et je n’arrive pas
à identifier pourquoi. La problématique
devient : «est-ce que je peux prendre le
départ ou pas ?»
Une «aventure médicale»
rocambolesque elle aussi...
«C’est très inquiétant et les avis médicaux
par téléphone sont divergents. Ma
femme fait même appel à un guérisseur
à distance, on ne sait jamais ! Je trouve
une voiture pour aller aux Urgences
à La Corogne... sauf qu’on se trompe
d’hôpital. Mais en demandant mon
chemin, une femme me dit que son
mari est médecin et régatier. J’ai droit
à une consultation privée idéale. Je
lui dis que je pars pour gagner - pas
pour participer - et que je veux son
avis des deux points de vue, médecin
et compétiteur. Il comprend et me dit :
«alors, tente ! Au pire tu as les Canaries
sur ta route...» Le tout me redonne une
confiance énorme. Le lendemain, je ne
sais pas si c’est le guérisseur avec son
pendule ou les paroles du médecin,
mais si ma main reste enflée j’ai moins
mal. Je suis remonté à fond et ça se
voit tellement que les autres autour
de moi s’en rendent compte. J’ai
accordé beaucoup d’importance à ces
rencontres, ce côté humain m’a porté.»
On ne va pas refaire ici ta transat,mais tu
as dégagé une impression générale de
facilité, avec une trajectoire très propre,
très fluide...
«Beaucoup de marins me l’ont dit...et ça
me fait super plaisir, c’est un magnifique
compliment ! Quand tu regardes Kelly
Slatter surfer, tu as aussi l’impression que
c’est facile. J’avais l’impression d’être
porté, de naviguer en état de grâce.
Avec une confiance énorme dans mes
choix et les choses qui se mettaient en
place naturellement, tranquillement.
J’avais parfois lu des interviews de marins
qui évoquaient ce sentiment, mais ils
s’appelaient Armel Le Cléac’h ou Yann
Eliès ! C’est une sensation incroyable.
J’étais absolument certain que ma
trajectoire était la bonne. Je ne doutais
pas. J’avais mon schéma général
- à moyen terme je visais un point au
milieu de l’Atlantique - et je ne faisais
que l’actualiser avec ma météo. Dès
les Canaries, je me sentais super fort.
J’étais convaincu que la bonne route
pour les autres c’était... derrière moi !
Les moments de doute dans des zones
moins ventées ont été très rares et là je
ne me suis jamais énervé. Je pensais à
ce que je dis toujours à mes enfants :
soyez patients.»
Si tu devais résumer les grandes raisons
de ta victoire ?
«Cet état de grâce dans tout ce que je
faisais. Un très bon bateau : la géométrie
du gréement du Nacira fait que tu
peux vraiment allumer dans le gros
temps et c’est fiable : aucun Nacira n’a
démâté ou eu de dommages graves
sur cette transat et nous sommes trois
sur le podium avec ce même bateau.
Mon expérience a joué : aux Canaries,
je connaissais parfaitement le coin, les
lumières, le relief, j’avais du déjà y passer
une dizaine de fois. Je sentais que ça
me donnait un avantage, ça renforçait
encore la spirale positive. J’étais fluide,
super confiant dans mes choix.
Enfin,l’écart à l’arrivée s’explique aussi en
partie parce qu’à deux ou trois moments
c’était une course de capitalistes : plus
tu étais devant et plus tu gagnais des
milles.»
En Mini, on n’a pas de contact avec
l’extérieur.
Comment gérais-tu ta journée ?
«Loïck Peyron a dit un jour que l’important
était de se créer une routine et je me suis
toujours souvenu de ça, je l’applique
aussi en convoyage. Tu crées un cycle
de 24 heures, avec plein de rendez-
vous - ta toilette, la météo, les repas,
les siestes - et tu fais ta vie comme ça,
en l’adaptant avec les conditions et le
fait que la nuit soit avec lune ou noire,
auquel cas le pilote barre bien mieux
que toi. Je dirais qu’il faut savoir être
placide et routinier...tout en étant pointu
et exigeant sur tes trajectoires et tes
réglages, évidemment.»
Tes sentiments à l’arrivée devaient être
très forts après ces 21 jours de mer...
«Je suis assez perfectionniste et la
première chose que je me suis dit c’est
«well done, voilà un boulot bien fait !»
Ensuite,il y a eu une grande fierté de voir
ma femme et
mes enfants
sur l’eau.
Au moins ils
m’auront vu
un jour gagner
une grande
course.
Puis on me
p a s s e a u
t é l é p h o n e
Alain Gautier,
u n d e m e s
héros, et il
me dit «bravo, tu as fait une course
formidable, J’étais très ému !»
Ton avenir de coureur?
«En multicoque.
Pendant la Transat, je me suis dit que je
reviendrai en Guadeloupe pour la Route
du Rhum, avec un multi sous mes pieds.
Je viens de la glisse, j’aime le côté vivant
de ces bateaux, leur vitesse, ce rapport
à l’espace et au temps qui change tout.
En trimaran,dans la même journée tu vas
faire un tour aux Glénans puis tu
t’autorises deux tours de Belle-Ile et il
te reste encore un peu de temps pour
quelques runs de vitesse devant Groix!
Donc voilà mon projet : gagner la Route
du Rhum en Multi50.
Je travaille activement pour emmener
des partenaires avec moi dans cette
aventure. Le budget n’est pas tellement
plus élevé que celui d’un bon Class40 et
c’est un excellent compromis pour les
entreprises.»
On imagine que tu as demandé l’avis
d’Alain Gautier...
«J’ai navigué un peu en MOD70, en
Multi50, j’ai échangé sur ce projet avec
Yves Le Blévec, mais aussi avec Alain,
bien-sûr. Il m’a beaucoup encouragé
en m’expliquant : «clairement, pour
naviguer en multi il faut être structuré et
tu l’es. Donc
je ne vois pas
où serait la
d i f f i c u l t é » .
A l a i n e s t
q u e l q u ’ u n
qui m’inspire
vraiment. Il
est serein,
t r a n q u i l l e . . .
et il y a pire
comme prof !»
Propos recueillis par Bruno Ménard,
pour le magazine Course Au Large
le 24/02/14
7. Team «SENSATION OCEAN»
La qualité d’un capitaine se mesure aussi à sa capacité à s’entourer
Créé et développé par Brice Lavirotte en 2005 après 13 années
d’expérience dans la communication, Sensation Océan est
une structure dont la vocation première est de permettre à
tous,entreprises et particuliers,de naviguer à bord de trimarans
ORMA,bateaux de course de 18m aux sensations indescriptibles.
Avec la complicité de Alain GAUTIER, puis de celle de Jean-
Baptiste DEJEANTY, l’entreprise s’est étoffée et a offert depuis
à des centaines de passionnés ou novices, des navigations
extraordinaires sur de vrais bateaux de course au large (Vendée
Globe, Route du Rhum,Trophée Jules Verne …)
Elle y a gagné un véritable savoir-faire dans la gestion d’une
flotte de bateaux exigeants,et l’organisation d’évènements sur
l’eau, la gestion de projet et la communication. L’expérience
de Brice Lavirotte alliée à l’expertise d’Alain Gautier font de
«Sensation Océan» une structure redoutable d’efficacité.
En quelques chiffres :
® 2 grands bateaux de course au large en gestion : un
trimaran 60 pieds ORMA, et un maxi-catamaran 74
pieds G-Class
® Une flotte de 8 catamarans monotypes de 25 pieds,les
ex bateaux du Trophée Clairefontaine
® Plus de 50 sorties «commerciales» par an
® Près de 600 personnes embarquées chaque année
® 2 permanents + 2 équivalents temps plein
® 3 skippers de renom : Alain Gautier, JB Dejeanty et
Aymeric Belloir
® Une équipe de 8 skippers diplômés Capitaine 200 pour
les sorties
® Une quinzaine de péparateurs/équipiers spécialistes
de la course au large à disposition
8. MULTI 50
Un Trimaran de 15 mètres
Quoi de plus aérien, de plus rapide et de plus impressionnant
qu’un multicoque de course au large ?
15m de long pour 15m de large,des accélérations prodigieuses
et une vitesse de pointe inouïe,les Multi50 ont réussi l’impossible :
offrir le meilleur du multicoque à un coût abordable.
Aujourd’hui, la Classe Multi 50 est la seule classe de multicoque
de course à être systématiquement représenté sur toutes les
grandes courses classiques : Route du Rhum, Transat Jacques
Vabre, Transat Québec Saint Malo, offrant aux partenaires une
lisibilité constante.
Le trimaran impressionne, par sa vitesse, son design proche de
l’albatros, l’audace nécessaire pour apprivoiser ces purs sangs
sur lesquels la navigation est souvent synonyme d’équilibre
acrobatique.
Naviguer sur ces bateaux est une expérience plus proche du
vol que de la navigation conventionnelle.
C’est aussi pour cette raison que le Multi50 est une plateforme
d’opérations de relations publiques exceptionnelle. Les sorties
à 30 nœuds deviennent un souvenir inoubliable, et un élément
fédérateur très fort pour l’entreprise.
9. L’objectif : Route du Rhum
L’objectif du projet est de concevoir une plateforme neuve
pour une mise à l’eau fin 2016, afin de profiter des dernières
innovationstechnologiquesetarchitecturales,pourconstruireun
projet gagnant sur la Route du Rhum 2018.L’aspect conception
et réalisation devient alors une formidable métaphore pour
l’entreprise qui doit innover sans cesse,tout en ayant la patience
de mûrir les projets au maximum. La construction du bateau
elle-même devient un feuilleton vibrant pour les partenaires,
dans un cadre technique exotique pour la plupart, jusqu’à ce
moment unique qu’est la mise à l’eau d’un bateau neuf.
Chaque année un programme de course est conçu par la
Classe Multi 50 permettant aux bateaux de naviguer de mai
à novembre, le cœur de l’hiver étant consacré au chantier
d’entretien.
A titre d’exemple, voici le programme 2014 :
® 2 au 5 mai : Grand Prix Guyader
(Douarnenez)
® 29 mai au 31 mai : Armen Race (La Trinité sur Mer)
® 20 au 24 juin : Record SNSM (Saint Nazaire)
® 22 au 24 aout : Trophée Prince de Bretagne
(Saint Quay Portrieux)
® 29 au 31 aout : Trophée du port de Fécamp
® 2 au 23 novembre : Route du Rhum
10. LE PROGRAMME
Entre la conception, la réalisation et la fiabilisation du trimaran,
10 à 12 mois sont nécessaires.
C’est la raison pour laquelle nous vous proposons d’initier le
projet en 2016 par une participation à The Transat (Transat en
solitaire ralliant Plymouth à New York), sur un bateau existant,
éprouvé et fiable.
Dans l’attente de la livraison du trimaran, votre partenariat
est mis en avant et l’impact de ces courses lui permet d’être
directement identifiable dans le paysage de la Course au
Large.
2016 : Mai : The Transat
Juillet : Transat Quebec Saint Malo
2017 : Novembre : Transat Jacques Vabre
2018 : Novembre : Route du Rhum
Chaqueannée,unprogrammedecoursecompletetdémarrant
en avril / mai permet d’animer le partenariat tout au long de
l’année. La participation au circuit est à la fois l’opportunité
d’organiser des opérations B to B, mais aussi l’élément essentiel
du développement sportif du projet, avec en ligne de mire les
grandes classiques cités ci-dessus.
11. Les Transats en chiffres
Route du Rhum
Saint Malo à Pointe à Pitre (Guadeloupe)
3 540 milles nautique soit 6 400 km
® 85 bateaux au départ
® 3ème évènement en UBM (2000) derrière les JO et
Rolland Garros
® Le 1er évènement de voile océanique
® 2 millions de personnes à Saint-Malo
® 120 000 personnes à Pointe-à-Pitre
® 900 journalistes accrédités et 121 médias présents
® Près de 15 000 retombées média
® 1,8 millions téléspectateurs sur France 3 le jour du
départ (diffusion en direct)
The Transat (ex Transat Anglaise)
Plymouth à New York avec prologue Bretagne sud à Plymouth
® Plus de 500 médias de 30 pays accrédités
® Plus de 100 journalistes sur place
® Valorisation Média TV: 5,7 M ¤
® Valorisation Média Print : 3,2 M ¤
® Plus de 500 000 visites sur le site web de la course,
1,6M de pages vues
® Valorisation totale couverture média : 10 000 000 ¤
12. BUDGET
Option 1
Conception et réalisation d’un bateau neuf
Plateforme équipée prête à naviguer : 1,8 M¤
Budget annuel de fonctionnement : 0,4 M¤
TOTAL avec amortissement sur 4 ans : (annuel) 0,850 M¤
Option 2
Achat d’un bateau existant
Plateforme et reconditionnement : 0,8 M¤
Budget annuel de fonctionnement : 0,4 M¤
TOTAL avec amortissement sur 4 ans : (annuel) 0,6 M¤
Ce budget inclut la totalité du fonctionnement sportif du projet.
La partie communication en est volontairement absente. Il
revient au partenaire de déterminer précisément l’engagement
et le type d’opération qu’il souhaite mener.Par expérience,ces
budgets tournent autour de 5 à 10 % à minima.
Sponsoring voile, un outil marketing puissant :
® Business to Consumer : NOTORIETE, offerte au partenaire
principal grâce au «naming».
Outils : Nom du bateau / Affichage sur la coque et les voiles /
Affichage sur les produits / Jeux Concours et PLV
® Business to Business : FIDELISER,ANIMER
Outils : Navigation sur le bateau / Invitation Départ ou Arrivée de
course
® Communication Interne : FEDERER,VALORISER, DYNAMISER
Outils : Intervention du skipper en entreprise / Suivi interne du
partenariat / Vêtements marqués
® Exploitation des Valeurs de la Voile : aventure, audace,
ténacité, écologie, technologie, performance,
engagement...
13. CONTACT
Aymeric Belloir
06 62 00 33 48
aymericbelloir@exosail.fr
«Il est un mot sur lequel je lis et j’entends depuis longtemps des
affirmations tantôt lénifiantes, tantôt fausses : le parrainage sportif.
…
Elle va de caricature en caricature. Soit elle fait l’impasse sur la
dépendance réciproque de l’entreprise et du sport, le sportif a
besoin d’argent et l’entreprise a besoin de notoriété et d’image, soit
elle présente ce lien comme une épouvantable aliénation pour un
monde comme pour l’autre, une terrible compromission,…
Personne à ma connaissance n’a pris la peine,parmi les contempteurs
du sponsoring d’analyser le lien en dehors de la logique financière.
La philosophie fait peur. La dimension philosophique du lien entre
l’entreprise et le sport échappe. Et bien moi, elle est la seule qui
m’intéresse…
Je n’ai pas engagé le groupe que je dirige pour augmenter son
chiffre d’affaires… Je prétends que le sponsoring est affaire de valeurs
et d’idéologie au sens propre du mot, c’est à dire de promotion des
idées et des idéaux.»
Extrait de l’ouvrage «Embarqués ensemble» - Attique éditeur. 2005
Jacky Lorenzetti, ex-Président du Groupe Foncia.
Aymeric à son arrivée
en Guadeloupe,
Victoire Mini Transat 2013
14. RETOMBEES CREPES WAHOU
Investir en Multi50
Le meilleur retour sur investissement de la course au large
Transat Jacques
Vabre 2005
(internet non
comptabilisé)
Transat Jacques
Vabre 2009
(nouveau bateau)
Transat Jacques
Vabre 2007
(internet non
comptabilisé)
Route du Rhum
2006
(internet non
comptabilisé)
650 K
1 M
500 K
2 M
Route du Rhum
2010 – Casse Abandon
Budget
Annuel
Comm comprise
Retombées media
en équivalent euros
(étude Argus Media)
Exemple : Crêpes Whaou ! – FY Escoffier
Source : Etudes Argus Media
15. REVUE DE PRESSE
Passages Télévison
- Télé Matin sur France2
- Emission & journaux sur
TébéSud et Tébéo
- Journaux France3 Bretagne