2. Définition
Vécu d’une expérience sensorielle et émotionnelle
désagréable, associé à un dommage tissulaire
présent ou potentiel, ou décrit en termes d’un tel
dommage
5. Rôle
Signal d’alarme utile, met en alerte l’individu et
l’invite à remédier à une situation dangereuse pour
son intégrité physique. Ce rôle est retrouvé dans
l’ensemble du monde animal : un stimulus
désagréable entraînera une réaction de défense
7. • La douleur aigüe: signal d'alarme qui permet de rechercher la
cause, elle a un rôle protecteur. Elle est récente, transitoire, cède
rapidement et est intense.
• La douleur chronique : subsiste plus de 3 mois => devient une
maladie qui va retentir sur l'appétit, le sommeil, la vie quotidienne.
• Douleurs neurogène : ne résultent pas de lésions tissulaires mais
d’une interruption, d’une perturbation des voies de transmissions de la
douleur.
• Douleur psychogène : aucune cause somatique.
8. Les Causes
sont nombreuses et variées: mécanique, thermique, infectieuse,
métabolique, toxique, compression nerveuse…
12. • La topographie (siège, irradiations)
• Le type : mord, gratte, pique…
• L’intensité (à évaluer)
• Le profil évolutif : début, durée, fréquence, ancienneté, mode d’apparition et
évolutif
• Les facteurs de soulagement et d’aggravation
• Les manifestations associées
• L’impact sur la qualité de vie, l’humeur, l’anxiété, le sommeil, la souffrance
globale
16. Définition
• Vécu d’une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associé
à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrit en termes d’un tel
dommage
• Rôle de signal d’alarme utile, met en alerte l’individu et l’invite à remédier
à une situation dangereuse pour son intégrité physique. Ce rôle est
retrouvé dans l’ensemble du monde animal : un stimulus désagréable
entraînera une réaction de défense
• Phénomène neuro-psychologique qui associe deux composantes,
intriquées à des degrés variables :
17. • Composante sensorielle (ou somatique) : processus neuro-
physiologiques de détection, de définition qualitative, de
localisation topographique et de quantification de l’intensité du
signal « douleur »
• Composante psychologique (ou émotionnelle), : tonalité
affective, désagréable ou insupportable associée. Cette
dimension du vécu douloureux est d’autant plus sévère et
responsable de réactions secondaires anxio-dépressives que la
douleur est durable ou récidivante. Doit toujours être évaluée
et prise en compte dans la démarche thérapeutique
19. • La douleur aigüe: signal d'alarme qui permet de rechercher la
cause, elle a un rôle protecteur. Elle est récente, transitoire, cède
rapidement et est intense.
• La douleur chronique : subsiste plus de 3 mois => devient une
maladie qui va retentir sur l'appétit, le sommeil, la vie quotidienne.
• Douleurs neurogène : ne résultent pas de lésions tissulaires mais
d’une interruption, d’une perturbation des voies de transmissions de la
douleur.
• Douleur psychogène : aucune cause somatique.
20. Les Causes
sont nombreuses et variées: mécanique, thermique, infectieuse,
métabolique, toxique, compression nerveuse…
24. • La topographie (siège, irradiations)
• Le type : mord, gratte, pique…
• L’intensité (à évaluer)
• Le profil évolutif : début, durée, fréquence, ancienneté, mode d’apparition et
évolutif
• Les facteurs de soulagement et d’aggravation
• Les manifestations associées
• L’impact sur la qualité de vie, l’humeur, l’anxiété, le sommeil, la souffrance
globale
29. 1. Stimulation douloureuse des terminaisons nerveuses cutanées, musculaires, articulaires ou viscérales
2. Formation du message nociceptif véhiculé par des fibres spécifiques afférentes : les nocicepteurs
3. Détection et codage de l’intensité du stimulus
4. Le message rejoint le SNC (au niveau des racines postérieures du rachis ou bien au niveau des nerfs
crâniens) via les nerfs périphériques
5. Transmission au cerveau via le moelle épinière
• une voie aboutissant au cortex somesthésique (aires somatiques primaire SI et
secondaire SII du lobe pariétal) qui renseigne sur l'emplacement, l'intensité et la nature de
la stimulation douloureuse
• une voie aboutissant au système limbique qui donne la dimension affective,
motivationnelle, en provoquant une sensation désagréable (au niveau du cortex cingalaise
antérieur) et en donnant une dimension discriminative (pour le cortex insulaire)
6. Mise en place du contrôle supra-spinale par le Tronc Cérébral à l’origine d’une voie descendante
analgésique