Les points de la présentation
Présentation brève des modèles de psychothérapies;
Les deux orientations des psychothérapies;
Le modèle contextuel (un modèle de synthèse et
d’efficacité);
Les bons et les mauvais psy;
La position du patient;
Exemple pratique pour la maladie bipolaire: la
thérapie bipolaire (par Dr Dan Niculescu);
Recommandation pour les patients bipolaires;
Recommandation pour les psy.Les psychothérapies dominantes
La psychothérapie psychanalytique (Freud, Adler,
Young, Karen Horney);
La psychothérapie comportementale (Pavlov, Skinner,
Wolpe, etc.) ;
La psychothérapie systémique;
La thérapie cognitive et comportementale (TCC,
Beck).Les psychothérapies min
Les types de psychothérapies et de psychothérapeutes
1. Les types de psychothérapies et
de psychothérapeutes
Annecy, le 2 novembre 2013
Dr Niculescu Dan
dr.niculescudan@gmail.com
2. Les points de la présentation
Présentation brève des modèles de psychothérapies;
Les deux orientations des psychothérapies;
Le modèle contextuel (un modèle de synthèse et
d’efficacité);
Les bons et les mauvais psy;
La position du patient;
Exemple pratique pour la maladie bipolaire: la
thérapie bipolaire (par Dr Dan Niculescu);
Recommandation pour les patients bipolaires;
Recommandation pour les psy.
3. Les psychothérapies dominantes
La psychothérapie psychanalytique (Freud, Adler,
Young, Karen Horney);
La psychothérapie comportementale (Pavlov, Skinner,
Wolpe, etc.) ;
La psychothérapie systémique;
La thérapie cognitive et comportementale (TCC,
Beck).
4. Les psychothérapies mineures
L’hypno thérapie (l’hypnose);
Thérapie interpersonnelle (TIP);
EMDR;
Thérapies de groupe…(Thérapie comportementale
dialectique, de Bower);
Thérapie de schéma (Young);
Thérapie de pleine conscience (par approche mentaliste);
Des centaines de types de psychothérapies…
La thérapie plus récente:
La thérapie bipolaire (par Dr Dan Niculescu).
5. EXEMPLE: EMDR, ("Eye movement desentization
and reprocessing« ) reprogrammation et
désensibilisation par le mouvement de l'œil.
une sorte d'hypnose : en faisant suivre un pointeur à
une personne, on lui fait pratiquer toute une série de
mouvements avec les yeux.
Cette gymnastique oculaire permettrait d'agir sur les
neurones et le cerveau. Ainsi, les blessures des
traumatismes vécus dans l'enfance s'estomperaient.
Sachez en outre que, selon les cas, il faudra de 3 à
12 séances de thérapie, d'une durée de 60 à 90 minutes
(http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/dossiers/hypnose/8118-hypnoseemdr-servan-schreiber.htm)
6. Les soins de santé mentale
…exercent une influence fondée sur leur revendication
d'un statut scientifique, mais cette revendication est
fausse….
Ce qu'ils font en réalité, c'est induire chez les individus
une compréhension de la vie selon certaines manières
qui sont des artefacts des cultures de la guérison.
Robert FANCHER
7. La divergences des modèles des
psychothérapies
les difficultés rencontrées … ne viennent pas de
l'absence de modèle pour la recherche, mais de la
multiplicité des modèles élémentaires qui
divisent…(Orlinsky et Howard, 1978).
8. De tout, rien et … n’importe quoi…
un fatras de théories et de pratiques ayant
apparemment peu de choses en commun ... ; un
mélange de praticiens dont les tendances
philosophiques, la formation, et les activités divergent
terriblement ... Un désaccord si important fournissait
un terrain fertile pour … gonfler les affirmations de
leur efficacité (Strupp, 1978).
9. Efficacité des psychothérapies
une personne ayant suivi un traitement est mieux que
80 % de celles qui n'ont pas bénéficié d'un traitement
(Lambert & Ogles, 2004 ; Wampold, 2007);
la psychothérapie produit des résultats en or;
le traitement prophylactique (par aspirine) des
attaques cardiaques a eu comme résultat une taille
d'effet de 0,03 (versus 0,80 obtenue pour la
psychothérapie en tant que traitement des problèmes
de santé mentale).
10. Le modèle médical à 5 composantes
Premièrement, il y a un trouble, un problème, ou une
plainte ;
Deuxièmement, il existe une explication pour ces
problèmes: en psychothérapie, l'explication serait
psychologique (traumatiques);
Troisièmement, il existe des mécanismes de changement
cohérents avec l'explication du trouble, qui peuvent être
actionnés en but thérapeutique;
Quatrièmement (et le plus important): l'action
thérapeutique est responsable des bienfaits de la
psychothérapie, et aucun autre facteur, tel que l'alliance
avec le thérapeute, ne l'est (par exemple, la diminution des
symptômes a été causée par l'exposition prolongée et par
aucune autre(s) action(s) et/ou condition(s);
Cinquièmement, la spécificité : les techniques spécifiques
règlent des troubles spécifiques (Wampold, 2001b).
11. Les deux grandes orientations en
psychothérapie
Les psychothérapies spécifiques (ou psychologiques) :
avec des ingrédients spécifiques pour traiter des
troubles spécifiques;
Les psychothérapies génériques : sans les ingrédients
spécifiques (avec les «facteurs communs»). …(Barlow,
2004, p. 873 ).
12. Deux grandes orientations
actuelles en psychothérapie
Les modèles des facteurs spécifiques comme:
l’écoute non-interventionniste, les associations libres
pour la psychanalyse;
l’exposition pour la thérapie comportementale;
l’analyse fonctionnelle et la restructuration cognitive
pour la TCC;
Les modèles des facteurs communs comme:
le travail en collaboration, la centralité du client, la
structure du traitement etc.
13. Certaines psychothérapies sont-elles plus
efficaces que d'autres, et si oui, lesquelles ?
En médecine, certains traitements sont plus efficaces
que d'autres, et certains sont même nocifs;
… en médecine c'est l'ingrédient spécifique qui
constitue le point crucial d'un traitement;
un modèle médical de la psychothérapie prédit que
certains types de psychothérapies seront plus efficaces
que d'autres;
14. Les méta-analyses ont répondu a la
question…
«Certaines psychothérapies sont-elles plus efficaces
que d'autres, et si oui, lesquelles ?»
Smith et Glass, 1977; Smith et al., 1980
Robinson, Berman, & Neimeyer, 1990 ;
Shapiro & Shapiro, 1982 ;
Wampold, Minami, Baskin, & Tierney, 2002
15. Certaines psychothérapies sont-elles plus
efficaces que d'autres, et si oui, lesquelles ?
en ce qui concerne les troubles de l'adulte et de l'enfant
les plus prévalent, tous les traitements à but
thérapeutique ont une efficacité équivalente;
la différence d’effet lié a la spécificité entre les
différentes psychothérapies est de seulement 1 % de
la variance dans les résultats.
16. Le modèle psychothérapeutique
basé sur les facteurs communs
Rosenzweig (1936), à l'origine de la notion de facteurs
communs qui expliquent la réussite d'un traitement :
les côtés inspirants ou stimulants de la personnalité du
thérapeute;
la réintégration de la personnalité au travers de
l'application systématique d'une certaine idéologie
thérapeutique;
les processus psychologiques implicites tels le
reconditionnement social et
la reformulation des événements psychologiques.
17. Les premières théories et techniques:
conçues universellement applicables
pour traiter toute détresse, quels que soient le trouble;
les troubles mentaux avaient des causes libidinales (Freud);
les troubles sont des apprentissages incorrects (Skinner,
1948);
vision de la société fondée sur la liberté individuelle et
l'autodétermination (Rogers, 1961);
il régnait une antipathie mutuelle entre elles, les partisans
de chaque type de psychothérapie croyaient que leur
approche 'était la seule légitime et que les autres étaient
dans l'erreur (Miller, Duncan, & Hubble, 1997) !
18. LE MODÈLE CONTEXTUEL
(Frank & Frank, 1991, Wampold, 2001)
est un modèle de niveau supérieur, ou méta modèle, de la
psychothérapie qui soutient que les orientations
psychothérapeutiques (et les autres formes de thérapies)
ont une efficacité équivalente en raison de facteurs qu'elles
partagent toutes :
a) un dispositif destiné à guérir;
b) un exposé raisonné, un mythe, ou un cadre conceptuel
qui fournit une explication des plaintes du client et une
méthode pour les résoudre;
c) une relation de confiance, émotionnellement chargée,
avec une personne aidante ; et
d) un rituel ou une procédure qui requiert l'implication
conjointe du guérisseur et du client pour amener la
«guérison » ou la résolution.
19. LE MODÈLE CONTEXTUEL
la vérité du modèle et de ses stratégies associées, quels
qu'ils soient, ne constitue pas le point crucial pour la
réussite (de la thérapie). Chaque modèle, avec ses
stratégies associées, offre plutôt une occasion au client
et au thérapeute de s'engager dans un processus qui
promet d'être efficace (WAMPOLD et al. p.181).
20. LE MODÈLE CONTEXTUEL
Le cadre (culturel) destiné à amener la guérison;
Le mythe ou l'exposé raisonné;
Le rituel ou la technique;
Une relation de confiance chargée émotionnellement.
22. 1. Le cadre (culturel)
doit s’imprégner de puissance et de prestige
(dans la hutte d'un shaman ou dans un hôpital
occidental);
-en harmonie aux croyances communes partagées
(Wampold, 2007);
- les cliniciens doivent être flexibles pour modifier
leurs techniques, leur style, et leur type d'approche
pour mieux cadrer avec le client.
23. 2. Le mythe ou l'exposé raisonné
(explique le pourquoi)
En harmonie avec avec les attitudes et les valeurs du
client;
les thérapeutes devraient sélectionner pour chaque
patient la thérapie qui s'accorde avec ses
caractéristiques personnelles et son point de vue sur le
monde (Frank et Frank, 1991);
la «vérité» de l'exposé raisonné d'un traitement précis
est sans importance (Grawe, 2004).
24. 3. Le rituel ou la technique
(explique le comment)
Rappel: aucune différence d'efficacité entre les
approches thérapeutiques (Ahn & Wampold, 2001).
Les techniques thérapeutiques sont des dispositifs
servant à administrer et a activer de l'espoir et des
attentes positives (Kirsch, 2005).
La technique particulière n'a pas d'importance aussi
longtemps que:
un traitement a du sens pour le client;
est accepté par ce dernier; et
favorise son engagement actif.
25. 3. Le rituel ou la technique
(explique le comment)
L'allégeance est le degré auquel un praticien croit
qu'une certaine thérapie est efficace (Wampold, 1997);
un thérapeute convaincu par son expérience
personnelle de la validité d'une méthode particulière
peut être extrêmement efficace pour persuader les
patients qu'eux aussi en bénéficieront» (Frank et
Frank, 1991, p. 161 );
plus des attentes sont induites, plus importants sont
les effets qui suivent (Montgomery & Kirsch, 1997;
Nitschke et al., 2006).
26. 4. La relation de confiance chargée
émotionnellement
le traitement« n'est pas basé sur un ensemble de
techniques sophistiquées, mais dépend largement
d'une attitude de respect mutuel, curieuse et
enthousiaste ... prenant place dans la relation
thérapeutique (Jordan, 2002, p. 237);
le succès de toutes les méthodes ... dépend de la
conviction des patients que les thérapeutes se soucient
d'eux et sont capables de les aider» (Jordan, 2002, p.
154 );
la thérapie efficace requiert un investissement
émotionnel eu un engagement vis-à-vis de certaines
valeurs culturelles partagées.
27. Le modèle contextuel en pratique
un point important, c'est de savoir si, pour un client
donné, le traitement tel qu'il est administré par le
thérapeute est efficace. Cette efficacité ne peut être
établie que par un suivi des résultats pour ce client
précis (Wampold &all, p.194).
28. Les ingrédients du modèle contextuel
Crucial pour la réussite de la psychothérapie c'est la
combinaison :
du psychothérapeute;
du client; et
du travail en collaboration et la structure du traitement
proposé (Wampold & all, p.85).
29. Le psychothérapeute
Dans le modèle traditionnel : il est l'expert qui décide quel
est le problème du patient, le diagnostique, puis choisit et
prescrit le traitement;
Dans le modèle contextuel: il mobilise les forces et les
ressources personnelles du client et encourage leur
utilisation
Il collabore avec le patient pour parvenir à des solutions;
Il crée une atmosphère dans laquelle le patient peut être
ouvert, participer, tester des idées, et faire des erreurs;
Il encourage l'implication du client: la psychothérapie est
un effort commun
Il forme une équipe de travail avec le patient.
30. Les psychothérapeutes
- il devient clair que certains thérapeutes sont plus
efficaces que d'autres, indépendamment du type de
thérapie administrée (Lutz, Leon, Martinovitch,
Lyons, & Stiles, 2007 ; Wampold & Brown, 2005).
«Quelles sont les caractéristiques des thérapeutes
efficaces, ainsi que les actions qu'ils effectuent ?»
31. Les bons psychothérapeutes
sont généralement ceux qui ont une plus grande
capacité à former une alliance (Baldwin et al. );
ceux qui se concentraient sur les forces de leurs clients
;
ceux qui considèrent le patient comme une personne
fonctionnant assez bien pour avancer, réussir, évoluer
(Gassman et Grawe, 2006, p. 10).
32. Le bon psychothérapeute
Selon une enquête, les qualités essentielles d'un bon
clinicien:
les compétences à l'écoute (63 %);
la personnalité (52%);
les rapports personnels (45 %); et
le niveau d'activité (38 %) étaient (Conrad &
Auckenthaler, 2007; Von Below & Werbart, 2007).
côtés inspirants ou stimulants de la personnalité du
thérapeute (Rosenzweig en 1936);
grande implication et actif.
33. Les bons psychothérapeutes
utilisaient davantage de comportements positifs :
la chaleur,
la compréhension;
l'assertivité;
l'empathie;
l'incontournable humanité du thérapeute;
sérieux et engagé (Orlinski & Norcross, 2005).
34. Les bons psychothérapeutes
Attache une grande valeur, prouve de l'assertivité, et
une bienveillance profonde et non possessive;
faire preuve d'un regard positif ou d'une validation;
est authentique;
a confiance en lui;
a une bonne humeur;
a une sensibilité importante;
est calme lors des échanges verbaux.
35. Les bons psychothérapeutes
préparent le patient à recevoir et faire usage du feed
back;
l'ouverture de soi (non énigmatique);
la gestion du contre-transfert;
bonne gestion du contre-transfert;
la perspicacité sur soi-même;
la gestion de l'anxiété;
la capacité de conceptualisation;
évitent de focaliser les interprétations sur les thèmes
interpersonnels.
36. Les mauvais psychothérapeutes
se concentrent sur les problèmes du client et négligent
ses forces (Gassman et Grawe, 2006);
Comportements négatifs:
a) font des remarques blessantes;
b) sont autoritaires;
c) n'écoutent pas;
d) restent silencieux, distants, ou sans réaction ;
e) refusent de donner des conseils, des exercices
pratiques, ou de transmettre des idées ;
f ) diffèrent trop du client quant à la personnalité ; et
g) sont distants et indignes de confiance (Conrad &
Auckenthaler, 2007; Von Below & Werbart, 2007).
37. Le mauvais psychothérapeute
Comportements négatifs:
rabaissent;
font des reproches;
manquent d'attention ou d'intérêt;
critiquent, attaquent ou rejettent;
commentaires ou comportements hostiles, péjoratifs;
critiques, rejet, ou de blâme (Binder & Strupp, 1997;
Lambert & Barley, 2002);
sont distants et rigides, séducteurs, réalisent de
mauvaises correspondances avec les patients (Orlinski
& Norcross, 2005).
38. Les mauvais psychothérapeutes
leur thérapie crée elle-même et entretient le trouble : le
dysfonctionnement du patient est un effet iatrogène d'une
thérapie inefficace;
«savent ce qui est le mieux pour le patient» et imposent
leur vision;
répéter comme des perroquets les paroles de leurs clients;
structurent le traitement de manière inflexible et excessive
(Bohart et al., 2002);
imposent avec une confiance dogmatique les méthodes
psychothérapeutiques ;
se focalisent sur eux-mêmes.
39. Le patient
Le thérapeute et ses techniques étaient toujours
considérés comme les principaux facteurs curatifs;
vers une nouvelle réforme de la psychothérapie: «Les
clients ne sont plus des objets inertes auxquels on
administre des techniques ...» (Bergin et Garfield, 1994).
40. Le patient
- Les clients ont besoin:
de soutien et
souvent, d'un certain type de structure pour résoudre leurs
problèmes.
• Le thérapeute, plutôt que de communiquer un
savoir-faire technique, doit aider principalement :
en soutenant;
en éduquant;
en guidant et
structurant les efforts de changement personnel du
client.
41. Le patient: devenir actif
(vers une nouvelle attitude ACTIVE)
Les clients ne sont pas des récepteurs dociles d'une
intervention;
c'est le client, davantage que le thérapeute ou la
technique, qui fait fonctionner la thérapie!!! (Elkin,
1994)
les capacités du client à utiliser tout ce qui lui est
présenté surpassent toutes les différences qui peuvent
exister entre les techniques ou les approches;
la participation motivée du client constitue le facteur
le plus important!
42. Les forces du patient
Les gens surmontent des problèmes significatifs sans
recourir à l'intervention d'un professionnel;
90% des individus rapportent avoir surmonté un
problème significatif de santé, émotionnel, de
dépendance, ou de style de vie dans l'année écoulée
(Gurin, 1990);
leurs efforts, leur implication, leur intelligence, et leur
créativité leur permettent de s'adapter à différentes
approches thérapeutiques, de les métaboliser, et d'arriver
à des résultats positifs.
43. La thérapie bipolaire «contextuelle»
(Dr Dan Niculescu)
1. Cadre (culturel): cabinet, hôpital, CMP, groupe;
2. L'exposé raisonné (par psychoéducation):
- (80-90%) le trouble bipolaire est de nature biologique;
- (10-20%) le trouble bipolaire subit les influences négatives
émotionnelles et psychosociales;
3. Les techniques:
agir sur la biologie (sommeil, pharmacologie, toxiques);
agir sur le psychosocial (programme, accompagnement, suivi,
etc.);
mesurer les résultats;
4. Une relation de confiance chargée émotionnellement
44. L’engrainage de la solutionbipolaire
(exemple d’exposé raisonné)
TRAITEMENT
EVALUATION
quotidienne/
CONSCIENCE
DE SOI
CONDUITE
45. Le modèle d’intervention
dans la maladie bipolaire
Niveau des
stratégies de vie
Niveau de la
personnalité
Niveau de la fondation
(biologique)
La vie
Psychothérapies
Personnalité
Qui influence l’humeur ?
Les toxiques
Humeur
Les médicaments
Le sommeil
47. Recommandations pour les patients
Devenez actif, c'est vous le patient qui fait fonctionner
la thérapie!!!
Votre participation active est le facteur le plus
important!
Le plus important chose: les résultats. Si ils ne sont pas
corrects, remettez en question tout : le diagnostic, le
traitement, le psy, la conduite, …tout!
Les résultats favorables (stabilisation durable de
l’humeur) peuvent être obtenus en quelques semaines;
Maintenant: analysez et évaluez mieux votre thérapie.
48. Recommandations pour les psy
Si l'on veut de bons résultats, il suffit d'ajouter un peu
d'alliance avec le patient… sachez écouter, utilisez le reflet,
acquiescez, souriez, et maintenez un contact visuel ;
présentez un mouchoir ; confirmez ; et servez une tasse de
café, de thé, ou une canette d'eau.
De la même façon, comme antidote au désespoir, ajoutez
un peu de facteurs liés au client et extra-thérapeutiques.
Mélangez le tout pour faire deux portions de ressources du
client, et ajoutez une pincée d'aide au niveau social, tout en
étant constamment sensible au stade de changement
auquel le client se trouve (Walpold et all, 2012, p.66)
49. Je vous remercie pour l’attention!
Dr Dan Niculescu
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