C'est tendance à Bruxelles : trouver son partenaire amoureux avec des chasseurs de têtes www.berkeley-international.be Cest tendance à Bruxelles : trouver son partenaire amoureux avec des chasseurs de têtes. Les businessmen débordés d'alors se sont trouvés fort dépourvus. Par manque de temps ou de possibilités, certains navaient pas eu loccasion de trouver leur âme soeur.Leur solution? Aller frapper à la porte d'Annemieke Dubois et Geneviève Heintz, directrices delagence Berkeley International. Déjà présente notamment à Londres, Cannes, Melbourne, Genève,Amsterdam, Copenhague et New York, l'agence a ouvert une antenne sur l'avenue Louise, point de rencontres des plus nantis du pays. Ceux qui sinscrivent cherchent lamour, pas forcément le mariage, Annemieke préfère donc le terme d"agence dintroduction" à celui de "matrimoniale"."Le groupe cible de Berkeley International, ce sont des gens qui par leur visibilité, leur expertise, le manque detemps ne peuvent pas sorienter vers des moyens de rencontre traditionnels. Ils ne peuvent par exemple pas mettre leur photo sur Internet. Ce sont des entrepreneurs, des professions libres, despoliticiens, des personnes des médias, des sportifs professionnels, etc.Oubliez Pretty Woman: les célibataires au portefeuille bien rempli restent entre eux. Pour bénéficier des services de Berkeley, il faut en effet s'acquitter de la coquette somme de 6.000 euros. "Vous êtes alors membre à vie", précise Annemieke. A cela, il faut ajouter 2.000 euros de cotisation annuelle. "On s'adresse à des gens financièrement autonomes, indépendants." Et même un peu plus...Il sagit alors de dresser le profil du célibataire à la recherche de lamour avec précision. "On organise un rendez-vous de deux heures où on va parler de son travail, de ses ambitions, de ses passions, ses valeurs, sa vision de la vie et de lamour. On en arrive alors au sujet qui nous intéresse: quel est le genre de personne qui pourrait rendre cette personne heureuse." Une première introduction estensuite organisée. Anonymat garanti. "On ne dévoile pas le nom de la personne qui cherche lamour. On utilise des initiales pour être sûres que ça ninfluence pas le jugement de lautre personne. Si les deux marquent leur accord sur le profil de la personne quon souhaite leur présenter, on transmet les Cest tendance à Bruxelles : trouver son partenaireamoureux avec des chasseurs de têtescoordonnées de lun à lautre. On les laisse ensuite prendre rendez-vous."© thinkstock. Le couple potentiel se rencontre et Berkeley Internation prend des nouvelles de leur "date" quelques jours plus tard, histoire de savoir si lamour pourrait se manifester ou sil agit dun coup dans leau. En cas deraté, on recommence... Et ce, jusqu'à ce que la magie opère... "On ne veut pas vendre des illusions:on ne garantit pas la chimie. On peut garantir quon va rencontrer des personnes intéressantes,passer des bons moments, cest tout."Lamour serait donc un business?