1. Photographies et des élaborations originaux Antonio Florino Diapositives progresser automatique, sauf deux, trois
2. L’Eglise Santa Maria des âmes du purgatoire a Arco. L’eglise fut érigée en 1616 selon un projet de Giovanni Cola di Franco et de Givan Giacomo Di Conforto sur commission de la part de plusieurs nobles familles napolitaines et avec objectif de réaliser un lieu de sépulture, parmi les familles se distingue celle des Mastrilli, qui furent les principaux contributeurs à la construction de l’eglise. L’édifice présente sur la façàde des motifs de décorations qui représentents des crânes et des os sur le portail et dans les niches latérales. Le portail et le rond qui se trouvent en haut remontent au 18eme siècle et sont du sculpteur Giuseppe de Marino. A l’intérieur se trouve une unique neffe et de petites chapelles latérales. Le presbitaire et l’abside sont décorées selon un dessin de Dionisio Lazzari, moitié du 17eme siècle. Derrière l’autel et devant une balustrade de marbre coloré se trouve un tableau de Massimo Stanzione dont le contour est en marbre et décoré de crânes ailés. A gauche se trouve la statue de Giulio Mastrilli, oeuvre su sculpteur Andrea Falcone qui indique la position du sépulcre. Dans la chapelle sont conservèes des tableaux d’artistes du 16eme siècle napolitain parmi lesquels nous trouvons Andrea Vaccaro et Luca Giordano. Située dans le coeur de las partie la plus vieille de la ville (Via dei Tribunali, soit le Decumano maggiore) se trouve un lieu symbolique de la Naples “gothique” et mistérieuse. Dans le souterrain de l’eglise se trouve un des ossuaires plus connu et de la ville parténopée (peut-être le plus connu après celui des “Fontanelle” dans le Rione Sanità) et centre de prayiques curturelles en honneur des défunts et des âmes du purgatoire: L’entrée de l’eglise, plus élevé que la rue peut être rejoint par des escaliers latéraux en dessous desquels s’ouvre une fenêtre qui permet à l’air et la lumière d’entrer. De chaque côté des grilles, chacune en correspondance d’un escalier on peut trouver deux crânes dèposés sur des tibias comme dans les plus classiques iconographies funéraires et symbolise la destination fonctionnelle du lieu et des âmes du purgatoire obligeant au respect des touristes. Il est vrai que bien peu de personnes qui entre dans la pénombre de Via dei Tribunali oublient de s’arrêter pour quelques instants dans ce lieu ténébreux et affiscinant.
3. L’observateur plus attentif ne pourra que noter que devant la grille des femmes qui habitent les environs viennent fleurir le lieu et y mettent des lampes votives même si l’ossuaire ets fermé depuis 1800 et que les os qui s’y trouvent n’ont même plus un propriétaire. La chose, en effet, peut apparaitre étrange pour qui ne connait pas l’importance du culte des défunts et des ême plus un propriétaire. La chose, en effet, peut apparaitre étrange pour qui ne connait pas l’importance du culte des défunts et des âmes du purgatoire dans la culture populaire napolitaine. C’est quelque chose de compliqué à expliquer, quelque chose qui nous reporte dans le temps au delà de l’époque du Christianisme.Les âmes des morts, en fait, dans la conception napolitaine infkuent fortement sur l’existence des vivants et sont vus comme une entité spirituelle gentille ou plus rarement méchante qu’il faut onorer et respecter et à qui il faut s’adresser comme l’on le fait pour des saints pour obtenir des grâces (guérisons de maladies, des accidents, la protection des voyageurs, des marins, des pêcheurs, des militaires etc…Les os et le crâne en particulier représentent le lien matériel pour établir un contact avec une entité extratrerrestre, contact qui se “réalise” sous la forme d’un rêve dans lequel l’âme du défunt apparait au dévot révélant son identité en demandant d’ultérieures prières. D’où l’importance des ossuaires où sont amassés les restes des personnes non identifiées ou d’origine humble dont les âmes ont plus besoin de prières pour abréger leur séjour au purgatoire.Dans le passé, mais il semble encore aujourd’hui, est encore ancrée l’habitude d’adopter une âme et donc un crâne et de l’honorer pour obtenir la “grâce”. A l’intérieur de l’Eglise du Purgatoire a Arco, d’un escalier latéral on accède au souterrain. La sensation mistique et religieuse est immédiate et envahit les visiteurs avec des iamges et des symboles funéraires, des crânes, des os qui les accompagnent tout au long du parcours. C’est un cimetière du 17eme siècle avec la tombre de Giulio Mastrilli, la première que l’on rencontre est recouverte d’une dalle et la chapelle inférieure avec un autel décoré et dont le pavement est réalisé par les frères Massa, où l’on peut reconnaitre des niches et des sépultures dans le sol. Ici se trouve la sépulture de la jeune Lucia couverte d’un voil nuptial, peut-âtre décédée dans un naugrafe avec son époux. A côté des tombes beaucoup de “ex-voto” laissés par les fidèles pour prouver combien le culte des défunts est encore vif auprès des napolitai
57. Le crâne ailée et l'Ange aidera les âmes purifiées atteindre le Ciel
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60. [email_address] Évidemment reconnaissante qui ventile le métro du troisième niveau est toujours décorée avec des fleurs fraîches. Si vous êtes toujours étonné de continuer à me suivre. A bientôt Antonio