SlideShare ist ein Scribd-Unternehmen logo
1 von 97
Downloaden Sie, um offline zu lesen
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …

lundi 20 janvier 2014
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …

lundi 20 janvier 2014
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:

lundi 20 janvier 2014
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:

Inégalités sociales
dans l’espace

lundi 20 janvier 2014

?

Se reflètent dans …

les écoles

?

Se reflètent dans …

dans les classes
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:
Ici, on négligera cette relation:

Inégalités sociales
dans l’espace

lundi 20 janvier 2014

?

Se reflètent dans …

les écoles

?

Se reflètent dans …

dans les classes
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:
Ici, on négligera cette relation:

Inégalités sociales
dans l’espace

?

Se reflètent dans …

les écoles

Même si elle ne peut être négligée !
Et les orientations vers le général, le technique
ou le professionnel ne sont pas seules en cause.
Exemple: dans cette école secondaire bruxelloise,
Certaines classes sont dédoublées sur base de la
fréquentation du cours de morale ou de religion.
Or, le graphique montre que l’indice socioéconomique
moyen des classes (axe horizontal) est clairement
corrélé à la part des élèves suivant le cours de
religion musulmane (axe vertical).
De l’art de faire de l’homogène avec de l’hétérogène…

lundi 20 janvier 2014

?
?

Se reflètent dans …

dans les classes
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:
Ici, on négligera cette relation:

Inégalités sociales
dans l’espace

lundi 20 janvier 2014

?

Se reflètent dans …

les écoles

?

Se reflètent dans …

dans les classes
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:
Ici, on négligera cette relation:

Inégalités sociales
Inégalitéssociales
dans l’espace
dans l’espace

lundi 20 janvier 2014

?

Se reflètent dans …

les écoles
les écoles

?

Se reflètent dans …

dans les classes
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:
Ici, on négligera cette relation:

Inégalités sociales
Inégalitéssociales
dans l’espace
dans l’espace

?

Se reflètent dans …

les écoles
les écoles

?

Se reflètent dans …

dans les classes

Problématique 2: analyse du concept de mixité sociale dans la ville post-fordiste

lundi 20 janvier 2014
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:
Ici, on négligera cette relation:

Inégalités sociales
Inégalitéssociales
dans l’espace
dans l’espace

?

Se reflètent dans …

les écoles
les écoles

?

Se reflètent dans …

dans les classes

Problématique 2: analyse du concept de mixité sociale dans la ville post-fordiste
Cadre:
 Depuis 3 décennies: mouvement d’embourgeoisement d’une partie des vieux quartiers centraux
d’agglomérations grandes ou moyennes
 Un mouvement stimulé, encouragé ou amplifié par les pouvoirs publics

lundi 20 janvier 2014
Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) :
les inégalités entre quartiers ont bon dos …
Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations
maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?
 Un questionnement à l’intersection de deux problématiques …
Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)
 Double relation à interroger:
Ici, on négligera cette relation:

Inégalités sociales
Inégalitéssociales
dans l’espace
dans l’espace

?

Se reflètent dans …

les écoles
les écoles

?

Se reflètent dans …

dans les classes

Problématique 2: analyse du concept de mixité sociale dans la ville post-fordiste
Cadre:
 Depuis 3 décennies: mouvement d’embourgeoisement d’une partie des vieux quartiers centraux
d’agglomérations grandes ou moyennes
 Un mouvement stimulé, encouragé ou amplifié par les pouvoirs publics
•
•

Objectifs
Rétablissement des finances locales:
- garder moins de pauvres
- attirer plus de riches
Volonté de rendre la ville attractive vis-à-vis:
- des investissements volatiles
- des milieux innovants
- de la main-d’œuvre hautement qualifiée

•

•
•

Dispositifs
Impulsions ciblées des pouvoirs publics:
- rénovation des espaces publics
- rénovation des logements
- sécurisation des quartiers
Mise en place des conditions de relais par le privé
Basculement en chaîne des quartiers centraux
à partir d’un « front de colonisation »

Soubassement idéologique: recherche de la mixité sociale
lundi 20 janvier 2014
lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
ça, c’est ceux qu’on veut attirer

(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

Et ça, c’est une manière polie de dire qu’on veut faire partir des pauvres

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
… le tout, au nom de la mixité

sociale

(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure
De nombreux flous artistiques

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure
De nombreux flous artistiques
Quant aux objectifs et à leur justification
Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ?
(confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus)

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure
De nombreux flous artistiques
Quant aux objectifs et à leur justification
Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ?
(confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus)

Quant aux mécanismes

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure
De nombreux flous artistiques
Quant aux objectifs et à leur justification
Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ?
(confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus)

Quant aux mécanismes
Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires

lundi 20 janvier 2014

?
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure
De nombreux flous artistiques
Quant aux objectifs et à leur justification
Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ?
(confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus)

Quant aux mécanismes
Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires
Des implications douteuses déduites de l’insertion résidentielle

lundi 20 janvier 2014

?
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure
De nombreux flous artistiques
Quant aux objectifs et à leur justification
Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ?
(confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus)

Quant aux mécanismes
Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires

?

Des implications douteuses déduites de l’insertion résidentielle
Résider dans un quartiers  nouer des contacts sociaux dans le quartier ??
Résider dans un quartiers  faire ses achats dans le quartiers ??

lundi 20 janvier 2014
« La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du
développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer
des flux sortants des zones d’interventions prioritaires
pour éviter le confinement de la pauvreté dans des
ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant
l’installation des classes moyennes »
(Document présentant les objectifs généraux du PDI)

La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout)
Peu ou pas de définition
Peu ou pas de mesure
De nombreux flous artistiques
Quant aux objectifs et à leur justification
Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ?
(confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus)

Quant aux mécanismes
Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires

?

Des implications douteuses déduites de l’insertion résidentielle
Résider dans un quartiers  nouer des contacts sociaux dans le quartier ??
Résider dans un quartiers  faire ses achats dans le quartiers ??
Résider dans un quartiers  mettre ses enfants dans les écoles du quartier ??

Mixifier les quartiers, est-ce mixifier les écoles (et les classes) ??

lundi 20 janvier 2014
Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ??

lundi 20 janvier 2014
Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ??
Deux remarques préalables, en forme de doute:

lundi 20 janvier 2014
Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ??
Deux remarques préalables, en forme de doute:
Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers

1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout !
0,50

0,37

0,25

Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers
Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL)

0,12

0

Q1
Q2
Q3
Q4
Q5
Q6
Q7
Q8
Q9
Q10
Q2
Q3
Q5 0,10 Q6
Q7
Q8 0,30 Q9
Q10 0,50
-0,30 Q1
-0,10de Q4
Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles)
niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus)

lundi 20 janvier 2014
Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ??
Deux remarques préalables, en forme de doute:
Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers

1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout !
0,50

0,37

L’écart moyen entre individus à l’intérieur des quartiers est toujours
nettement supérieur à l’écart moyen entre les quartiers

0,25

Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers
Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL)

0,12

0

Q1
Q2
Q3
Q4
Q5
Q6
Q7
Q8
Q9
Q10
Q2
Q3
Q5 0,10 Q6
Q7
Q8 0,30 Q9
Q10 0,50
-0,30 Q1
-0,10de Q4
Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles)
niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus)

lundi 20 janvier 2014
Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ??
Deux remarques préalables, en forme de doute:
Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers

1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout !
0,50

0,37

L’écart moyen entre individus à l’intérieur des quartiers est toujours
nettement supérieur à l’écart moyen entre les quartiers

0,25

Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers
Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL)

Remarque: L’hétérogénéité apparaît la plus faible dans les quartiers de faible
niveau socioéconomique.
C’est que les quartiers aisés les moins hétérogènes se situent … hors de la
Région bruxelloise.

0,12

0

Q1
Q2
Q3
Q4
Q5
Q6
Q7
Q8
Q9
Q10
Q2
Q3
Q5 0,10 Q6
Q7
Q8 0,30 Q9
Q10 0,50
-0,30 Q1
-0,10de Q4
Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles)
niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus)

lundi 20 janvier 2014
Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ??
Deux remarques préalables, en forme de doute:
Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers

1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout !
0,50

0,37

L’écart moyen entre individus à l’intérieur des quartiers est toujours
nettement supérieur à l’écart moyen entre les quartiers

0,25

Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers
Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL)

Remarque: L’hétérogénéité apparaît la plus faible dans les quartiers de faible
niveau socioéconomique.
C’est que les quartiers aisés les moins hétérogènes se situent … hors de la
Région bruxelloise.

0,12

0

Q1
Q2
Q3
Q4
Q5
Q6
Q7
Q8
Q9
Q10
Q2
Q3
Q5 0,10 Q6
Q7
Q8 0,30 Q9
Q10 0,50
-0,30 Q1
-0,10de Q4
Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles)
niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus)

2. A la base du raisonnement: un postulat très douteux:
Des distances domicile-école très courtes  un choix d’implantation très réduit
 les élèves d’un même quartier se retrouvent scolarisés dans la même école.
lundi 20 janvier 2014
lundi 20 janvier 2014
En résumé: deux objectifs
* Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation
* Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie
- sur des bases empiriques au moins partielles
- sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs)

lundi 20 janvier 2014
En résumé: deux objectifs
* Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation
* Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie
- sur des bases empiriques au moins partielles
- sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs)
(Mais pourquoi diable dans le maternel ?)

lundi 20 janvier 2014
En résumé: deux objectifs
* Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation
* Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie
- sur des bases empiriques au moins partielles
- sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs)
(Mais pourquoi diable dans le maternel ?)
 Un niveau assez peu étudié
 qui pose le question d’éventuelles régulations avant l’entrée dans le secondaire
Un recrutement très local  un banc d’essai intéressant
 Bruxelles: un marché de plus en plus tendu avec la croissance démographique

lundi 20 janvier 2014
En résumé: deux objectifs
* Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation
* Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie
- sur des bases empiriques au moins partielles
- sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs)
(Mais pourquoi diable dans le maternel ?)
 Un niveau assez peu étudié
 qui pose le question d’éventuelles régulations avant l’entrée dans le secondaire
Un recrutement très local  un banc d’essai intéressant
 Bruxelles: un marché de plus en plus tendu avec la croissance démographique

Remarque méthodologique: comment comparer le niveau des implantations ?
 Choix: typer les élèves selon leur retard scolaire après le maternel
(ici: retard au niveau de la troisième primaire)
lundi 20 janvier 2014
QUELQUES RESULTATS

lundi 20 janvier 2014
QUELQUES RESULTATS
A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel
 Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements
les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%:

lundi 20 janvier 2014
QUELQUES RESULTATS
A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel
 Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements
les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%:

B. Un recrutement pas si local !
 50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
3 à 4 implantations
 33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
8 à 9 implantations
 Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés
à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une
implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%)

lundi 20 janvier 2014
QUELQUES RESULTATS
A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel
 Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements
les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%:

B. Un recrutement pas si local !
 50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
3 à 4 implantations
 33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
8 à 9 implantations
 Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés
à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une
implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%)

C. En moyenne: un effet sélectif de la distance
 Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un
retard moyen plus faible 3 ans plus tard

lundi 20 janvier 2014
QUELQUES RESULTATS
A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel
 Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements
les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%:
Part du retard en 3ème primaire
B. Un recrutement pas si local ! selon la distance
30

domicile - implantation maternelle

 50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
3 à 4 implantations
 33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
23
8 à 9 implantations
 Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés
à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une
15
implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%) selon
Quartiles
l'indice socioéconomique du
quartier de
résidence

%
8

C. En moyenne: un effet sélectif de la distance

 Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont unQ1 FAIBLE
Q2
Q3
retard moyen plus faible 3 ans plus tard
0
Q4
00-07

07-09

09-11

11-12

12-14

14-16

16-19

19-22

Indicateur de durée du trajet en transports en commun (minutes)

lundi 20 janvier 2014

22-28

> 28

ELEVE
QUELQUES RESULTATS
A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel
 Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements
les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%:

B. Un recrutement pas si local !
 50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
3 à 4 implantations
 33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
8 à 9 implantations
 Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés
à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une
implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%)

C. En moyenne: un effet sélectif de la distance
 Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un
retard moyen plus faible 3 ans plus tard

lundi 20 janvier 2014
QUELQUES RESULTATS
A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel
 Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements
les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%:

B. Un recrutement pas si local !
 50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
3 à 4 implantations
 33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
8 à 9 implantations
 Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés
à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une
implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%)

C. En moyenne: un effet sélectif de la distance
 Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un
retard moyen plus faible 3 ans plus tard

lundi 20 janvier 2014
QUELQUES RESULTATS
A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel
 Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements
les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%:

B. Un recrutement pas si local !
 50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
3 à 4 implantations
 33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins
8 à 9 implantations
 Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés
à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une
implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%)

C. En moyenne: un effet sélectif de la distance
 Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un
retard moyen plus faible 3 ans plus tard
 les écoles maternelles dont les élèves auront ultérieurement les taux moyens
de retard scolaire les plus élevés sont également celles qui ont en moyenne
les distances de recrutement les plus courtes

lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

20

25

30

35

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

Les distances parcourues par les élèves résidant dans le centre pauvre

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

Les distances parcourues par les élèves résidant dans le centre pauvre
… sont plus grandes que celles des élèves qui y sont scolarisés.

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

Les distances parcourues par les élèves résidant dans le centre pauvre
… sont plus grandes que celles des élèves qui y sont scolarisés.
Hypothèses:
-Les écoles maternelles du centre pauvre ne recrutent majoritairement
que dans le centre pauvre ou à ses marges proches.
-Elles fixent plus difficilement , en moyenne, les élèves ayant
les
plus ‘favorables’, qui sont plus souvent scolarisés
15 profils les 20
25
30
35
minutes
dans des écoles en dehors du centre pauvre

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 24%
>= 16 et < 24%
< 16%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

De manière attendue, le recrutement est encore plus local pour les
écoles maternelles du centre pauvre qui scolarisent les élèves aux
profils les moins favorables (c’est-à-dire ceux qui auront en moyenne
davantage de retard scolaire 3 ans après la maternelle)

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 24%
>= 16 et < 24%
< 16%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 5%
< 5%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 5%
< 5%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les
distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés
15
20
25
30
35

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 5%
< 5%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les
distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés
15
20
25
30
35
minutes
sont plus grandes que celles parcourues par les élèves résidant dans
ces mêmes quartiers.
Implantations localisées dans les secteurs de niveau

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 5%
< 5%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0

Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les
distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés
5
10
15
20
25
30
35
minutes
sont plus grandes que celles parcourues par les élèves résidant dans
ces mêmes quartiers.
Implantations localisées dans les secteurs de niveau
Niveau socioéconomique du secteur de résidence socioéconomique implantations scolarisant les élèves
Et c’est encore plus vrai pour les faible
ayant les profils moyens les plus favorables.3ième primaire
Retard des élèves en

Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

>= 5%
< 5%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0

Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les
distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés
5
10
15
20
25
30
35
minutes
sont plus grandes que celles parcourues par les élèves résidant dans
ces mêmes quartiers.
Implantations localisées dans les secteurs de niveau
Niveau socioéconomique du secteur de résidence socioéconomique implantations scolarisant les élèves
Et c’est encore plus vrai pour les faible
ayant les profils moyens les plus favorables.3ième primaire
Retard des élèves en

Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
Les écoles des quartiers aisés, et plus 5%
>= particulièrement celles scolarisant
(ESE >= 0 et < 1) enfants ayant les profils les plus favorables, recrutent bien au-delà
les
du local. Quels que soient les mécanismes impliqués (stratégies des
(ESE >= 1)
< 5%
familles, des établissements,…), leur recrutement est sélectif.

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 16%
>= 10 et < 16%
< 10%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000
Dans les quartiers moyens-pauvres, les choses
se passent un peu comme dans les quartiers
pauvres, mais de manière atténuée
(cf. courbes en orange)

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 16%
>= 10 et < 16%
< 10%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 11%
>= 6 et < 11%
< 6%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
100,0000

75,0000

50,0000
Dans les quartiers moyens-riches, les choses
se passent un peu comme dans les quartiers
riches, mais de manière atténuée
(cf. courbes en bleu clair)

25,0000

0
5

10

15

minutes

Niveau socioéconomique du secteur de résidence
Faible
Moyen-faible
Moyen-élevé
Élevé

(ESE < -1)
(ESE >= -1 et < 0)
(ESE >= 0 et < 1)
(ESE >= 1)

20

25

30

35

Implantations localisées dans les secteurs de niveau
socioéconomique faible
Retard des élèves en 3ième primaire
>= 11%
>= 6 et < 11%
< 6%

Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

PENTAGONE

CROISSANT
PAUVRE

QUADRANT
RICHE

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations
Des implantations de « très
bon » profil moyen peuvent
voisiner avec des implantations
de « mauvais » profil moyen

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

Des implantations de grande taille, et
de profils moyen très élevé, s’égrènent
sur un arc aux limites de la première
couronne orientale.

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

Des implantations de grande taille, et
de profils moyen très élevé, s’égrènent
sur un arc aux limites de la première
couronne orientale.
Cette localisation permet à la fois un
recrutement dans le quadrant riche…

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique
entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations

Des implantations de grande taille, et
de profils moyen très élevé, s’égrènent
sur un arc aux limites de la première
couronne orientale.
Cette localisation permet à la fois un
recrutement dans le quadrant riche…
… et un recrutement (sélectif) dans
d’autres quartiers, y compris les quartiers
centraux plus pauvres.

RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée)
lundi 20 janvier 2014
E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des
implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement
RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE
(Ville schématisée)
RETARD OBSERVÉ
(C’est la même carte,
en plus petit)

lundi 20 janvier 2014
E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des
implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement
RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE
(Ville schématisée)
RETARD OBSERVÉ
(C’est la même carte,
en plus petit)

lundi 20 janvier 2014

RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES
AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE
CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA
ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR
ÉCOLE MATERNELLE
E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des
implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement
RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE
(Ville schématisée)
RETARD OBSERVÉ
(C’est la même carte,
en plus petit)

lundi 20 janvier 2014

RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES
AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE
CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA
ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR
ÉCOLE MATERNELLE
E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des
implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement
RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE
(Ville schématisée)
RETARD OBSERVÉ
(C’est la même carte,
en plus petit)

RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES
AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE
CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA
ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR
ÉCOLE MATERNELLE

Les couleurs ont la même signification pour chacune de ces deux cartes !
On voit que les variations du retard observé sont beaucoup plus grandes que
les variations du retard attendu selon les caractéristiques des zones de recrutement

lundi 20 janvier 2014
E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des
implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement
RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON
L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE
(Ville schématisée)
RETARD OBSERVÉ
(C’est la même carte,
en plus petit)

RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES
AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE
CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA
ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR
ÉCOLE MATERNELLE

Les couleurs ont la même signification pour chacune de ces deux cartes !
On voit que les variations du retard observé sont beaucoup plus grandes que
les variations du retard attendu selon les caractéristiques des zones de recrutement

Les effets de recrutement sélectif augmentent très fortement les disparités
liées aux caractéristiques des quartiers !
lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

Exemple:
comparaison entre les retards observés et attendus pour les
implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après)

lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

Exemple:
comparaison entre les retards observés et attendus pour les
implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après)

Retard observé

lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

Exemple:
comparaison entre les retards observés et attendus pour les
implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après)

Retard attendu selon les
caractéristiques de la
zone de recrutement

Retard observé

lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

Exemple:
comparaison entre les retards observés et attendus pour les
implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après)

Retard attendu selon les
caractéristiques de la
zone de recrutement
Surplus de retard lié
à la zone de recrutement

Retard observé

lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

Exemple:
comparaison entre les retards observés et attendus pour les
implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après)

Retard attendu selon les
caractéristiques de la
zone de recrutement
Surplus de retard lié
à la zone de recrutement

Retard observé

lundi 20 janvier 2014
On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous:

Exemple:
comparaison entre les retards observés et attendus pour les
implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après)

Retard attendu selon les
caractéristiques de la
zone de recrutement

Surplus de retard lié
au recrutement différentiel
dans la zone de recrutement

Surplus de retard lié
à la zone de recrutement

Retard observé

lundi 20 janvier 2014
lundi 20 janvier 2014
Graphique global pour toutes les implantations, groupées par
classes de retard observé

lundi 20 janvier 2014
Graphique global pour toutes les implantations, groupées par
classes de retard observé

Ecart-type entre
les niveaux de retard
attendus: 4,4%

lundi 20 janvier 2014
Graphique global pour toutes les implantations, groupées par
classes de retard observé

Ecart-type entre
les niveaux de retard
observés: 8,9%

Ecart-type entre
les niveaux de retard
attendus: 4,4%

lundi 20 janvier 2014
Conclusions

lundi 20 janvier 2014
Conclusions
I.

Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le
jeu du marché scolaire  quelles régulations ?

lundi 20 janvier 2014
Conclusions
I.

Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le
jeu du marché scolaire  quelles régulations ?

II.

Les politiques de mixification sociale des quartiers ne garantit aucunement une
plus grande mixité dans les implantations scolaires

lundi 20 janvier 2014
Conclusions
I.

Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le
jeu du marché scolaire  quelles régulations ?

II.

Les politiques de mixification sociale des quartiers ne garantit aucunement une
plus grande mixité dans les implantations scolaires

Niveau de dualisation quant aux écoles fréquentées
(enseignement primaire – indicateur = retard 2004-2008)

Quartiers en gentrification 1991-2006
lundi 20 janvier 2014
Conclusions
I.

Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le
jeu du marché scolaire  quelles régulations ?

II.

Les politiques de mixification sociale des quartiers ne garantit aucunement une
plus grande mixité dans les implantations scolaires

Niveau de dualisation quant aux écoles fréquentées
(enseignement primaire – indicateur = retard 2004-2008)

Quartiers en gentrification 1991-2006
lundi 20 janvier 2014

Weitere ähnliche Inhalte

Andere mochten auch

1000 Fichas Enero A Dic
1000 Fichas Enero A Dic1000 Fichas Enero A Dic
1000 Fichas Enero A DicAdalberto
 
LES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODIN
LES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODINLES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODIN
LES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODINAna Bailo
 
Laffly regression multiple
Laffly regression multipleLaffly regression multiple
Laffly regression multiplemohamedchaouche
 
Short Film Questionnaire
Short Film QuestionnaireShort Film Questionnaire
Short Film Questionnairejemmaashaw
 
L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...
L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...
L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...Diane Lawson
 
Corrigé bepc anglais_zone_3_2013
Corrigé bepc anglais_zone_3_2013Corrigé bepc anglais_zone_3_2013
Corrigé bepc anglais_zone_3_2013blessedkkr
 
Compromiso con la comunidad
Compromiso con la comunidadCompromiso con la comunidad
Compromiso con la comunidadEnrique Farez
 
Reunion quartier nord
Reunion quartier nord Reunion quartier nord
Reunion quartier nord Guyon Jacky
 
E N L A C E S Q UÍ M I C O S(97 2003)
E N L A C E S  Q UÍ M I C O S(97   2003)E N L A C E S  Q UÍ M I C O S(97   2003)
E N L A C E S Q UÍ M I C O S(97 2003)jaival
 
Coed san isidro agenda 2
Coed san isidro agenda 2Coed san isidro agenda 2
Coed san isidro agenda 2Adalberto
 
Journal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, Cameroun
Journal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, CamerounJournal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, Cameroun
Journal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, CamerounAmis de la Kentaja
 

Andere mochten auch (16)

1000 Fichas Enero A Dic
1000 Fichas Enero A Dic1000 Fichas Enero A Dic
1000 Fichas Enero A Dic
 
LES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODIN
LES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODINLES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODIN
LES GRANDS AMOUREUX DE L'HISTOIRE: CLAUDEL et RODIN
 
Laffly regression multiple
Laffly regression multipleLaffly regression multiple
Laffly regression multiple
 
Short Film Questionnaire
Short Film QuestionnaireShort Film Questionnaire
Short Film Questionnaire
 
L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...
L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...
L'internet par satellite pour éradiquer la fracture numérique - Diane Lawson ...
 
Corrigé bepc anglais_zone_3_2013
Corrigé bepc anglais_zone_3_2013Corrigé bepc anglais_zone_3_2013
Corrigé bepc anglais_zone_3_2013
 
Madame belot
Madame belotMadame belot
Madame belot
 
Prsentationclubmolire 140402052241-phpapp01
Prsentationclubmolire 140402052241-phpapp01Prsentationclubmolire 140402052241-phpapp01
Prsentationclubmolire 140402052241-phpapp01
 
Transparencias1
Transparencias1Transparencias1
Transparencias1
 
Compromiso con la comunidad
Compromiso con la comunidadCompromiso con la comunidad
Compromiso con la comunidad
 
Reunion quartier nord
Reunion quartier nord Reunion quartier nord
Reunion quartier nord
 
Iris railway 2011
Iris railway 2011 Iris railway 2011
Iris railway 2011
 
E N L A C E S Q UÍ M I C O S(97 2003)
E N L A C E S  Q UÍ M I C O S(97   2003)E N L A C E S  Q UÍ M I C O S(97   2003)
E N L A C E S Q UÍ M I C O S(97 2003)
 
Sharism
SharismSharism
Sharism
 
Coed san isidro agenda 2
Coed san isidro agenda 2Coed san isidro agenda 2
Coed san isidro agenda 2
 
Journal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, Cameroun
Journal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, CamerounJournal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, Cameroun
Journal de janv fév aout Kentaja pour les orphelin, Cameroun
 

Kürzlich hochgeladen

Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024
Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024
Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024frizzole
 
Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...
Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...
Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...Technologia Formation
 
Présentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 Toulouse
Présentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 ToulousePrésentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 Toulouse
Présentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 ToulouseYvonGervaise
 
Semaine de la Passion de Jésus-Christ.pptx
Semaine de la Passion de Jésus-Christ.pptxSemaine de la Passion de Jésus-Christ.pptx
Semaine de la Passion de Jésus-Christ.pptxMartin M Flynn
 
Formation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changement
Formation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changementFormation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changement
Formation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changementM2i Formation
 
Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2
Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2
Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2JeanLucHusson
 
Rapport projet de fin d'études licence PFE
Rapport projet de fin d'études licence PFERapport projet de fin d'études licence PFE
Rapport projet de fin d'études licence PFEAhmam Abderrahmane
 

Kürzlich hochgeladen (7)

Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024
Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024
Planning de la semaine du 25 mars au 2 avril 2024
 
Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...
Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...
Webinaire Cohésion | Le pouvoir du mentorat au travail : pour qui, pourquoi, ...
 
Présentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 Toulouse
Présentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 ToulousePrésentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 Toulouse
Présentation à Séminaire IA de la Fédération Gay Lussac , 25/03/24 Toulouse
 
Semaine de la Passion de Jésus-Christ.pptx
Semaine de la Passion de Jésus-Christ.pptxSemaine de la Passion de Jésus-Christ.pptx
Semaine de la Passion de Jésus-Christ.pptx
 
Formation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changement
Formation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changementFormation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changement
Formation M2i - Femmes entrepreneures : soyez actrices du changement
 
Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2
Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2
Présentation de lancement de la SAE203 - MMI S2
 
Rapport projet de fin d'études licence PFE
Rapport projet de fin d'études licence PFERapport projet de fin d'études licence PFE
Rapport projet de fin d'études licence PFE
 

ABC-day9 Marissal

  • 1. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … lundi 20 janvier 2014
  • 2. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … lundi 20 janvier 2014
  • 3. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: lundi 20 janvier 2014
  • 4. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Inégalités sociales dans l’espace lundi 20 janvier 2014 ? Se reflètent dans … les écoles ? Se reflètent dans … dans les classes
  • 5. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Ici, on négligera cette relation: Inégalités sociales dans l’espace lundi 20 janvier 2014 ? Se reflètent dans … les écoles ? Se reflètent dans … dans les classes
  • 6. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Ici, on négligera cette relation: Inégalités sociales dans l’espace ? Se reflètent dans … les écoles Même si elle ne peut être négligée ! Et les orientations vers le général, le technique ou le professionnel ne sont pas seules en cause. Exemple: dans cette école secondaire bruxelloise, Certaines classes sont dédoublées sur base de la fréquentation du cours de morale ou de religion. Or, le graphique montre que l’indice socioéconomique moyen des classes (axe horizontal) est clairement corrélé à la part des élèves suivant le cours de religion musulmane (axe vertical). De l’art de faire de l’homogène avec de l’hétérogène… lundi 20 janvier 2014 ? ? Se reflètent dans … dans les classes
  • 7. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Ici, on négligera cette relation: Inégalités sociales dans l’espace lundi 20 janvier 2014 ? Se reflètent dans … les écoles ? Se reflètent dans … dans les classes
  • 8. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Ici, on négligera cette relation: Inégalités sociales Inégalitéssociales dans l’espace dans l’espace lundi 20 janvier 2014 ? Se reflètent dans … les écoles les écoles ? Se reflètent dans … dans les classes
  • 9. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Ici, on négligera cette relation: Inégalités sociales Inégalitéssociales dans l’espace dans l’espace ? Se reflètent dans … les écoles les écoles ? Se reflètent dans … dans les classes Problématique 2: analyse du concept de mixité sociale dans la ville post-fordiste lundi 20 janvier 2014
  • 10. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Ici, on négligera cette relation: Inégalités sociales Inégalitéssociales dans l’espace dans l’espace ? Se reflètent dans … les écoles les écoles ? Se reflètent dans … dans les classes Problématique 2: analyse du concept de mixité sociale dans la ville post-fordiste Cadre:  Depuis 3 décennies: mouvement d’embourgeoisement d’une partie des vieux quartiers centraux d’agglomérations grandes ou moyennes  Un mouvement stimulé, encouragé ou amplifié par les pouvoirs publics lundi 20 janvier 2014
  • 11. Inégalités entre implantations scolaires en maternelles (à Bruxelles) : les inégalités entre quartiers ont bon dos … Dans quelle mesure les inégalités sociales/académiques entre implantations maternelles traduisent-elles les inégalités sociales entre les quartiers urbains ?  Un questionnement à l’intersection de deux problématiques … Problématique 1: les régulations de l’enseignement (réguler la composition des classes ?)  Double relation à interroger: Ici, on négligera cette relation: Inégalités sociales Inégalitéssociales dans l’espace dans l’espace ? Se reflètent dans … les écoles les écoles ? Se reflètent dans … dans les classes Problématique 2: analyse du concept de mixité sociale dans la ville post-fordiste Cadre:  Depuis 3 décennies: mouvement d’embourgeoisement d’une partie des vieux quartiers centraux d’agglomérations grandes ou moyennes  Un mouvement stimulé, encouragé ou amplifié par les pouvoirs publics • • Objectifs Rétablissement des finances locales: - garder moins de pauvres - attirer plus de riches Volonté de rendre la ville attractive vis-à-vis: - des investissements volatiles - des milieux innovants - de la main-d’œuvre hautement qualifiée • • • Dispositifs Impulsions ciblées des pouvoirs publics: - rénovation des espaces publics - rénovation des logements - sécurisation des quartiers Mise en place des conditions de relais par le privé Basculement en chaîne des quartiers centraux à partir d’un « front de colonisation » Soubassement idéologique: recherche de la mixité sociale lundi 20 janvier 2014
  • 13. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) lundi 20 janvier 2014
  • 14. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » ça, c’est ceux qu’on veut attirer (Document présentant les objectifs généraux du PDI) lundi 20 janvier 2014
  • 15. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) lundi 20 janvier 2014
  • 16. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) Et ça, c’est une manière polie de dire qu’on veut faire partir des pauvres lundi 20 janvier 2014
  • 17. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) lundi 20 janvier 2014
  • 18. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » … le tout, au nom de la mixité sociale (Document présentant les objectifs généraux du PDI) lundi 20 janvier 2014
  • 19. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) lundi 20 janvier 2014
  • 20. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) lundi 20 janvier 2014
  • 21. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition lundi 20 janvier 2014
  • 22. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure lundi 20 janvier 2014
  • 23. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure De nombreux flous artistiques lundi 20 janvier 2014
  • 24. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure De nombreux flous artistiques Quant aux objectifs et à leur justification Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ? (confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus) lundi 20 janvier 2014
  • 25. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure De nombreux flous artistiques Quant aux objectifs et à leur justification Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ? (confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus) Quant aux mécanismes lundi 20 janvier 2014
  • 26. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure De nombreux flous artistiques Quant aux objectifs et à leur justification Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ? (confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus) Quant aux mécanismes Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires lundi 20 janvier 2014 ?
  • 27. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure De nombreux flous artistiques Quant aux objectifs et à leur justification Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ? (confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus) Quant aux mécanismes Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires Des implications douteuses déduites de l’insertion résidentielle lundi 20 janvier 2014 ?
  • 28. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure De nombreux flous artistiques Quant aux objectifs et à leur justification Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ? (confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus) Quant aux mécanismes Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires ? Des implications douteuses déduites de l’insertion résidentielle Résider dans un quartiers  nouer des contacts sociaux dans le quartier ?? Résider dans un quartiers  faire ses achats dans le quartiers ?? lundi 20 janvier 2014
  • 29. « La mixité sociale doit être un des fils conducteurs du développement urbain à Bruxelles. Il s’agit d’assurer des flux sortants des zones d’interventions prioritaires pour éviter le confinement de la pauvreté dans des ghettos sociaux et d’assurer des flux entrants en stimulant l’installation des classes moyennes » (Document présentant les objectifs généraux du PDI) La mixité sociale: un concept à géométrie variable (ou sans géométrie du tout) Peu ou pas de définition Peu ou pas de mesure De nombreux flous artistiques Quant aux objectifs et à leur justification Mélanger les inégalités plutôt que les réduire ? (confusion entre la réduction des inégalités entre quartiers et entre individus) Quant aux mécanismes Effets cumulatifs négatifs ou effets de sélections migratoires ? Des implications douteuses déduites de l’insertion résidentielle Résider dans un quartiers  nouer des contacts sociaux dans le quartier ?? Résider dans un quartiers  faire ses achats dans le quartiers ?? Résider dans un quartiers  mettre ses enfants dans les écoles du quartier ?? Mixifier les quartiers, est-ce mixifier les écoles (et les classes) ?? lundi 20 janvier 2014
  • 30. Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ?? lundi 20 janvier 2014
  • 31. Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ?? Deux remarques préalables, en forme de doute: lundi 20 janvier 2014
  • 32. Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ?? Deux remarques préalables, en forme de doute: Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers 1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout ! 0,50 0,37 0,25 Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL) 0,12 0 Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9 Q10 Q2 Q3 Q5 0,10 Q6 Q7 Q8 0,30 Q9 Q10 0,50 -0,30 Q1 -0,10de Q4 Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles) niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus) lundi 20 janvier 2014
  • 33. Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ?? Deux remarques préalables, en forme de doute: Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers 1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout ! 0,50 0,37 L’écart moyen entre individus à l’intérieur des quartiers est toujours nettement supérieur à l’écart moyen entre les quartiers 0,25 Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL) 0,12 0 Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9 Q10 Q2 Q3 Q5 0,10 Q6 Q7 Q8 0,30 Q9 Q10 0,50 -0,30 Q1 -0,10de Q4 Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles) niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus) lundi 20 janvier 2014
  • 34. Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ?? Deux remarques préalables, en forme de doute: Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers 1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout ! 0,50 0,37 L’écart moyen entre individus à l’intérieur des quartiers est toujours nettement supérieur à l’écart moyen entre les quartiers 0,25 Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL) Remarque: L’hétérogénéité apparaît la plus faible dans les quartiers de faible niveau socioéconomique. C’est que les quartiers aisés les moins hétérogènes se situent … hors de la Région bruxelloise. 0,12 0 Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9 Q10 Q2 Q3 Q5 0,10 Q6 Q7 Q8 0,30 Q9 Q10 0,50 -0,30 Q1 -0,10de Q4 Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles) niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus) lundi 20 janvier 2014
  • 35. Mixifier les quartiers pour mixifier les écoles (et les classes) ?? Deux remarques préalables, en forme de doute: Ecart socioéconomique moyen entre individus au sein des quartiers 1. Les quartiers bruxellois: de la mixité déjà partout ! 0,50 0,37 L’écart moyen entre individus à l’intérieur des quartiers est toujours nettement supérieur à l’écart moyen entre les quartiers 0,25 Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers Ecart socioéconomique moyen entre les quartiers (BXL) Remarque: L’hétérogénéité apparaît la plus faible dans les quartiers de faible niveau socioéconomique. C’est que les quartiers aisés les moins hétérogènes se situent … hors de la Région bruxelloise. 0,12 0 Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9 Q10 Q2 Q3 Q5 0,10 Q6 Q7 Q8 0,30 Q9 Q10 0,50 -0,30 Q1 -0,10de Q4 Quartiers par déciles Niveau socioéconomique croissant (déciles) niveaux socioéconomiques croissants (Indice Dplus) 2. A la base du raisonnement: un postulat très douteux: Des distances domicile-école très courtes  un choix d’implantation très réduit  les élèves d’un même quartier se retrouvent scolarisés dans la même école. lundi 20 janvier 2014
  • 37. En résumé: deux objectifs * Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation * Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie - sur des bases empiriques au moins partielles - sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs) lundi 20 janvier 2014
  • 38. En résumé: deux objectifs * Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation * Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie - sur des bases empiriques au moins partielles - sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs) (Mais pourquoi diable dans le maternel ?) lundi 20 janvier 2014
  • 39. En résumé: deux objectifs * Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation * Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie - sur des bases empiriques au moins partielles - sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs) (Mais pourquoi diable dans le maternel ?)  Un niveau assez peu étudié  qui pose le question d’éventuelles régulations avant l’entrée dans le secondaire Un recrutement très local  un banc d’essai intéressant  Bruxelles: un marché de plus en plus tendu avec la croissance démographique lundi 20 janvier 2014
  • 40. En résumé: deux objectifs * Mieux connaître les mécanismes à des fins éventuelles de régulation * Interroger le discours de la mixité sur un de ses points forts, là où il s’appuie - sur des bases empiriques au moins partielles - sur des mécanismes explicités (effets cumulatifs négatifs) (Mais pourquoi diable dans le maternel ?)  Un niveau assez peu étudié  qui pose le question d’éventuelles régulations avant l’entrée dans le secondaire Un recrutement très local  un banc d’essai intéressant  Bruxelles: un marché de plus en plus tendu avec la croissance démographique Remarque méthodologique: comment comparer le niveau des implantations ?  Choix: typer les élèves selon leur retard scolaire après le maternel (ici: retard au niveau de la troisième primaire) lundi 20 janvier 2014
  • 42. QUELQUES RESULTATS A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel  Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%: lundi 20 janvier 2014
  • 43. QUELQUES RESULTATS A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel  Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%: B. Un recrutement pas si local !  50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 3 à 4 implantations  33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 8 à 9 implantations  Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%) lundi 20 janvier 2014
  • 44. QUELQUES RESULTATS A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel  Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%: B. Un recrutement pas si local !  50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 3 à 4 implantations  33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 8 à 9 implantations  Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%) C. En moyenne: un effet sélectif de la distance  Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un retard moyen plus faible 3 ans plus tard lundi 20 janvier 2014
  • 45. QUELQUES RESULTATS A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel  Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%: Part du retard en 3ème primaire B. Un recrutement pas si local ! selon la distance 30 domicile - implantation maternelle  50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 3 à 4 implantations  33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 23 8 à 9 implantations  Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une 15 implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%) selon Quartiles l'indice socioéconomique du quartier de résidence % 8 C. En moyenne: un effet sélectif de la distance  Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont unQ1 FAIBLE Q2 Q3 retard moyen plus faible 3 ans plus tard 0 Q4 00-07 07-09 09-11 11-12 12-14 14-16 16-19 19-22 Indicateur de durée du trajet en transports en commun (minutes) lundi 20 janvier 2014 22-28 > 28 ELEVE
  • 46. QUELQUES RESULTATS A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel  Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%: B. Un recrutement pas si local !  50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 3 à 4 implantations  33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 8 à 9 implantations  Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%) C. En moyenne: un effet sélectif de la distance  Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un retard moyen plus faible 3 ans plus tard lundi 20 janvier 2014
  • 47. QUELQUES RESULTATS A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel  Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%: B. Un recrutement pas si local !  50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 3 à 4 implantations  33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 8 à 9 implantations  Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%) C. En moyenne: un effet sélectif de la distance  Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un retard moyen plus faible 3 ans plus tard lundi 20 janvier 2014
  • 48. QUELQUES RESULTATS A. Des écarts très importants entre implantations dès le maternel  Taux de retard des 20 d’élèves ayant fréquenté les établissements les moins bien et les mieux classés: 28% et 3%: B. Un recrutement pas si local !  50 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 3 à 4 implantations  33 % d’élèves sont scolarisés à une distance permettant d’atteindre au moins 8 à 9 implantations  Même dans le croissant pauvre, plus de 70% des élèves sont scolarisés à une distance plus longue que celle leur permettant d’atteindre une implantation de niveau au moins moyen (avec un retard en 3ème < 13.8%) C. En moyenne: un effet sélectif de la distance  Les élèves parcourant les distances les plus grandes en maternelle ont un retard moyen plus faible 3 ans plus tard  les écoles maternelles dont les élèves auront ultérieurement les taux moyens de retard scolaire les plus élevés sont également celles qui ont en moyenne les distances de recrutement les plus courtes lundi 20 janvier 2014
  • 49. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes 20 25 30 35 Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 50. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 51. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 52. 100,0000 75,0000 50,0000 Les distances parcourues par les élèves résidant dans le centre pauvre 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 53. 100,0000 75,0000 50,0000 Les distances parcourues par les élèves résidant dans le centre pauvre … sont plus grandes que celles des élèves qui y sont scolarisés. 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 54. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 Les distances parcourues par les élèves résidant dans le centre pauvre … sont plus grandes que celles des élèves qui y sont scolarisés. Hypothèses: -Les écoles maternelles du centre pauvre ne recrutent majoritairement que dans le centre pauvre ou à ses marges proches. -Elles fixent plus difficilement , en moyenne, les élèves ayant les plus ‘favorables’, qui sont plus souvent scolarisés 15 profils les 20 25 30 35 minutes dans des écoles en dehors du centre pauvre Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 55. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 24% >= 16 et < 24% < 16% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 56. 100,0000 75,0000 50,0000 De manière attendue, le recrutement est encore plus local pour les écoles maternelles du centre pauvre qui scolarisent les élèves aux profils les moins favorables (c’est-à-dire ceux qui auront en moyenne davantage de retard scolaire 3 ans après la maternelle) 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 24% >= 16 et < 24% < 16% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 57. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 5% < 5% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 58. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 5% < 5% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 59. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés 15 20 25 30 35 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 5% < 5% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 60. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés 15 20 25 30 35 minutes sont plus grandes que celles parcourues par les élèves résidant dans ces mêmes quartiers. Implantations localisées dans les secteurs de niveau Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 5% < 5% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 61. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés 5 10 15 20 25 30 35 minutes sont plus grandes que celles parcourues par les élèves résidant dans ces mêmes quartiers. Implantations localisées dans les secteurs de niveau Niveau socioéconomique du secteur de résidence socioéconomique implantations scolarisant les élèves Et c’est encore plus vrai pour les faible ayant les profils moyens les plus favorables.3ième primaire Retard des élèves en Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) >= 5% < 5% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 62. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 Au contraire de ce qui est constaté dans les quartiers pauvres, les distances parcourues par les élèves scolarisés dans les quartiers aisés 5 10 15 20 25 30 35 minutes sont plus grandes que celles parcourues par les élèves résidant dans ces mêmes quartiers. Implantations localisées dans les secteurs de niveau Niveau socioéconomique du secteur de résidence socioéconomique implantations scolarisant les élèves Et c’est encore plus vrai pour les faible ayant les profils moyens les plus favorables.3ième primaire Retard des élèves en Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) Les écoles des quartiers aisés, et plus 5% >= particulièrement celles scolarisant (ESE >= 0 et < 1) enfants ayant les profils les plus favorables, recrutent bien au-delà les du local. Quels que soient les mécanismes impliqués (stratégies des (ESE >= 1) < 5% familles, des établissements,…), leur recrutement est sélectif. Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 63. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 16% >= 10 et < 16% < 10% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 64. 100,0000 75,0000 50,0000 Dans les quartiers moyens-pauvres, les choses se passent un peu comme dans les quartiers pauvres, mais de manière atténuée (cf. courbes en orange) 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 16% >= 10 et < 16% < 10% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 65. 100,0000 75,0000 50,0000 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 11% >= 6 et < 11% < 6% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 66. 100,0000 75,0000 50,0000 Dans les quartiers moyens-riches, les choses se passent un peu comme dans les quartiers riches, mais de manière atténuée (cf. courbes en bleu clair) 25,0000 0 5 10 15 minutes Niveau socioéconomique du secteur de résidence Faible Moyen-faible Moyen-élevé Élevé (ESE < -1) (ESE >= -1 et < 0) (ESE >= 0 et < 1) (ESE >= 1) 20 25 30 35 Implantations localisées dans les secteurs de niveau socioéconomique faible Retard des élèves en 3ième primaire >= 11% >= 6 et < 11% < 6% Courbe de fréquence cumulée selon le temps d'accès à l'implantation (en minutes) lundi 20 janvier 2014
  • 67. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations lundi 20 janvier 2014
  • 68. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 69. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations PENTAGONE CROISSANT PAUVRE QUADRANT RICHE RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 70. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 71. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations Des implantations de « très bon » profil moyen peuvent voisiner avec des implantations de « mauvais » profil moyen RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 72. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 73. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations Des implantations de grande taille, et de profils moyen très élevé, s’égrènent sur un arc aux limites de la première couronne orientale. RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 74. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations Des implantations de grande taille, et de profils moyen très élevé, s’égrènent sur un arc aux limites de la première couronne orientale. Cette localisation permet à la fois un recrutement dans le quadrant riche… RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 75. D. Une géographie qui ne valide pas l’hypothèse d’une relation mécanique entre les caractéristiques du quartier et le public des implantations Des implantations de grande taille, et de profils moyen très élevé, s’égrènent sur un arc aux limites de la première couronne orientale. Cette localisation permet à la fois un recrutement dans le quadrant riche… … et un recrutement (sélectif) dans d’autres quartiers, y compris les quartiers centraux plus pauvres. RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (ville schématisée) lundi 20 janvier 2014
  • 76. E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (Ville schématisée) RETARD OBSERVÉ (C’est la même carte, en plus petit) lundi 20 janvier 2014
  • 77. E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (Ville schématisée) RETARD OBSERVÉ (C’est la même carte, en plus petit) lundi 20 janvier 2014 RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR ÉCOLE MATERNELLE
  • 78. E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (Ville schématisée) RETARD OBSERVÉ (C’est la même carte, en plus petit) lundi 20 janvier 2014 RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR ÉCOLE MATERNELLE
  • 79. E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (Ville schématisée) RETARD OBSERVÉ (C’est la même carte, en plus petit) RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR ÉCOLE MATERNELLE Les couleurs ont la même signification pour chacune de ces deux cartes ! On voit que les variations du retard observé sont beaucoup plus grandes que les variations du retard attendu selon les caractéristiques des zones de recrutement lundi 20 janvier 2014
  • 80. E. Des écarts très importants entre les caractéristiques des élèves des implantations et les caractéristiques de leurs zones de recrutement RETARD SCOLAIRE DES ÉLÈVES DE 3ÈME PRIMAIRE SELON L’IMPLANTATION MATERNELLE FRÉQUENTÉE (Ville schématisée) RETARD OBSERVÉ (C’est la même carte, en plus petit) RETARD THÉORIQUE SI LES ÉLÈVES AVAIENT MÊME RETARD MOYEN QUE CELUI DE TOUS LES ÉLÈVES DE LA ZONE DE RECRUTEMENT DE LEUR ÉCOLE MATERNELLE Les couleurs ont la même signification pour chacune de ces deux cartes ! On voit que les variations du retard observé sont beaucoup plus grandes que les variations du retard attendu selon les caractéristiques des zones de recrutement Les effets de recrutement sélectif augmentent très fortement les disparités liées aux caractéristiques des quartiers ! lundi 20 janvier 2014
  • 81. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: lundi 20 janvier 2014
  • 82. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: lundi 20 janvier 2014
  • 83. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: Exemple: comparaison entre les retards observés et attendus pour les implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après) lundi 20 janvier 2014
  • 84. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: Exemple: comparaison entre les retards observés et attendus pour les implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après) Retard observé lundi 20 janvier 2014
  • 85. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: Exemple: comparaison entre les retards observés et attendus pour les implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après) Retard attendu selon les caractéristiques de la zone de recrutement Retard observé lundi 20 janvier 2014
  • 86. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: Exemple: comparaison entre les retards observés et attendus pour les implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après) Retard attendu selon les caractéristiques de la zone de recrutement Surplus de retard lié à la zone de recrutement Retard observé lundi 20 janvier 2014
  • 87. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: Exemple: comparaison entre les retards observés et attendus pour les implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après) Retard attendu selon les caractéristiques de la zone de recrutement Surplus de retard lié à la zone de recrutement Retard observé lundi 20 janvier 2014
  • 88. On peut résumer cet effet d’amplification par le graphique ci-dessous: Exemple: comparaison entre les retards observés et attendus pour les implantations ayant entre 30 et 35% de retard (3 ans après) Retard attendu selon les caractéristiques de la zone de recrutement Surplus de retard lié au recrutement différentiel dans la zone de recrutement Surplus de retard lié à la zone de recrutement Retard observé lundi 20 janvier 2014
  • 90. Graphique global pour toutes les implantations, groupées par classes de retard observé lundi 20 janvier 2014
  • 91. Graphique global pour toutes les implantations, groupées par classes de retard observé Ecart-type entre les niveaux de retard attendus: 4,4% lundi 20 janvier 2014
  • 92. Graphique global pour toutes les implantations, groupées par classes de retard observé Ecart-type entre les niveaux de retard observés: 8,9% Ecart-type entre les niveaux de retard attendus: 4,4% lundi 20 janvier 2014
  • 94. Conclusions I. Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le jeu du marché scolaire  quelles régulations ? lundi 20 janvier 2014
  • 95. Conclusions I. Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le jeu du marché scolaire  quelles régulations ? II. Les politiques de mixification sociale des quartiers ne garantit aucunement une plus grande mixité dans les implantations scolaires lundi 20 janvier 2014
  • 96. Conclusions I. Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le jeu du marché scolaire  quelles régulations ? II. Les politiques de mixification sociale des quartiers ne garantit aucunement une plus grande mixité dans les implantations scolaires Niveau de dualisation quant aux écoles fréquentées (enseignement primaire – indicateur = retard 2004-2008) Quartiers en gentrification 1991-2006 lundi 20 janvier 2014
  • 97. Conclusions I. Les inégalités tendent à être amplifiées aux niveau des implantations par le jeu du marché scolaire  quelles régulations ? II. Les politiques de mixification sociale des quartiers ne garantit aucunement une plus grande mixité dans les implantations scolaires Niveau de dualisation quant aux écoles fréquentées (enseignement primaire – indicateur = retard 2004-2008) Quartiers en gentrification 1991-2006 lundi 20 janvier 2014